lundi 31 décembre 2012

A Paris : des hamburgers au marché - Le Parisien

Rugby - Top 14 - 14e j. : Toulouse se requinque - L'Equipe.fr

«Un essai refusé pour un en-avant qui n'y est pas...» (Laurent Labit)Oh, ça s'est joué à peu ! Comme d'habitude (Perpignan, Bordeaux…), Rory Kockott aurait pu arracher la victoire par un dernier tir au but. Mais sa tentative, à deux minutes de la fin, à quarante mètres en coin, est passée, de peu, à côté. Là n'est pas le plus grand regret du CO car, un peu plus tôt dans ce final totalement à son avantage, tout le monde a cru à l'essai de la victoire. Mais l'arbitre a jugé la dernière passe entre Martial et Kockott en-avant, ce qui provoque la réaction désabusée de Laurent Labit, l'entraîneur des arrières castrais : «Au match aller (perdu par Castres 22-21), on perd sur un essai où il y en-avant de Maka et là, on perd sur un essai refusé pour un en-avant qui n'y est pas… »

C'était le "Beauxis Day" !

Labit est toutefois obligé de reconnaître que, hormis ces dix dernières minutes, c'est le Stade Toulousain qu'on disait mal en point, qui a affiché la meilleure santé. Avec le retour de Lionel Beauxis, absent depuis septembre, les champions ont retrouvé une arme qu'ils ne pouvaient plus utiliser depuis un mois et la blessure de Luke McAlister. C'est un Toulouse très minimaliste, ne jouant que devant et utilisant le pied de son ouvreur pour occuper le terrain, qui s'est nourri des très nombreuses fautes des Castrais. Ce dimanche, c'était le "Beauxis Day", auteur des 18 points d'une victoire toulousaine, qui relance un champion où on a retrouvé la paire de centres historiques, Jauzion et Fritz, comme à ses plus belles heures.

Christian JAURENA, à Castres

Rugby - Top 14 - 14e j. : Toulouse se requinque - L'Equipe.fr

«Un essai refusé pour un en-avant qui n'y est pas...» (Laurent Labit)Oh, ça s'est joué à peu ! Comme d'habitude (Perpignan, Bordeaux…), Rory Kockott aurait pu arracher la victoire par un dernier tir au but. Mais sa tentative, à deux minutes de la fin, à quarante mètres en coin, est passée, de peu, à côté. Là n'est pas le plus grand regret du CO car, un peu plus tôt dans ce final totalement à son avantage, tout le monde a cru à l'essai de la victoire. Mais l'arbitre a jugé la dernière passe entre Martial et Kockott en-avant, ce qui provoque la réaction désabusée de Laurent Labit, l'entraîneur des arrières castrais : «Au match aller (perdu par Castres 22-21), on perd sur un essai où il y en-avant de Maka et là, on perd sur un essai refusé pour un en-avant qui n'y est pas… »

C'était le "Beauxis Day" !

Labit est toutefois obligé de reconnaître que, hormis ces dix dernières minutes, c'est le Stade Toulousain qu'on disait mal en point, qui a affiché la meilleure santé. Avec le retour de Lionel Beauxis, absent depuis septembre, les champions ont retrouvé une arme qu'ils ne pouvaient plus utiliser depuis un mois et la blessure de Luke McAlister. C'est un Toulouse très minimaliste, ne jouant que devant et utilisant le pied de son ouvreur pour occuper le terrain, qui s'est nourri des très nombreuses fautes des Castrais. Ce dimanche, c'était le "Beauxis Day", auteur des 18 points d'une victoire toulousaine, qui relance un champion où on a retrouvé la paire de centres historiques, Jauzion et Fritz, comme à ses plus belles heures.

Christian JAURENA, à Castres

Les six commandements du réveillon à Paris - Le Parisien

1. Ton véhicule tu éviteras d'emprunter… Soirée faste en embouteillages dans les rues parisiennes. Il sera interdit de stationner et de circuler dans certaines rues attenantes aux Champs-Elysées, au Trocadéro ou au Champ-de-Mars. L'interdiction concerne aussi les deux-roues.

2… sinon, dans le ballon tu souffleras. Des contrôles d'alcoolémie seront effectués à plusieurs endroits de la capitale et pendant toute la nuit.

