lundi 30 septembre 2013

Foot Ligue 1 8e j. Monaco trouve à qui parler - L'Equipe.fr

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Paris : des mal-logés campent place de la République contre le ... - Le Parisien

Des mal-logés, militants de l'association Droit au , se sont installés depuis samedi sur la place de la République, à , où ils entendent rester une semaine pour protester contre le projet de loi Duflot. Ces quelques dizaines de personnes, dont des familles, s'inquiètent du texte défendu par la ministre du Logement, Cécile Duflot, adopté le 17 septembre en première lecture par l'Assemblée nationale.

«Il y a quelques points positifs comme le rallongement prévu sous certaines conditions de la trêve hivernale, mais la plupart du texte nous inquiète, notamment l'encadrement des loyers qui va très certainement les pousser à la hausse», a expliqué le porte-parole du DAL Jean-Baptiste Eyraud. «Le fait que le bailleur puisse exiger des pénalités si son locataire ne paye pas est aussi très préoccupant et va entraîner encore plus de précarité», a-t-il ajouté.

Le projet de loi instaure d'ici au 1er janvier 2016 une Garantie universelle des loyers (Gul), qui protégera les propriétaires des impayés en se substituant à la caution. Le financement précis reste à déterminer mais devrait s'appuyer sur une cotisation, payée à parité par bailleurs et locataires. Il encadre aussi les loyers dans les zones tendues, où la demande excède largement l'offre de logements.

«Au final, ce texte ne prend pas à bras le corps nos problèmes et ne propose rien pour assurer un hébergement durable», a déploré Diaby, logée depuis 2010 dans un hôtel du IXe arrondissement de Paris avec sa fille.

Les manifestants comptent rester au moins jusqu'au 5 octobre sur la place de la République.

Soudain, l'artillerie napoléonienne résonne près de Paris... - Le Nouvel Observateur

Meaux (AFP) - "Vive l'empereeeur!" Des soldats de l'armée napoléonienne sonnent la charge devant un millier de curieux, férus d'histoire et admirateurs de Bonaparte, dimanche lors d'une reconstitution de la campagne de France de 1814 sur un champ de Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux, près de Paris.

Le décor, fait de cultures vallonnées non loin d'une autoroute, n'évoque pas vraiment les champs de bataille de l'épopée napoléonienne.

Mais le ton qui sort des enceintes placées au milieu du public se veut solennel. D'un coup, le silence se fait.

"Ce pré fut un champ de bataille. L'un des derniers de la campagne de 1814. Les soldats français devaient empêcher les colonnes russes, puis prussiennes, de franchir le plateau, passer la Marne et faire tomber Paris. Ils étaient 650 contre 35.000. C'est en hommage à eux que nous sommes ici."

Les paroles du président de l'association des Grognards de la Marne, François La Burthe, font leur effet sur la petite Marion, 11 ans. "Moi, je serais restée chez moi car 650 contre 35.000, ça fait quand même beaucoup contre pas beaucoup", lâche-t-elle.

Pour cette reconstitution, les soldats sont moins nombreux, environ 300. Des habitants de Seine-et-Marne mais aussi des élèves de Saint-Cyr et des amoureux de ces jeux de rôle historiques, dont certains travaillent depuis trois ans pour recréer le plus fidèlement possible, deux cents ans plus tard, cet épisode de la campagne de France.

Crottin sur la baïonnette

Pourtant, la machine à remonter le temps est un brin détraquée: sous leur beau manteau militaire, des soldats portent un short tandis qu'avant la charge, un officier sort péniblement de son pantalon serré un téléphone portable...

"Il faut saluer le travail des bénévoles, mais pour vous donner une idée, les reconstitutions aux Etats-Unis, c'est 15.000 personnes à Gettysburg (Pennsylvanie)", explique Guillaume, militaire venu de Maisons-Alfort avec toute sa famille.

Subitement, les mottes de terre où étaient placés des pétards explosent, donnant l'illusion que l'artillerie entre en action. Mais le vent souffle en direction du public qui, juché sur des bottes de foin, se retrouve pris sous une épaisse fumée noire.

"Hé ho, ce n'est pas nous l'ennemi!", lance un spectateur. L'animateur tente de calmer les ardeurs: "Vous pourrez dire que vous en avez pris plein les yeux aujourd'hui!".

Après l'artillerie, arrivent la charge de l'infanterie et le corps à corps. "Certains fantassins vicieux mettaient du crottin de cheval sur le bout de la baïonnette", raconte l'historien au micro. "Ah, c'est dégueu", rétorque une personne dans le public.

En haut du champ, un Napoléon stoïque avec son bicorne, confortablement assis dans une carriole, scrute la fin des combats, au grand dam de certains passionnés d'histoire qui relèvent en aparté que l'empereur n'était pas présent lors de la vraie bataille.

Non loin de stands où des associations vendent des cravates, des briquets ou des clés USB à l'effigie de "Napoléon le grand", Marion, elle, a apprécié d'avoir découvert le fracas d'une bataille. En bonne élève de 6e, elle livre sa leçon: "Napoléon était un empereur. Il avait trop de pouvoir alors il s'est fait avoir".

VIDEOS. Nicolas Sarkozy teste sa popularité à Nice et Cannes - Nice-Matin

Nicolas Sarkozy a testé sa popularité auprès des militants UMP vendredi à Nice, l'un de ses fiefs électoraux, où il a confié aux élus locaux sa "combativité" et son souci de la France.

L'ancien président, qui s'était ouvert de son "calendrier" politique le 18 septembre lors d'un déplacement en Haute-Savoie, - avant la confirmation de sa mise en examen dans le dossier Bettencourt - n'a dit mot publiquement mais s'est offert plusieurs bains de foule, comme une réplique aux détracteurs de son camp et de la majorité.
Lors du second tour de l'élection présidentielle de 2012, il avait été plébiscité à plus de 64% dans le département.

Nicolas Sarkozy avait auparavant donné à Cannes sa première conférence rémunérée sur le sol français à l'invitation de l'industriel indien Tata. L'ancien chef d'Etat est arrivé vers 9h au Palais des Festivals par l'entrée des artistes. La conférence baptisée "Savoir diriger dans un monde complexe" portait sur la crise économique.

Il s'est ensuite rendu à la mairie de Cannes pour un entretien avec Bernard Brochand et David Lisnard.

Nicolas Sarkozy s'est ensuite rendu à Nice pour un déjeuner avec les élus UMP des Alpes-Maritimes au restaurant "La Petite maison", qu'il affectionne, après avoir été accueilli par quelque 200 partisans enthousiastes.

Au menu : brouillade aux oeufs, pâtes au homard, fleurs de courgette, glaces et fraises des bois, mais aussi les dossiers politiques et diplomatiques du moment, selon des participants qui se sont montrés peu diserts sur la teneur des discussions "amicales"

"Il n'a jamais été question de politique politicienne", a assuré le député-maire de Nice Christian Estrosi, rallié à François Fillon, rival de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2017. Eric Ciotti, lieutenant de l'ancien Premier ministre, était également présent.

"Il nous a confirmé que la politique, 'non', mais la France, 'oui'", a ajouté le député UMP Jean-Claude Guibal. Il s'est montré, selon l'élu, "assez préoccupé de l'état de notre pays, mais considérant qu'il y a des solutions".

D'autres élus ont salué la "bonne forme" et la "combativité" de Nicolas Sarkozy.

"Je l'ai senti très zen, très cool, abordant les sujets avec le recul nécessaire et en même temps on sent qu'il a toujours la niaque sportive", a témoigné le député Lionnel Luca.

"Il reste populaire malgré l'échec. Je considère qu'il est le seul au niveau et je pense que les Français intuitivement le savent aussi. Les circonstances diront s'il peut revenir ou pas", a-t-il ajouté.  

>> DIAPO. Bain de foule à Cannes et à Nice pour Nicolas Sarkozy

En début d'après-midi, Nicolas Sarkozy a mis le cap à l'ouest de la ville, où il a visité l'Allianz Riviera et salué les joueurs de l'OGC Nice, qui s'entraînaient la réception de Guingamp. "Quel beau stade vous avez là", s'est extasié l'ancien Président, qui a gratifié Digart, le capitaine des Aiglons, d'un "bonjour Didier".

Ligue 1 : Paris en père peinard, Lyon patine - Le Monde

Premier but en L1 pour le Brsilien Marquinhos, le 28 septembre contre Toulouse.

Le Paris SG s'est empar provisoirement de la premire place du Championnat de France aprs son succs domicile contre Toulouse (2-0), samedi lors de la 8e journe, mettant une petite pression sur Monaco, qui se dplace Reims, dimanche.

Le PSG compte dsormais un point d'avance sur Monaco et peut prparer tranquillement la venue de Benfica, mercredi en Ligue des champions. Mais le champion de France en titre, toujours aussi poussif dans le jeu, devra montrer un visage plus rayonnant puisqu'il ne l'a emport que sur deux coups de pied arrts, dont un penalty trs litigieux transform par Edinson Cavani, auteur de son 4e but en championnat.

Laurent Blanc en a tout de mme profit pour faire tourner son effectif avant une semaine charge, ponctue par le clasico contre Marseille, le 6 octobre au Vlodrome. Priv en dfense de sa charnire centrale Thiago Silva-Alex, le technicien parisien a donn un peu de temps de jeu des joueurs comme Jrmy Mnez, dont c'tait la premire titularisation, ou Adrien Rabiot, faisant souffler Cavani, Blaise Matuidi et Ezequiel Lavezzi, entrs en fin de rencontre.

