C'est trop bien. C'est chez nous, alors on n'a pas envie de laisser partir la médaille ailleurs ! C'est aussi le début de la saison et c'est le plus grand tournoi au monde. Je suis bien contente de l'avoir emporté.
Quelle est la grosse différence avec votre succès ici-même en 2011 ?
J'ai un panel technique plus riche. Je fais un balayage-accrochage que je ne faisais pas trop avant. On l'avait mis en place avant Londres. C'a payé là-bas et ç'a continué aujourd'hui (samedi).
Un mot sur ce public...
Le public nous aide beaucoup, vraiment ! Quand c'est dur, on entend tout le monde qui nous encourage, qui nous pousse... C'est magnifique. Les Français se déplacent pour venir nous voir. On a envie de leur faire plaisir, histoire qu'ils ne soient pas venus pour rien.
Quel est votre programme maintenant ?
Je vais bientôt partir sur le Grand Prix d'Allemagne (les 23 et 24 février, ndlr). Pour l'instant, je fais étape par étape. Mais l'objectif de la saison, ce sont bien sûr les championnats du monde (26 août-1er septembre à Rio de Janeiro, ndlr).»
Propos recueillis par Julien GIOVANELLA, à Bercy
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