3. Les transports en commun gratuitement tu emprunteras. RER, métros, tramways et bus sont gratuits d'aujourd'hui 17 heure à demain midi. Les transports fonctionneront sur l'ensemble du réseau et jusqu'à 2 h 15, et toute la nuit sur les lignes 1, 2, 4, 6, 9 et 14. Le Noctilien maraudera également jusqu'au petit matin pour ramasser les derniers fêtards. (www.mestransportslanuitdu31.com).

4. De pétards tu n'utiliseras pas. Si aucun feu d'artifice ne viendra éclairer ce soir le ciel parisien, il est interdit d'utiliser ses propres pétards.

5. De bouteilles en verre tu ne transporteras pas. La détention de bouteille en verre est aussi interdite dans les secteurs des Champs-Elysées, du Trocadéro et du Champ-de-Mars, même si elle ne contient que de l'eau.

6. D'alcool à emporter tu n'achèteras pas. La vente d'alcool à emporter est interdite.

 

Violée et tabassée par deux hommes à Cannes - Nice-Matin

La femme de 40 ans a accepté un dernier verre chez un inconnu rencontré dans la rue. Mais dans l'appartement, deux hommes l'attendaient

Elle a vécu un calvaire, qui continue de la hanter. Vendredi dernier, vers 4 heures du matin, cette femme de 40 ans a été frappée et violée par deux individus pendant plusieurs heures dans un appartement du centre-ville de Cannes.

Ce matin-là, elle rentre chez elle après être sortie en boite de nuit dans la cité du cinéma. Habitant proche du centre-ville, elle effectue le trajet à pied. Sur son parcours, elle rencontre un jeune homme, âgé de 20 ans, qui lui propose d'aller boire un verre chez lui. Elle accepte.

Ils se dirigent rue Jean-Jaurès. En entrant dans le logement, elle a la surprise de voir que l'appartement n'est pas vide. Deux hommes, âgés également d'une vingtaine d'années, sont déjà présents.

Elle se débat, ils la frappent en retour

Elle s'assoit. Tous les quatre discutent, mais très vite la situation dégénère. Deux des trois individus commencent à agresser la femme. Le troisième reste en retrait et refuse de participer. Malgré les réticences et les contestations de cette dernière, ils continuent leurs gestes déplacés, avant de tenter d'aller plus loin. Là, elle se débat, donne des coups. Ses agresseurs la frappent en retour. Puis maîtrisée, ils vont la violer pendant plus de quatre heures.

À la fin de ce calvaire, elle s'écroule en sanglots, les agresseurs la laissent tranquille. Elle se rhabille et peut quitter l'appartement sans être inquiétée. En sortant, elle se rend directement au commissariat central de Cannes, où elle dépose plainte.

Ils ne comprennent pas leur arrestation

L'enquête de la sûreté urbaine du commissariat permet de localiser les trois protagonistes. Ils sont interpellés dans la foulée. Placés en garde à vue, ils auraient expliqué que la victime était consentante, qu'ils ne comprenaient pas pourquoi ils avaient été interpellés.

Sans véritable profession, ils ont été déférés, hier, devant le procureur de la République de Grasse avant d'être mis en examen pour « viol en réunion » pour les deux auteurs du viol et pour « non-assistance à personne en danger » pour le troisième. Tous les trois ont été incarcérés à la maison d'arrêt.

 

Centrafrique : Paris mobilise 600 soldats - Le Figaro

La France saura-t-elle se sortir du pige centrafricain? Alors que les rebelles de la Slka s'approchent de Bangui, la capitale, dans une offensive qui semble inarrtable, et que le pouvoir ne parat pas enclin la ngociation, les regards se tournent vers Paris. Nous demandons nos cousins franais et aux tats-Unis (...) de nous aider repousser les rebelles sur leurs positions initiales, a dit Franois Boziz, le prsident centrafricain, lors d'un discours prononc mercredi sur la place principale de Bangui. La fin de non-recevoir de Franois Hollande fut nette. La France n'est pas prsente dans son ancienne colonie pour protger un rgime, mais pour protger (ses) ressortissants et (ses) intrts et en aucune faon pour intervenir dans les affaires intrieures d'un pays. Le prsident franais a en revanche appel toutes les parties cesser les hostilits.