SOCHAUX SE RVEILLE

Marseille est aussi fin prt pour son voyage hauts risques dans l'antre du Borussia Dortmund, le vice-champion d'Europe, mardi en C1. L'OM n'a pas non plus brill mais a fait le mtier Lorient (2-0) grce aux deux premires ralisations cette saison de Mathieu Valbuena et d'Andr Ayew.

Derrire le duo de choc PSG-Monaco, encore invaincu, Marseille fait de la rsistance (3e) tout comme Nice, qui a renou avec la victoire face Guingamp (1-0). L'air de l'Allianz Riviera fait dcidment du bien aux Niois, qui y ont enregistr leur 2e succs en autant de matches. Saint-Etienne peut en revanche se sentir trs frustr aprs avoir concd le nul domicile contre Bastia (2-2) dans les arrts de jeu. L'euphorie du dbut de championnat est bien retombe chez les Stphanois, qui n'ont plus gagn depuis trois rencontres.

Pour les Lyonnais, dj largement distancs, la saison risque d'tre trs longue. Aprs la claque reue Ajaccio (2-1), la jeunesse de l'OL a limit la casse sur sa pelouse face Lille (0-0) mais hormis Baftimbi Gomis ou Clment Grenier, personne ne semble en mesure de tirer cette quipe vers le haut.

Rien voir cependant avec la situation de Bordeaux, dj englu dans une grave crise sportive. Les Girondins sont tout de mme parvenus ramener un petit point d'Evian/Thonon (1-1), qui leur permet de sortir de la zone de relgation. A Sochaux, avant dernier, la dmission de l'entraneur Eric Hly a opr un lectrochoc. Les Sochaliens ont enregistr leur toute premire victoire contre Valenciennes (2-0) sous la direction de l'intrimaire Omar Daf, un ancien de la maison.

A lire : Ligue 1 : l'OM tire le premier Lorient

Etat de grâce à Monaco - Eurosport.com FR

29/09/2013 - 09:44

Quoi qu'il se passe ce soir à Reims, Monaco aura réussi son début de saison. Bien sûr, on peut imaginer que l'ASM subisse sa première défaite de la saison contre les Champenois. On peut imaginer qu'ensuite les ASMistes contestent l'arbitrage, affirment qu'ils n'ont pas une équipe taillée pour ces matches mais plus pour les grands soirs européens, et terminent en disant qu'ils sont les mal-aimés du football français. On peut l'imaginer. Ou pas. Vous avez du mal vous aussi ? Logique. Ce que montre Monaco depuis le début de la saison nous prépare plutôt à une réaction chevaleresque en cas de mauvais résultat.

Car, ce qui frappe en ce début d'automne, bientôt au quart du Championnat, c'est que si Monaco a réussi son entame, cela va très au-delà du bilan mathématique (aucune défaite, seulement 4 points abandonnés sur 21). L'ASM a associé à sa pharaonique ambition un élan de sympathie souterrain. C'est assez inattendu mais l'ASM passe entre les gouttes des clichés généralement associés aux projets qui débutent par un flot de cash débridé. Cette bienveillance générale n'a pas été volée. Elle est due à ce que l'ASM montre sur le terrain et en dehors. Sur le terrain : du football, du vrai, du bon, pas parfait, pas clinique, mais efficace. En dehors : une joie simple de faire ce métier et de mener à bien un projet sportif.

Ranieri, mais pas seulement

La synthèse de ces deux axes, son incarnation physique, c'est l'entraîneur Claudio Ranieri. L'Italien est en train de surprendre tout le monde avec la vitesse à laquelle il cimente un collectif de joueurs qui ne se connaissaient pas. Il est surtout en train de mettre tout le monde dans sa poche avec ses conférences de presse en passe de devenir cultes et cette attachante façon d'être, loin des paroles formatées de tous ses confrères. Il parle de tout, de foot, du bilan individuel de ses joueurs sans que cela soit pour lui une maladie honteuse, il a toujours un mot gentil mais juste pour l'adversaire, il concède aux journalistes qu'ils ont raison sur la gestion des temps de jeu, rigole et légitime l'expression "cashico", dans un français approximatif mais généreux. Il prend un plaisir fou à diriger cette équipe et il le partage. Il sourit, tout le temps.

Ranieri plaît probablement aussi car il n'a pris la place de personne. Il se succède à lui-même après avoir assumé le passage du club en L2. Comme tous les coaches, ses résultats et le jeu produit parlent pour lui. Mais il a ce truc en plus : quand il ouvre la bouche pour faire le service après-vente, Ranieri est le meilleur des VRP. Vous trouverez peu d'entraîneurs qui, comme lui, après une victoire donnant à son équipe le monopole de la première place du Championnat, auront pour commentaire principal ce plaisir simple : "C'était un bon match de football".

Le club qui ramène les joueurs français en France

Mais Ranieri n'est pas l'unique source de l'auréole actuelle du club princier. Je relève cinq phénomènes qui, chacun à leur façon, nourrissent l'attachement général :

- L'ASM n'est pas l'équipe la plus offensive ni la plus dangereuse de L1. Le PSG la domine encore au titre du nombre de tirs et de tirs cadrés. Mais elle est l'équipe qui prend le plus de risques. Cela se matérialise au classement des dribbles et à l'activité de ses latéraux. Et ça plaît. Cela détonne tellement avec l'ordinaire de la L1...

- L'ASM possède dans son onze-type à peu près tout ce que le grand public et les médias aiment voir : des stars (et quelle star : le meilleur N°9 du monde avec Falcao), un vrai meneur de jeu de très haut niveau (Moutinho), des joueurs de devoir habités par l'intérêt général (Toulalan), des aînés responsables et exemplaires (avec Abidal et son itinéraire exceptionnel en tête de gondole), des nouveaux venus pétillants (qui connaissait Kurzawa et Fabinho?), de la vitesse (Rivière)... Le casting est presque parfait.

- On n'en a pas trop parlé, mais pour un projet aussi international, Monaco est une équipe qui importe des bons joueurs français, ce qui fait de l'ASM un cas unique au pays des saignées régulières : Abidal, Toulalan, Kondogbia sont revenus en L1 grâce à Monaco. Sans la décision de Toulalan de tourner le dos aux Bleus, les trois auraient pu être des titulaires dans l'équipe de France de ce début de saison.

- L'ASM ne surjoue pas la discrétion décrétée autour de son milliardaire de propriétaire, Dmitri Rybolovev, qui aurait pu susciter un sentiment de paranoïa. Le directeur sportif Vladim Vasyliev, inconnu au bataillon jusqu'à sa nomination, a accordé quelques interviews sans jamais se mettre en avant, ni commettre de faute de goût dans ses déclarations, même sur le sujet si épineux des avantages fiscaux.

- La FFF et la LFP ont d'ailleurs peut-être beaucoup fait ce printemps pour bonifier l'image de Monaco, quand a été rendu publique ce que nous avions appelé le proposition "Pactole contre statu quo". Un marchandage qui mettait en balance la suspension de l'obligation réglementaire faite à l'ASM de déménager en France et donc de payer des impôts plein pot, et le versement d'une obole de 200 millions à répartir entre toutes les autres équipes. Comment passer du statut de nanti à celui de victime d'un chantage.

Qu'on ne vienne pas m'opposer que l'absence de pression populaire ou médiatique soit à l'origine de cet état de grâce. Il est évident qu'elle nourrit une sérénité générale qui aidera Monaco à traverser les tempêtes plus facilement que le PSG ou l'OM. Mais elle n'explique pas ce qui se passe actuellement. Même dans ses grandes années, même avec de magnifiques équipes de football, Monaco n'en avait jamais bénéficié. On déplorait ses rapports trop voyants avec le Palais, l'omniprésence de Jean-Louis Campora dans les instances, la tendance d'Arsène Wenger à contester la probité de l'OM, puis ensuite l'instabilité du pouvoir (qui se souvient que l'improbable Pierre Svara était le président de la finale de Ligue des champions en 2004?)... Même au moment du triomphe de "l'équipe parfaite" (1) de Claude Puel en 2000, Jean-Michel Aulas et quelques autres ne parlaient que d'inéquité fiscale. Ne doutons pas, cependant, que le sujet resurgira en temps voulu. Le propre de l'état de grâce est de ne jamais durer trop longtemps.

L'ASM a cependant encore un peu de temps pour savourer ce qui lui arrive et s'inspirer de tout ce qui fonctionne en ce moment. Le club est leader du Championnat. Son football plaît. Pendant ce temps, instances et présidents préfèrent s'écharper sur la L1 à 18 clubs et la répartition des droits télé. Dans ce combat, l'AS Monaco est une valeur sûre, recherchée pour sa capacité à attirer les stars et à valoriser ces droits à l'étranger. Un partenaire à choyer qui, en plus, va sûrement redonner un peu de vitalité au coefficient UEFA l'an prochain. L'état de grâce, on vous dit.

Cédric ROUQUETTE
Twitter : @CedricRouquette

(1) "L'équipe parfaite" est un titre d'article de France Football pour qualifier l'équipe championne de France en 2000, dont l'équipe-type était Barthez - Sagnol, Rafael Marquez, Christanval, Riise - Da Costa, Lamouchi - Giuly, Gallardo - Simone, Trezeguet.

Ligue 1 : Podium Monaco-Paris-Marseille, la Ligue 1 est-elle déjà ... - Francetv info

Toute l'actualité de votre club après la 8e journée de Ligue 1, disputée les 27, 28 et 29 septembre, en deux ou trois phrases pas toujours sympas. 

1- Monaco 18 (bousculé à Reims 1-1). Deuxième match nul en trois matchs pour l'ASM. Après un bon résultat au Parc des princes, les Monégasques ont été bousculés à Reims, équipe d'un standing inférieur. "Jouer plus collectif, ça a marché en début de saison, là, ça commence à s'effriter un peu", note le capitaine monégasque, Eric Abidal, sur Canal+. 

2- PSG, 18 points (vainqueur de Toulouse 2-0). Laurent Blanc, l'entraîneur, a vu une embellie. "Par rapport à Valenciennes, rien à voir, c'est beaucoup mieux." A raison, sauf pendant les cinq dernières minutes, où son équipe a concédé deux énormes occasions, qui ne se sont pas concrétisées.

3- Marseille 17 (a battu Lorient 2-0). Une première période fantômatique, et une seconde beaucoup plus solide. Marseille la joue Janus, le dieu double, en ce début de saison. "Si on avait continué sur le tempo de la première mi-temps, on n'aurait pas eu ce résultat", reconnaît Elie Baup, le coach phocéen. 

4- Lille 14 (a ramené un point de Lyon 0-0). "Il n'y a pas à être déçu, ça fait partie du football. Si une équipe devait gagner, c'était Lille, mais c'est comme ça", philosophe l'entraîneur René Girard. Pas sûr que les supporters du Losc, qui ont vu leur équipe dominer de la tête et des épaules les Lyonnais chez eux, le prennent avec autant de détachement.

5- Nice 14 (vainqueur de Guingamp 1-0). L'année dernière, à ce stade de la compétition, Nice était 15e avec 8 points et enchaînait les matchs nuls. Cette année, malgré deux couacs à Nantes et à Lyon, les Niçois sont déjà dans le haut du tableau. Jusqu'où grimperont-ils ?

6- Nantes 13 (vainqueur du derby contre Rennes 3-1). Première victoire des Canaris à l'extérieur, pour le plus grand bonheur de leurs nombreux supporters qui ont fait le déplacement. "On a fait plaisir au peuple jaune", se félicite Michel Der Zakarian, l'entraîneur nantais.

7- Saint-Etienne 13 (rattrapé dans les dernières minutes par Bastia 2-2). Un match rageant pour les Verts, qui ont encaissé deux buts en fin de match. Est-ce pour ne pas faire mentir les statistiques qui montrent que quand l'attaquant brésilien Brandao ne joue pas, les Verts ne gagnent presque plus ?

8- Rennes 12 (battu par le voisin nantais 1-3). "C'est une bonne claque", résume le milieu de terrain Julien Féret. Espérons pour les Rennais que cette première défaite à domicile n'augure pas d'une allergie aux derbys, car les Bretons se déplacent à Guingamp la semaine prochaine. 

9- Lyon 11 (piteusement muselé par Lille 0-0)L'Olympique lyonnais n'a gagné qu'un seul de ses neuf derniers matchs et a déjà perdu sept points sur quinze possibles à domicile. On est très loin des temps de passage des grandes années lyonnaises. 

Le milieu de terrain lyonnais Clément Grenier (en blanc) muselé par les joueurs de Lille, le 28 septembre 2013. 
Le milieu de terrain lyonnais Clément Grenier (en blanc) muselé par les joueurs de Lille, le 28 septembre 2013.  (PHILIPPE DESMAZES / AFP)

10- Reims 11 (décroche un nul méritoire contre Monaco 1-1). Cinq matchs nuls de suite, mais sept matchs sans défaite de rang, meilleure série pour les Champenois depuis 1973. Deux façons de lire la même équipe au même classement. "On a fait le match qu'on voulait faire", se félicite l'entraîneur Hubert Fournier sur Canal +.

11- Bastia 9 (ramène un point de Saint-Etienne 2-2). Renforcé en défense, dégarni en attaque, c'est pourtant l'inverse qui s'est produit sur la pelouse du Chaudron, où on a retrouvé le Bastia un peu fou de l'an dernier. 

Le défenseur bastiais François Modesto félicité par son entraîneur Frédéric Hantz, lors du nul arraché à Saint-Etienne par le club corse, le 28 septembre 2013. 
Le défenseur bastiais François Modesto félicité par son entraîneur Frédéric Hantz, lors du nul arraché à Saint-Etienne par le club corse, le 28 septembre 2013.  (ROMAIN LAFABREGUE / AFP)

11- Montpellier 9 (ramène un point d'Ajaccio 1-1). Une fois de plus, la discipline a été le point faible de l'équipe héraultaise. Avec cinq rouges, Montpellier détient le record européen du genre...  

12- Evian 9 (tenu en échec par Bordeaux 1-1). La semaine passée, l'entraîneur Pascal Dupraz demandait à ses joueurs de rembourser deux tiers du prix du billet aux spectateurs, pour compenser l'apathie de son équipe pendant une heure. Cette fois-ci, il a aimé ce qu'ont fait ses joueurs. "Il n'est jamais bon dans notre situation de club candidat au maintien de laisser des points à domicile. Mais j'éprouve une certaine fierté car les joueurs se sont employés."

13- Toulouse 9 (battu à Paris 0-2). Les Toulousains, chats noirs de la Ligue 1. Après avoir eu un joueur expulsé à tort lors de la première journée, les Violets ont encaissé un penalty fantôme contre Paris. "L'arbitre est venu s'excuser car il a sifflé penalty alors que je n'avais pas fait faute", a déclaré, après le match, le défenseur toulousain Uros Spajic.

14- Guingamp 8 (a donné la victoire à Nice 0-1). Une défaite rassurante pour l'attaque guingampaise, qui s'est créé beaucoup d'occasions à l'extérieur, ce qui n'était pas son fort jusqu'à présent. En revanche, en défense, le but encaissé révèle la naïveté des joueurs, encore un peu bruts de décoffrage à ce niveau. 

Le gardien guingampais Guy Roland Ndy Assembe s'envole au-dessus de l'attaquant niçois Dario Cvitanich, le 28 septembre 2013. 
Le gardien guingampais Guy Roland Ndy Assembe s'envole au-dessus de l'attaquant niçois Dario Cvitanich, le 28 septembre 2013.  (VALERY HACHE / AFP)

16- Ajaccio 7 (tenu en échec par Montpellier 1-1). Malgré ce nul, en deux matchs, le promu a plus que doublé son nombre de points. Satisfecit de l'entraîneur, Fabrizio Ravanelli : "J'ai toujours dit que les deux premiers mois de compétition seraient difficiles. On a trouvé notre rythme et la confiance revient."

17- Bordeaux 7 (a sauvé les meubles à Evian 1-1). Les propos de Francis Gillot augurent d'une longue, looooongue saison pour les Girondins. "Un nul à l'extérieur c'est toujours intéressant. Sur les derniers matchs, on ne gagne pas alors qu'on mérite de gagner. C'est ça qui me fâche un peu. On n'arrive pas à gagner. Il faut s'accrocher à ce qu'on a en ce moment. On ne perd plus, et on ne joue pas si mal que ça..."

18- Lorient 7 (battu par Marseille 0-2). Déjà peu fringant à l'extérieur, Lorient n'est plus souverain à domicile : "C'est frustrant car on ne peut pas faire de reproches aux joueurs, ils se donnent", souffle Christian Gourcuff, l'entraîneur breton, dépité.

19- Sochaux 5 (a battu Valenciennes dans le match de la peur 2-0). "On redonne le sourire à toute une région", s'extasie Omar Daf, entraîneur intérimaire. Sochaux a une histoire, a toujours pratiqué un beau football. J'ai demandé aux joueurs de se faire plaisir, de faire plaisir au public." Et si c'était ça la recette magique pour remotiver un vestiaire ?

20- Valenciennes 3 (battu à Sochaux 0-2). VA ne ramène plus le moindre point à l'extérieur depuis des mois. VA n'a marqué qu'un but lors de ses sept derniers matchs. Et VA voudrait se maintenir ? 

L'autre Marseille - Marianne

«Pour les gens de Manosque, Marseille est une sorte de Moscou. Je veux dire, une ville de rêve. Ils conjuguent pendant toute leur vie le verbe "aller à Marseille" à tous les temps et à toutes les personnes...» Marseille, ville de rêve ? Peut-être avec Jean Giono, puisque c'est lui qui magnifie ainsi Marseille dans Noé, Giono racontant et inventant tout à la fois ces «petites places désertes où, [...] en plein été, au gros du soleil, Œdipe, les yeux crevés, apparaît sur le seuil et se met à beugler».

Marseille, ville de rêve ? Assurément dans ce Noé à placer au sommet de l'œuvre du Manosquin, admirable double balade, dans une cité mal connue comme sur les chemins compliqués de la création littéraire. Mais de ce rêve, que reste-t-il dans le Marseille des exécutions barbecues et des rues dépotoirs, tiraillé entre la nostalgie de ce qu'il n'est plus et la crainte de ce qu'il pourrait devenir, énervé par les maux qui l'accablent mais incapable d'y remédier ? Pourtant, les touristes accourent. De plus en plus nombreux.

Attirés par le soleil et la mer, qui n'ont jamais manqué au rendez-vous, et plus encore par les nouveaux habits de lumière que la ville a revêtus, musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (Mucem) ici et ombrière géante là, pour tenter de croire qu'il devient enfin capitale. Jusqu'à la fin de l'année, d'ailleurs, il l'est. De la culture. En Europe. Le bilan de l'événement viendra en temps voulu. En attendant, voilà l'occasion d'un joli séjour pour prolonger l'été et découvrir quelques lieux moins visités que les sempiternels Vieux-Port, Panier et Bonne Mère.

Le Roucas-Blanc

Sur le versant sud de Notre-Dame de la Garde (autrement dit la Bonne Mère), descendant vers la mer en une pente sévère et ignorant superbement le reste d'une ville à l'agonie, le Roucas-Blanc est une enclave de bien-être, un monde à part que l'on pourrait croire interdit aux gueux et aux manants. Un paradis préservé dont les beaux jardins, les sobres bastides d'antan et les résidences tape-à-l'œil plus récentes sont entourés de hauts murets mangés par une exubérante végétation.

Un havre de tranquillité solaire et parfumée, un balcon doré ouvrant sur l'infini de la baie marseillaise, tout simplement une des plus belles au monde.Refuge de longue date des rich and famous, le Roucas-Blanc, le «Rocher-Blanc» en provençal, est tout cela. Mais pas que. Dans un passé pas si lointain, le quartier accueillit aussi des immigrés, italiens souvent, que son relief accidenté et ses terrains malcommodes, à l'époque presque bon marché, rebutaient moins que d'autres. Ils y importèrent leur courage, des habitudes villageoises et, au prix de beaucoup d'efforts, édifièrent leurs maisons sur la dure roche calcaire, la même que celle des calanques voisines. Si, à l'argus de la propriété, l'endroit a pris du galon, pour quiconque possède une paire de baskets, un peu de souffle et de solides mollets, il y a encore de la beauté en abondance pour le prix d'un simple ticket de bus.

Sur la Corniche, le 83 vous déposera au pied de cette colline du bonheur. Après, place au sport et à la poésie. Il faudra gravir des ruelles où deux voitures ne peuvent se croiser, s'arrêter, respirer l'odeur des pins et de la garrigue qui résistent au béton, admirer les anciennes villas d'été des Marseillais enrichis par le port, s'étourdir des innombrables points de vue panoramiques, emprunter d'étroites volées d'escaliers et s'imaginer dévalant leur pente glissante dans le brouhaha joyeux de l'enfance et des coups de cartable. Leurs seuls noms fixent le programme : montée de la Napoule, montée du Roubion, montée du Plateau, traverse des Voyageurs, traverse du Génie, val de la Baudille et escalier du Prophète. Fiez-vous à la prédiction muette de ce dernier : «Tout ici n'est que calme, luxe et volupté.»

Les Goudes

Où Marseille est-il encore Marseille ? C'est-à-dire mélangé et non pas ghettoïsé, populaire et pas simplement pauvre, relax et tchatcheur plutôt que débraillé et gueulard ? Aux Goudes, pardi, sur l'unique route sinueuse qui, entre mer et rochers acérés, conduit à Callelongue, point final géographique de la cité phocéenne et début de la transhumance randonnière dans le parc national des calanques.

Les Goudes ? Marseille pur aïoli. Ecoutez le guide, en l'occurrence Massilia Sound System, l'emblématique groupe de reggae occitano-provençal des années 90 : «On va passer un dimanche aux Goudes, en famille, entre amis, que l'on soit riche ou non. C'est un plaisir que personne ne boude, le rêve marseillais un soir d'été au cabanon. Oui, passer un dimanche aux Goudes...»

Dans Marseille aux 111 villages, appellation et réalité en voie de disparition, celui-là plaît à tout le monde. De tous les bouts du monde dont une géniale géologie a doté la ville, voilà un des plus fascinants. A l'entrée, placée au milieu de la route, une barcasse pour rappeler qu'ici la pêche a nourri les hommes avant de céder la place aux voiliers de plaisance et à l'hédonisme vacancier.

Attraper la gallinette, le bar et le sar pour en vivre devient rare, mais, autour du petit port, malgré la pression immobilière, les cabanons des travailleurs de la mer sont restés à touche-touche. Les Goudes appartiennent au VIIIe arrondissement de Marseille, mais les autochtones ont dans la tête la frontière invisible d'un pays perdu où un simple coucher de soleil, le bruit des vagues, quelques paroles échangées sur le pas d'une porte et un verre de vin sous les étoiles font une journée parfaite.

Fabio Montale, le drôle de flic de la trilogie policière (Total Khéops) de feu l'écrivain et journaliste Jean-Claude Izzo, s'y retirait pour écluser ses chères bouteilles de lagavulin, pleurer les amis disparus et contempler la masse menaçante et tourmentée de Maïre, l'île déserte où les gabians (goélands) règnent en maîtres absolus. Plus que partout ailleurs l'antique Massalia prend ici les couleurs de la Grèce de ses fondateurs phocéens. Attention : les week-ends, quand il fait beau, ce qui n'est pas rare, tout Marseille accourt. C'est une occupation pacifique, mais le nombre est rarement l'ami du bien.

La Redonne,

le Petit- et le Grand-Méjean

Il y a calanques et calanques. Les plus connues, fréquentées chaque année par près de 2 millions de visiteurs, s'étendent entre la cité phocéenne et Cassis et sont devenues parc national en avril 2012. Et puis il y a les autres, à l'ouest de la cité, moins spectaculaires, dit-on, mais pas moins étonnantes, étagées sur le petit massif d'origine pyrénéo-provençale qui domine le rivage jusqu'a l'embouchure de l'étang de Berre. Patronyme officiel : la Côte bleue.

Longtemps, ce fut surtout celle des Marseillais, ignorée des touristes mais accueillante aux prolos, ouvriers des savonneries ou dockers du port, notamment grâce à une courte ligne de chemin de fer entre Marseille et Martigues, édifiée non sans mal au début du siècle précédent. Bordée de plages et de pinèdes, une partie du littoral y a pris désormais le visage banal, même à échelle réduite, de toutes les enflures azuréennes, villas somptueuses, marinas sans âme et parkings envahissants. Mais, du côté d'Ensuès-la-Redonne, une nature retorse, comme l'action décidée du Conservatoire du littoral, interdit à tout jamais le pire. Accessible par une route unique depuis le centre du village situé plus haut, sur un plateau, lovée autour d'une anse de carte postale, la Redonne est la première étape d'un voyage miraculeux à travers un paysage de Méditerranée éternelle.

Ancien pêcheur, Gérard Chevé y vit depuis toujours comme avant lui ses parents et ses grands-parents. Il a connu l'époque où ceux du littoral et ceux des collines se détestaient cordialement et ne s'adressaient pas la parole quand ils se croisaient à la terrasse d'un troquet où quelques truands d'anthologie, (Mémé Guérini entre autres) et leurs gagneuses venaient oublier les soucis de leur dur métier. Aujourd'hui, tous se considèrent comme les derniers Mohicans, dépositaires d'un art de vivre bousculé par la modernité marchande et les turbulences de la grande ville toute proche. S'il était plus jeune, l'homme dit qu'il partirait tant la nostalgie de ce qu'il a connu l'emporte sur les bienfaits que lui procure encore son coin de paradis. Ceux qui poursuivront le périple jusqu'au terminus auront du mal à le croire.

Quittant la Redonne, étroite comme une simple ruelle à certains endroits, la route grimpe alors dans le massif, tourne au milieu de la caillasse ou des brassées de pins et débouche sur l'éblouissement des calanques du Petit- puis du Grand-Méjean. Quelques cabanons, encore et toujours, autant de villas posées sur les rochers comme des sentinelles de haute couture, une poignée de criques pour des baignades intimes et, après un petit quart d'heure de marche facile, soudainement un autre vertige : au loin Marseille tout entier, animal et scintillant dans le soleil.

Le massif du Garlaban

Il y a Proust - «longtemps je me suis couché de bonne heure». Et, plus modeste, Pagnol - «Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers.» A cette seule évocation, les snobs tordent le nez. Pagnol, c'est trop... pagnolesque. Trop lu, trop vu, trop entendu. Ceux-là n'iront pas voir le Garlaban. Ils ne manqueront pas à tous les autres bienheureux, ravis de découvrir ce décor d'exception. Outre que la qualité littéraire des Souvenirs d'enfance de Pagnol peut faire rougir bien des plumitifs en vogue, voilà une des merveilles naturelles dont les Marseillais peuvent jouir à une vingtaine de kilomètres de leurs embouteillages réputés parmi les pires de France.

Si la Côte bleue est leur Riviera, le Garlaban est leur montagne : 714 m dressés comme un chapeau de gabelou, visible de très loin, et, à ses pieds, un océan de rocailles escarpées ou de frais vallons, où poussent ajoncs, cistes, genévriers, thym et romarin et même quelques rares plans de lavande. Entre les descriptions passées à la postérité de la Gloire de mon père et le paysage actuel, des incendies à répétition ont pris des milliers d'hectares de végétation au massif. «Les anciens évoquaient des forêts de pins, des grands arbres surplombant les Barres, là même où Pagnol situe la fameuse scène de la chasse aux bartavelles, explique Anthony Chesneau à l'office de tourisme d'Aubagne, mais, quand Yves Robert a réalisé son adaptation du livre, en 1990, il a dû tourner ailleurs, car de ce passé, très boisé, il ne reste rien.» Mais ce rien fait un tout admirable, car aucun obstacle n'y arrête le regard.

Au loin, par temps clair, on peut apercevoir Notre-Dame de la Garde alors que pas un bruit ne dérange ce «désert de garrigue», qui du temps de Pagnol, du moins l'écrivait-il, «va d'Aubagne jusqu'à Aix». A Aubagne même, avant, ou après, un des nombreux circuits que l'office de tourisme organise sur le Garlaban et ses alentours, vous pourrez visiter le petit musée consacré à l'écrivain ou encore une crèche Pagnol conçue par les santonniers de la ville, de loin les plus réputés de la région. Dans la foulée, poussez jusqu'aux tranquilles villages environnants, Allauch, La Treille, le plus marqué par les traces de Pagnol, Auriol ou Saint-Zacharie. La Provence n'y a pas encore tout à fait disparu...

dimanche 29 septembre 2013

Une explosion à Paris fait trois morts - Les Échos

Des ouvriers travaillaient au démontage d'une cuve de fioul quand une déflagration, d'origine pour l'instant indéterminée, s'est produite vers 15H45 au premier sous-sol de cet immeuble de trois étages, 21, rue d'Enghien à Paris (Xe arrondissement), qui abrite un ancien garage. Celui-ci devait être définitivement fermé vendredi soir.

Journée spéciale France Info à Marseille - Télérama.fr

Alors qu'il est devenu courant que la radio nous réveille en évoquant de nouveaux règlements de comptes dans les cités de Marseille, France Info, annonciatrice en chef de ces drames, décidait le 9 septembre de revenir sur les raisons de ce regain de violence qui affecte la cité phocéenne. Louable idée, même si le format, archi mini, des reportages diffusés au fil des bulletins d'information venait quand même contredire un peu une telle volonté d'approfondissement... N'empêche : qu'il s'agisse du témoignage de Michel Bourgat, adjoint au maire de Marseille dont le fils de 14 ans fut tué au pied d'une tour, de celui de Jean-Luc Chauvin, patron du Medef local, ou encore de ces anonymes venus accrocher leurs doléances à un figuier du Vieux-Port, c'est bien le besoin urgent d'éducation des jeunes, plus que de patrouilles de police supplémentaires, qui ressort de cet ensemble. Une prise de pouls intéressante, même si sans surprise.

  A réécouter ici

 

VIDEOS. PSG-Toulouse (2-0) : Paris s'en contentera - Le Parisien

La croisière parisienne ne s'amuse pas encore, mais elle poursuit sa route sans faiblir. Avec cinq victoires et un nul lors de ses six dernières sorties en , elle imprime même un rythme de champion. Ce matin, le PSG a repris le commandement de la Ligue 1 avec une longueur d'avance sur l'OM et Monaco, en déplacement ce soir à Reims. « Attrape-moi si tu peux », semble dire le géant parisien au club de la Principauté. C'est le jeu du chasseur qui devient chassé, au moins pendant vingt-quatre heures. On parierait que cette histoire est appelée à durer, jusqu'à ce que l'un des deux craque et laisse l'autre s'envoler vers le titre.

Dans ce contexte, le PSG a rempli son contrat. Sans faiblir mais sans s'amuser donc. La première mi-temps, laborieuse et poussive, a même longtemps agité le spectre des matchs ratés, contre Guingamp fin août ou face à Valenciennes plus récemment. Peu avant le retour aux vestiaires, alors que l'ennui se mêlait à l'agacement, les Parisiens ont ouvert le coffre-fort toulousain, presque par effraction, grâce à Marquinhos. Interrogé au sujet de ces quarante-cinq premières minutes, a fourni une explication très tranchée. « Il est très difficile de jouer face à une équipe qui ferme le match, a-t-il soufflé. On le savait avant la rencontre. Finalement, nous pouvons être satisfaits d'avoir gagné 2-0. Nous avons eu la maîtrise du match en seconde période et le score aurait même pu être plus large. »

Blanc mieux qu'Ancelotti

Le diagnostic se tient mais ne laisse pas augurer des lendemains qui chantent. La L?1 est en effet peuplée d'équipes ultra-défensives qui viendront au Parc dans le même état d'esprit. L'entraîneur parisien en a bien conscience. « On ouvre le jeu, on se crée beaucoup d'occasions mais on marque peu. D'ailleurs, je suis surpris depuis le début de la saison par notre manque d'efficacité offensive. Du coup, il y a peut-être une réflexion à mener : une fois que nous prenons l'avantage au score, on pourrait se dire qu'il est temps de fermer le match. » peut-il alors se contenter de gagner sans plaire??

« A domicile, c'est compliqué car on attend de nous du spectacle », concède l'ancien sélectionneur. A l'extérieur, en revanche… Au-delà de ces interrogations de style, le PSG version Blanc possède de meilleurs temps de passage que celui d'Ancelotti en 2012. La saison passée, début octobre, le futur champion de France s'était toutefois pris les pieds dans le tapis contre un club portugais (le FC Porto) avant de se déplacer à Marseille. Une victoire contre Benfica mercredi et le bilan instantané de Blanc serait encore meilleur.

VIDEO. Ibrahimovic : «Difficile d'être à 100% à chaque match
»

VIDEO. Chantôme : «Un pincement au cœur de revenir ici»

VIDEO. Matuidi: «La série continue»

samedi 28 septembre 2013

Paris s'en contente - L'Equipe.fr

Les deux équipes, vendredi soir, étaient trop proches pour se départager nettement. Paris l'a emporté, 18-11, et Montpellier a récupéré le point de bonus défensif. Voilà pour l'aspect comptable. En ce qui concerne le jeu, Parisiens et Héraultais n'ont rien fermé, se sont donnés, mais avec un peu de retenue, semble-t-il, sans vraiment lâcher les chevaux.

Les actions étaient claires, les intentions limpides, de belles séquences avec des passes justes, ont agrémenté cette partie que l'on annonçait au sommet entre le deuxième et le troisième du Championnat. Mais au final reste une impression d'inachevé, comme si les deux équipes avaient craint de se livrer complètement au risque de prendre un contre.

Si Montpellier a ouvert le score par Pélissié (3e, 0-3) et manqué l'occasion d'alourdir la marque (drop de Trinh-Duc et but de Pélissé manqués), le Stade Français s'est mis à accélérer nettement après vingt minutes, inscrivant par son jeune pilier Rabah Slimani (28e, 10-3), un essai de toute beauté, construit par une vingtaine de passes acrobatiques, millimétrées, actionnées par la volonté de faire vivre le ballon.

EN IMAGES. Paris : explosion meurtrière dans un parking - Le Parisien

Trois personnes ont été tuées et une gravement blessée dans une explosion, vraisemblablement accidentelle, qui s'est produite vendredi sur un chantier dans le sous-sol d'un immeuble du centre de .

Les ouvriers travaillaient à la réfection d'une cuve de fioul quand une déflagration, d'origine pour l'instant indéterminée, s'est produite vers 15h45 au premier sous-sol de cet immeuble de trois étages, 21 rue d'Enghien à (Xe), qui abrite un ancien garage en de réfection au rez-de-chaussée.

Trois morts ont été trouvés et un blessé grave a été évacué. Une autre personne était portée disparue peu après 18 heures.

Un poste médical avancé a été installé aux abords du 21 de la rue d'Enghien. Les sauveteurs s'apprêtaient peu avant 18 heures à rechercher avec des chiens spécialisés un autre ouvrier, sans doute bloqué sous les décombres. L'explosion a fait s'effondrer une partie du sol du rez-de-chaussée.

Petite ceinture : faire le tour de Paris à vélo et autres fantasmes - Rue89

A l'approche des municipales, les candidats multiplient les propositions. La plus enthousiasmante : réaménager l'ancien chemin de fer qui encercle la capitale.

Vous avez sans doute déjà aperçu, en contrebas d'un pont ou à travers une grande grille, ces rails abandonnés, joliment habillés de vert et de jaune – le jaune, ce sont des chélidoines, ces petites plantes dont on a longtemps cru qu'elles pouvaient transformer les métaux en or.

Il fut un temps, sous cette folle végétation de friches, sur plusieurs kilomètres – 32 exactement –, le chemin de fer de ceinture encerclait Paris à l'intérieur des boulevards des Maréchaux.

A l'époque, les locomotives à vapeur sifflaient ; les wagons transportaient jusqu'à 100 000 Parisiens et plusieurs tonnes de marchandises tous les jours ; les gares de ce tracé desservaient des endroits aujourd'hui disparus : usines, abattoirs et marchés aux bestiaux.

Tout à imaginer

Un jour, le trafic s'est interrompu. Laissée à l'abandon depuis la fin du transport des marchandises dans les années 70 – celui des personnes a cessé dans les années 30 –, la petite ceinture constitue depuis cette vaste friche en plein cœur de Paris où tout reste à imaginer. Une terre vierge dans la ville et ses seize gares abandonnées, autrement dit un rêve d'urbaniste. Ceux de l'Apur (Atelier parisien d'urbanisme) s'y sont attelés et ont rendu fin 2012 un rapport passionnant sur son devenir.

Certains tronçons ont déjà été aménagés. La Flèche d'Or, dans le XXe arrondissement, offre un exemple de ces transformations : cette ancienne gare a été reconvertie en salle de concerts. Un jardin partagé a été aménagé sur un des quais de l'ancienne gare d'Ornano (XVIIIe). Dans le XIIe arrondissement, un sentier « nature » permet de se promener le long de la petite ceinture.

Promenade dans le XVe

Il y en a un aussi dans le XVe arrondissement de Paris, où l'on retrouve ce samedi matin, ciel blanc, Bertrand Delanoë, le maire socialiste de Paris, et Anne Hidalgo, candidate à sa succession.


Anne Hidalgo et Bertrand Delanoë à Paris, le 21 septembre 2013 (Zineb Dryef/Rue89)

Ils sont là pour inaugurer une promenade qui s'étire de la place Balard à la rue Olivier de Serre, surplombant légèrement les immeubles du quartier. Sous nos pieds, un long sentier de promenade que foulent déjà des joggeurs, la lisière forestière, le ballast... On croit être seuls mais non, « 220 espèces de plantes et d'animaux y vivent ou s'y promènent » – immense fierté de la ville de Paris.

La candidate socialiste a promis de poursuivre les travaux engagés pour réhabiliter la petite ceinture. Son souhait est d'en faire « de grandes promenades avec le cachet des paysages ferroviaires » mais ce samedi, allez savoir pourquoi, elle ne veut pas trop en parler.

« C'est un projet pas vraiment extraordinaire »

Bertrand Delanoë, qui « n'est pas en campagne », le fait pour elle :

« Avec mon adjointe à l'urbanisme, Anne Hidalgo, ça fait maintenant plusieurs années qu'on veut aménager la petite ceinture. On a eu parfois des difficultés avec RFF [Réseau ferré de France, propriétaire de la petite ceinture, avec lequel la ville a signé un protocole en 2006, ndlr], mais on a fini par aboutir.

Je ne sais pas ce qui se passera pour la suite mais ce qui est sûr, c'est que ceux qui ont réalisé ça sont crédibles pour faire autre chose. La crédibilité, elle ne s'établit pas sur la proclamation, elle s'établit sur des projets futurs qui ont une cohérence avec ce qui est déjà réalisé.

Ceux qui ont empêché ça... Honnêtement, je vous le dis, il y a eu des blocages – comme pour les voies sur berges, même si ça a été moins violents – ces mêmes gens trouvent aujourd'hui que finalement, c'est bien. Ben, j'en suis content ! »

Une voix furieuse s'élève derrière moi :

« Vous avez compris qu'il s'agissait d'une visite électorale du maire de Paris et de la candidate du Parti socialiste, voilà ! Les choses sont très claires ! »

C'est Philippe Goujon, le maire UMP du XVe arrondissement, manifestement peu enthousiasmé par cette nouvelle promenade. Bertrand Delanoë en rajoute une couche :

Bertrand Delanoë : « Comme monsieur Goujon est taquin, je vais dire que la ministre qui avait la tutelle sur RFF n'a vraiment pas encouragé ce projet [il s'agit de Nathalie Kosciusko-Morizet, ndlr].

Philippe Goujon : Ah, voilà, voilà, vous continuez sur le même registre.

– Puisqu'on m'invite à être encore plus clair... Moi, vous savez, ça ne me dérange jamais la franchise.

– Ah ! Mais vous êtes en campagne électorale.

– Et vous, vous êtes en quoi ?

– Moi, je suis le maire de l'arrondissement, je suis venu pour l'inauguration de la promenade. Qui ne correspond pas tout à fait à mes vœux, mais ce n'est pas grave. »


Anne Hidalgo et Bertrand Delanoë à Paris, le 21 septembre 2013 (Zineb Dryef/Rue89)

La suite de l'échange a porté sur la sécurité, mais oublions la sécurité un temps et revenons à notre petite ceinture. Philippe Goujon n'aime pas trop la nouvelle promenade. Il la trouve « certes sympathique » mais « vraiment, vraiment pas extraordinaire » :

« On aurait pu passer dans le tunnel au lieu de passer au-dessus et de traverser deux rues très dangereuses qui aboutissent dans une cité alors qu'on devrait aboutir dans le parc Brassens.

Ce sont des sujets que nous avons évoqués pendant les débats sur cette promenade mais qui n'ont pas été retenus par la ville de Paris. C'est un projet à l'économique, qui n'a pas coûté cher. On voit le résultat... »

Cette idée dont Nathalie Kosciusko-Morizet parle sans arrêt au risque d'en faire sa baignade dans la Seine (souvenez-vous la promesse de Chirac, en 1977, qu'un jour on pourrait se baigner dans les eaux de Paris), a été présentée sous le nom « Projet de ligne de vie », qui indique :

« Plutôt qu'une juxtaposition d'aménagements qui pourraient être portés sans cohérence d'un arrondissement à l'autre, l'ensemble du projet de la ligne de vie s'articule autour d'une identité non seulement à préserver, mais aussi à mettre en valeur autour d'une véritable ambition écologique pour Paris. »

En priorité :

« La création de la première boucle cycliste intégrale de Paris, assortie d'un vaste plan d'équipement pour encourager la pratique du vélo. »


La petite ceinture dans le XVe arrondissement de Paris, le 21 septembre 2013 (Zineb Dryef/Rue89)

« C'est une idée complètement à côté de la plaque », juge Christophe Najdovski. Le candidat Europe Ecologie - Les Verts conteste la faisabilité de ce projet :

« La petite ceinture est très peu connectée au reste de réseau de voirie. Soit elle est encaissée, soit elle est en viaduc mais il y a très peu d'endroits où on peut la raccorder au réseau de voirie existant.

Si on faisait ce qu'elle propose, ça générerait des conflits d'usage : une piste cyclable sur 24 km, c'est l'équivalent d'une véloroute, ça veut dire que les cyclistes roulent à 20, 25 km/h. Il n'y a plus de place pour les flâneurs.

C'est typiquement une opération de communication qui n'a pas été travaillée. »

Le rapport de l'APUR, qui sert de base de travail à Anne Hidalgo, va dans ce sens. Il préconise des aménagements différenciés sur trois tronçons :

  • à l'Ouest et au Nord, le maintien de la circulation ferroviaire et du RER C ;
  • à l'Est, des « transports légers » (tramway essentiellement) ;
  • au Sud, des aménagements urbains, promenades, maintien de la biodiversité.

Pas non plus tout à fait ce que veut faire EELV.

« Conserver le côté mystérieux du lieu »

Le projet des écolos pour la petite ceinture est d'abord d'en « préserver l'intégrité et l'intégralité », c'est-à-dire de ne pas tronçonner le linéaire :

« Notre projet est d'en faire une coulée verte parisienne parce qu'on est sur un espace unique. On veut des aménagements légers, on ne veut pas de quelque chose d'aseptisé, on veut conserver le côté mystérieux et magique du lieu. »

Christophe Najdovski précise que « tout sera fait en concertation avec les habitants » des neuf arrondissements riverains de la petite ceinture. Cette précision n'a rien d'anodin. L'aménagement des voies ferrées ne se fera pas sans résistance. On le comprend à certains endroits, les habitants se sont accaparés ce petit bout d'espace abandonné et merveilleusement silencieux.

Le Modem parisien n'est pas très éloigné de cette position. Jean-François Martins, conseiller de Paris, plaide pour une préservation du patrimoine et du linéaire de la petite ceinture :

« On veut utiliser la petite ceinture pour désenclaver les quartiers, c'est ce qu'on a fait à Broussais dans le XIVe. »

Il estime que faire de la petite ceinture une piste cyclable n'est pas une bonne idée notamment « parce que si on fait le choix des mobilités douces, elles doivent se faire au détriment des autres moyens de transport ».

Il plaide également pour la transformation des anciennes gares en lieux de sociabilité :

« Le patrimoine doit être conservé. A Paris, on se plaint de ne pas avoir une activité nocture soutenue... Pourquoi ne pas faire de certaines gares des lieux d'attraction nocture ? Berlin a redonné vie à plusieurs de ses anciens bâtiments industriels... "

Le FN ne fait pas semblant de s'y intéresser

Il faudra également compter avec l'Association pour la sauvegarde de la petite ceinture et de son réseau ferré (ASPCRF) qui demande que la vocation ferroviaire de l'axe soit préservée et que soit crée un nouveau transport en commun.

A l'AFP, son président Jean-Emmanuel Terrier expliquait vouloir le maintien des rails pour des circulations de trains exceptionnelles, touristiques :

' Le ferroviaire, c'est l'âme de ce lieu, il faut le conserver. C'est du patrimoine, c'est l'histoire de Paris. '

Coup de fil au FN. Peut-être ont-ils des projets. Non, me répond Wallerand de Saint-Just, le candidat parisien :

'J'aurai un programme qui se préoccupera des vrais problèmes des Parisiens : logement, insécurité, circulation. La dernière enquête d'opinion donne ces résultats. Je ne vais donc pas prendre position sur la petite ceinture.'


Le tracé de la petite ceinture (Apur)

vendredi 27 septembre 2013

Paris : tué sur le périphérique par une camionnette qui prend la fuite - Le Parisien

Un automobiliste qui venait de sortir de sa voiture en panne sur le périphérique parisien, dans la nuit de mercredi à jeudi, est fauché par une camionnette.

L'accident s'est produit peu avant 3 heures du matin au niveau de la porte de la Chapelle. Selon les premiers éléments de l', l'automobiliste s'est arrêté «en pleine voie de circulation en raison d'une panne».

A peine sorti de sa voiture, il a été violemment percuté par une camionnette «qui a immédiatement pris la fuite», selon une source judiciaire.

L'automobiliste est mort sur place, malgré l'intervention des secours. Le service de traitement judiciaire des accidents a été saisi de l'enquête.

Paris : un agent de sécurité retrouvé mort au stade Jean Bouin - Le Parisien

Un agent de sécurité , chargé de la surveillance du stade Jean-Bouin, dans le XVIe arrondissement de , a été retrouvé sur les lieux jeudi matin, a priori victime de la chute d'une grille de ce complexe. Il s'agit d'un homme d'une trentaine d'années employé d'une société de gardiennage prestataire de services pour la municipalité, précise l'Hôtel de ville. Une enquête judiciaire a été ouverte.

La rénovation de ce stade municipal, qui avait été inauguré en grand pompe le 30 août, a été sujet à controverse ces dernières années entre d'une part la majorité PS, et d'autre part la droite et les Verts qui ont critiqué son coût. Le stade sert à l'équipe de rugby du Stade français.

Selon la municipalité, l'accident qui a coûté la vie à cet employé serait intervenu dans la nuit de mercredi à jeudi et, d'après les premiers éléments de l'enquête, «à l'occasion de la manipulation d'une grille». L'agent «serait mort suite à la chute d'une grille métallique de 6x2 mètres», a précisé une source policière.

Dans un communiqué, le maire PS de Paris Bertrand Delanoë a dit avoir appris «avec émotion» ce décès et présenté son soutien et à ses condoléances à la famille et aux proches de la victime. «J'attends de l'enquête judiciaire qu'elle fasse toute la lumière sur les causes et les circonstances de l'accident», a ajouté l'édile.

La Ville a tenu à préciser qu'une commission de sécurité venue inspecter les lieux avant l'inauguration du 30 août n'avait émis «aucune réserve».


Alex apte contre Toulouse ? - Le Parisien

La paire d'arrières centraux Camara-Marquinhos devrait être reconduite demain au Parc contre Toulouse. Alex, perturbé par une gêne à la cuisse droite mercredi soir à Valenciennes et remplacé à la pause, devrait être ménagé. Hier, le Brésilien a passé des examens. Ceux-ci n'ont pas révélé de lésions. Cependant, le compatriote de Maxwell, qui connaît parfaitement son corps, ne prendra pas le moindre risque alors que se profilent, la semaine prochaine, deux grands rendez-vous avec la réception de Benfica en (mercredi) et un déplacement à Marseille (dimanche).

Mercredi soir au stade du Hainaut, l'ancien défenseur de a éprouvé, pendant la première période, une drôle de sensation à la cuisse droite, déjà meurtrie par une élongation une dizaine de jours auparavant au lendemain du succès à Bordeaux.

Hier, au club, on laissait entendre qu'un point serait fait après l'ultime séance d'entraînement cet après-midi avant de décider ou non de la présence de l'ancien défenseur de Chelsea face au Téfécé. Toutefois, dans l'entourage du Brésilien, on avance qu'il ne jouera pas afin de se préparer au mieux pour les deux rencontres de la semaine prochaine.

Thiago Motta ultime recours

On se dit même surpris qu'il ait été titularisé à Valenciennes alors qu'il revenait après une dizaine de jours d'arrêt. La rechute d'Alex, conjuguée à l'absence pour deux mois environ de Thiago Silva, pourrait s'avérer préjudiciable au PSG. Si cette situation devait perdurer, il n'y aurait alors plus que deux défenseurs centraux valides. Un nouveau pépin obligerait à innover. Il faudrait alors faire descendre d'un cran Thiago Motta. Le milieu italien est le seul capable de dépanner à ce poste stratégique. Cependant, ce n'est pour l'heure qu'une hypothèse.


Charlene de Monaco : En classe, à la cantoche, les enfants se ... - Pure People

Avant de s'envoler pour les États-Unis et une tournée d'une semaine au côté de son mari le prince Albert II à travers l'Utah, le Wyoming, le Missouri et enfin New York, où les Obama se sont déplacés pour les recevoir, la princesse Charlene de Monaco avait connu une rentrée chargée.

À l'issue d'un été émaillé par les incontournables gala de bienfaisance monégasques mais aussi quelques excursions régénérantes, comme la fête d'anniversaire très sportive du volleyeur Jan Kvalheim en Norvège, l'ancienne nageuse de haut niveau sud-africaine s'est jetée à l'eau pour sa fondation, parfaitement opérationnelle.

Déterminée à contribuer à l'épanouissement des enfants grâce aux valeurs du sport, Charlene se faisait en tout début de mois de septembre prof de natation et monitrice de surf lors d'une grande opération de sensibilisation organisée sur la côte landaise, à Capbreton. Deux semaines plus tard, c'est au côté des écoliers monégasques qu'elle se trouvait, lundi 16 septembre 2013, afin de les aider notamment à apprivoiser la nouvelle consigne dont elle est l'instigatrice : le port de l'uniforme.

Au lendemain de la clôture à Nice des Jeux de la francophonie, honorée par le prince Albert au côté de Yamina Benguigui, la princesse Charlene faisait de bon matin sa rentrée des classes dans trois établissements de la principauté. Aux élèves de primaire de l'école privée FANB, où l'uniforme a été introduit cette année, Son Altesse n'a pas manqué d'adresser ses félicitations enthousiastes pour leurs tenues. En matière d'habit traditionnel, Charlene avait elle-même prouvé quelques jours plus tôt qu'elle s'y entendait : participant avec le prince Albert au traditionnel pique-nique des Monégasques, le 13 septembre dans le Parc Antoinette, la princesse arborait une longue jupe folklorique aux couleurs de la principauté et un bustier noir à manches blanches bouffantes, comme les fillettes sollicitées pour égayer l'initiative. En prônant l'uniforme dans les écoles, Charlene de Monaco entend, comme dans ses actions en faveur du sport, insuffler l'esprit de solidarité, le sentiment d'appartenance, l'égalité et le respect mutuel.

Avec les plus grands, sa rencontre tournait autour d'un autre thème qui lui est cher. En visite auprès d'élèves de terminale du lycée Albert-Ier, elle a recueilli leurs impressions concernant leur récent voyage en Afrique du Sud, pays dont elle est originaire et où elle retourne dès que l'occasion s'en présente.

Et en guise de dessert, la princesse Charlene de Monaco s'invitait... à la cantine de l'école maternelle de Fontvieille pour le déjeuner, après avoir passé du temps en compagnie des enfants, surexcités et admiratifs, et du corps enseignant. De quoi engranger de l'expérience. Peut-être Charlene, qui décollait juste après pour les États-Unis, a-t-elle fait profiter Michelle Obama, instigatrice d'un programme choc de lutte contre l'obésité infantile, de ses observations ?

Burger King ouvrira en décembre à Paris, dans l'espace commercial ... - Le Huffington Post

BUERGER KING - La nouvelle ravira les aficionnados de l'enseigne, déçus à maintes reprises par le vrai-faux retour de Burger King dans la capitale. Autogrill, qui gère la marque en France, a annoncé qu'un restaurant ouvrira ses portes en décembre à Paris. Il sera le troisième point ouvert par Burger King en 2013, après ceux de Rouen et Marseille, installés dans des coins "tests" (aire d'autoroute et aéroport).

C'est l'espace commercial de Saint-Lazare qui a été choisi, comme Le Figaro l'annonçait en juin dernier. Le restaurant disposera d'une salle de 160 m2. "Après nos deux premières ouvertures très réussies sur l'autoroute A4 et dans l'aéroport de Marseille Provence, nous sommes sûrs que ce nouveau restaurant va rencontrer tout le succès attendu", a indiqué Autogrill dans un communiqué publié le 26 septembre.

15 ans de rumeurs

Burger King avait quitté le sol français en 1997, notamment à cause d'un réseau trop limité (39 restaurants) et pas assez rentable. La concurrence avec McDonald's et Quick avait eu raison de l'Américain, qui devra maintenant se confronter à de nouveaux acteurs comme Subway, Domino's Pizza ou encore KFC.

Le retour en France de la chaîne de fast-food a fait l'objet de nombreuses rumeurs ces dernières années. La dernière en date remonte à mars dernier, quand la possible installation d'un restaurant dans la gare Saint-Lazare avait électrisé les fans de la marque. Comme à l'accoutumée, la rumeur s'était révélée fausse.

Burger King a régulièrement joué sur l'appréciation dont bénéficie la chaîne en France. En 2010, une campagne de publicité avait laissé croire à son retour alors qu'elle plaidait pour la rapidité des trajets Paris-Londres... afin d'aller déguster un Whooper en seulement 2h15.

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  • 1949 : le déjeuner-parking aux Etats-Unis

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    Deux ans après la chute de l'URSS, un McDonald's ouvre à Moscou. Tout un symbole.

  • 1999 : Un McDo saccagé à Millau, un autre à Rennes

    Sur fond de lutte contre la mondialisation, José Bové et Confédération paysanne mette à sac un McDonald's à Millau, dans l'Aveyron. Condamné, d'autres paysans s'emparent du mobilier d'un McDonald's de Rennes pour payer sa caution.

  • 2000 : Chômage des jeunes, le fast-food vivier d'emplois

    Après le saccage du McDonald's de Millau, la contre-offensive. Les chaînes de fast-food communiquent et insistent sur leur rôle économique et social, notamment à travers l'idée qu'ils constituent une source d'emploi importante pour les jeunes en quête d'une première expérience ou d'un petit boulot.

  • 2004 : Super Size Me

    L'offensive vient cette fois des Etats-Unis. Durant un mois le réalisateur américain Morgan Spurlock a mangé McDo, matin, midi et soir. Il a grossi de 13 Kilos. Son documentaire décrit les effets de cette consommation. L'idée lui est venue quand deux clientes ayant portées plainte contre McDonald aient été déboutées. Il est allé jusqu'au bout de la logique américaine qui combine sédentarité et alimentation trop riche. Il était suivi par plusieurs médecins.

  • 2004 : un fast-food halal

    A Clichy-sous-Bois, un fast food halal vient d'ouvrir ses portes. Des filles voilées ont alors trouvé du travail.... L'équipe pense déjà à la création d'une chaine de fast food. Les ventes de viande halal progressent alors de 15% par an depuis 7 ans. [Source : documentation France 3]

  • 2006 : les fast-food s'adaptent à la mode diététique

    A l'occasion de la 17ème Semaine du goût, reportage sur le nouveau souci diététique affiché par les enseignes de restauration rapide, avec l'introduction de légumes et de fruits ou la réduction des graisses. Visite d'un fast food de La Défense à Paris, interview de Antoinette BENOIT, directrice innovation de McDonald's et témoignage d'une cliente mangeant une salade, extrait d'un film publicitaire puis interview d'Hubert VILMER, responsable goût et nutrition chez "Quick", enfin comparaison menée chez un chef cuisinier, Henri GARCIA, qui confectionne un hamburger maison.

  • 2010 : le fast-food se diversifie

    De plus en plus d'enseignes proposent des menus rapides avec des produits de qualité. Ces menus à prendre sur place ou à emporter combinent gastronie et petits prix. Un chiffre, il est sans appel: le temps moyen consacré au déjeuner a été divisé par 3 en 35 ans il est passé d'une heure et demie à une demie heure.. L'alimentation sur le pouce, et notamment le bon vieux sandwich continue de progresser mais elle veut se débarasser de sa mauvaise image.

  • 2011 : Un fast-food 3 étoiles à Strasbourg

    À Strasbourg s'est ouvert un fast food, ouvert à toute heure, qui sert de la nourriture de qualité. La recette a été concoctée par Antoine Westerman, un chef multi-étoilé de Strasbourg. Il s'est inspiré des méthodes de la restauration rapide sauf pour la recette des tartines au caviar d'aubergine.

jeudi 26 septembre 2013

Paris XXe : fusillade en pleine rue mardi soir, pas de blessés - Le Parisien

C'est une véritable , qui n'a miraculeusement fait aucun blessé. Mardi soir, vers 23h15, plusieurs individus, montés sur des scooters, ont fait feu à plusieurs reprises rue Louis Lumière, dans le 20ème arrondissement de , sur d'autres personnes qui se trouvaient là.

Les tireurs étaient équipés de calibres différents, dont des douilles ont été retrouvées sur place par les enquêteurs du deuxième district de police judiciaire (2eme DPJ), chargés de l'enquête. Un chargeur plein, tombé à terre, a également été saisi. De même, un projectile de calibre 9mm a été identifié sur une Jaguar en stationnement à cet endroit. La thèse d'un règlement de comptes est privilégiée.


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Basket Match des Champions Paris attaque fort - L'Equipe.fr

L'intérêt de ce match ayant été largement relégué au second plan par la présence de Tony Parker qui disputait un match avec une sélection de ses amis face à l'ASVEL, les observateurs allaient en profiter pour voir comment Nanterre, surprenant champion de france, allait se comporter à deux semaines de la reprise du Championnat. Sur les réseaux sociaux, de nombreux grincheux prévoyaient un dur retour à la réalité.

Pour être honnête, le début de rencontre allait leur donner raison. Maladroits et peu dans le rythme, les joueurs de Nanterre faisaient pale figure face à un Paris-Levallois qui prenait rapidement ses aises. Nicolas Lang (21 points) se positionnait en bourreau en chef pour assommer régulièrement les joueurs de Pascal Donnadieu. Au milieu du premier quart-temps, les Parisiens faisaient le break. Les Nanterriens limitaient la casse juste avant la pause, mais ils avaient régulièrement fleurté avec les 20 points de retard. Pour l'heure, les mauvaises langues avaient raison.

Mais il faut rappeler que Nanterre est handicapé par des absences d'importance. Kevin lisch (fracture à un doigt), Xavier Corosine (entorse à un doigt) et Ali Traoré (tout juste engagé) n'étaient pas sur le parquet de Mouilleron-le-Captif. Cela n'a pourtant pas été suffisant pour empêcher Nanterre de faire honneur à son titre. Plus agressifs, plus adroits (47,62 %) les Nanterriens ont alors tenu la dragée haute au Paris version Beugnot qui avait, jusque-là brillé en attaque. Revenus à 8 points, les Nanterriens s'offraient un dernier quart-temps plein de suspense. A 5 points des Parisiens, Nanterre faisait l'erreur de rester maladroit sous le panier. Il n'en fallait pas plus au vainqueur de la Coupe de France pour conserver une marge suffisante et s'imposer de neuf points (81-72).

Paris : elle abandonne sa fille de 6 ans pour aller voir son petit ami - Le Parisien

Une mère de famille a été placée en garde à vue, ce jeudi 19 septembre, après avoir été interpellée dans le cadre d'une pour délaissement de mineur.

La mère, âgée de 39 ans, a été arrêtée après qu'un passant a aperçu une enfant, dormant dans une voiture, dans la nuit du 18 au 19 septembre, dans le XXe arrondissement à .

« Cette femme a été interpellée alors qu'elle regagnait, ivre, ce véhicule dans lequel se trouvait cette petite fille, âgée de 6 ans, indique une source proche de l'affaire. Elle a expliqué qu'elle laissait sa fille dormir dans sa voiture, portes ouvertes, le temps qu'elle rende visite à son petit ami ».

Les enquêteurs de la brigade de protection des mineurs ont entendu la mère de famille avant de la présenter devant un magistrat du parquet de Paris. Elle a finalement été remise en liberté, sous contrôle judiciaire, et sera jugée le 21 octobre prochain.

Zoumana Camara : « Serrer les dents jusqu'à Marseille » - Le Parisien

Entré en jeu à la pause pour remplacer Alex qui a préféré s'arrêter pour ne pas risquer une grosse blessure musculaire, Zoumana Camara a enchaîné une deuxième apparition. Pour l'instant, le défenseur joue beaucoup plus qu'il ne l'imaginait.

Cette victoire à Valenciennes a été compliquée...
ZOUMANA CAMARA.
On a senti une équipe un peu émoussée sur un terrain assez lourd. Ce n'était pas évident mais c'est exactement le type de match qu'il faut savoir gagner. Et en plus, au bout d'une minute, on s'était créé deux belles occasions. Il n'y avait pas spécialement de signe que ce serait compliqué. Valenciennes doutait un peu et a joué très regroupé en nous attendant. Mais on a marqué au pire moment pour eux. Ça leur a mis un coup au moral.

Les deux premières occasions ont été pour Pastore qui n'a pas réalisé un grand match...
Il s'est beaucoup battu. Cette rencontre pour lui, c'est un mélange entre un joueur qui n'a pas joué le dernier match et d'autres un peu fatigués. C'était donc difficile de trouver le bon amalgame. Pour le reste, on sait tous que son talent est là et que sa confiance va vite revenir.

Quand avez-vous compris que vous alliez entrer en jeu ?
J'étais dans le vestiaire à la mi-temps quand on m'a envoyé m'échauffer. C'est la deuxième fois en trois jours que ça m'arrive (NDLR : contre Monaco, il a remplacé Thiago Silva à la 16 e minute) . Donc maintenant, je vais préparer mon casque de pompier avant les matchs. (Rires.) Tout va vite pour moi. Au début de saison, j'étais le cinquième défenseur central. Ensuite, Sakho est parti puis il y a des blessures. Je rends service.

Comment jugez-vous les prestations de Marquinhos ?
Il est jeune et c'est l'avenir du club. On sent du calme et de l'assurance chez lui. C'est un joueur propre, même dans les duels. Il va s'aguerrir, devenir encore plus fort.

Contre Toulouse samedi, peut-on s'attendre au même match ?
C'est vrai qu'on rejoue dans trois jours. Mais c'est avec ce type d'enchaînements réussis qu'au bout il y a des titres. Même s'il n'y a pas de vérité. On va peut-être faire un très grand match. Il faut juste serrer les dents jusqu'à Marseille.

La prolongation d'Ibrahimovic vous réjouit-elle ?
Oui. Surtout qu'il a dit que serait son dernier club en Europe.