Pour l'lyse, c'tait une occasion de symboliser la rupture avec la Franafrique prne par le nouveau prsident. Mais la cassure pourrait tre plus difficile faire qu' dire. Car, sur le terrain, quelque 250 militaires franais taient dj prsents dans le cadre de la mission Boali, une opration de soutien une autre mission, la Micopax, un corps expditionnaire compos de troupes d'Afrique centrale et destin stabiliser le pays. Ces derniers jours le contingent tricolore n'a cess de monter en puissance. D'abord vendredi, avec un renfort de 150 parachutistes des troupes de marine puis dimanche avec l'arrive de 180 lgionnaires supplmentaires. Au total c'est donc prs de 600 hommes qui sont stationns l'aroport de Bangui.

Ils sont l titre de prcaution en cas d'opration d'vacuation, assure-t-on au ministre de la Dfense. Environ 1200 Franais vivent en Centrafrique. Mais pas plus de 500 800 de nos compatriotes seraient dans le pays actuellement. Si l'on ajoute les Europens que la France a la charge de protger, c'est un peu plus de 1000 personnes qui pourraient tre exfiltres. Un nombre relativement faible au regard du dispositif. On compte presque un militaire par citoyen franais, sourit un homme politique centrafricain. Il semble que Paris redoute un affrontement dans la capitale. Il serait alors difficile d'assister un bain de sang sans tenter de calmer les choses, explique un bon connaisseur du dossier.

Le retour des paras

Paris se dfend d'avoir de telles intentions mais le soupon persiste. Ancienne puissance coloniale, la France fut longtemps la force qui faisait et dfaisait les rgimes sa guise, et la Centrafrique, une sorte de caricature de la Franafrique. Depuis une quinzaine d'annes, les autorits franaises tentent de rompre avec ce pass, sans y parvenir. Le tournant fut pris la fin des annes 1990 avec la fermeture de la base militaire de Bangui, puis le retrait des cooprants. Pourtant, en 2003, c'est avec la bndiction franaise que Boziz, aid par le Tchad, avait pris le pouvoir. En 2006, le mme Boziz tait parvenu convaincre d'appliquer les accords de dfense. La France tait encore intervenue. Mais moins d'un an plus tard, les parachutistes franais taient de retour pour dgager Birao, une ville du Nord, de rebelles soudanais. La fin de l'accord de dfense, remplac en 2010 par un partenariat, impliquait la fin de ce type d'opration. C'est le but de ce nouveau texte, assuraient les diplomates. Voici venue l'heure de l'preuve des faits.

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Bangui, le prsident Boziz est aux abois

Rugby - Top 14 - Clermont punit Bayonne - Sport 24

Toulouse s'est relancé en championnat en allant s'imposer à Castres dans la douleur (16-18). Un peu plus tôt, Clermont avait écrasé Bayonne (48-3) et le Racing-Métro s'était offert un festival offensif face à Agen (40-6).

Castres - Toulouse 16-18
Choc de la journée, le Castres-Toulouse n'a pas atteint des sommets de jeu à Pierre-Antoine. Mais avant de penser à séduire, les hommes de Guy Novès avaient surtout besoin de se rassurer après deux défaites en championnat. Même s'ils ont souvent été bousculés dans la conquête, voire même inquiétants en touche, les Rouge et Noir ont été intraitables au moment de conclure, grâce aux coups de pied de Lionel Beauxis, auteur des 18 points de son équipe. Dominateur, surtout en deuxième période, Castres a inscrit le seul essai du match par Andreu (9e) et aurait même pu en marquer un deuxième en fin de match lorsque Kockott (une transformation et trois pénalités) transperçait la défense toulousaine. Mais un en-avant contestable de l'ailier Martial a ruiné les espoirs d'un CO bien maladroit dans les dernières minutes alors qu'il campait dans le camp adverse.

Clermont - Bayonne 48-3
Sans surprise, l'ASM a signé sa 52ème victoire de suite au Stade Marcel Michelin. Les Bayonnais, qui n'avaient pas fait l'impasse malgré l'ampleur de la tâche, n'ont tenu qu'une vingtaine de minutes avant de prendre l'eau de toute part. Emmenés par un Rougerie en grande forme, les trois quarts clermontois ont pu briller avec deux doublés pour Fofana et Nalaga, puis deux autes essais de Buttin et Stanley. Grâce à cette victoire bonifiée, Clermont consolide sa deuxième place au classement.

Racing Métro – SU Agen 40-6
En difficulté depuis plusieurs semaines, le Racing Métro a peut être réalisé un match référence face à Agen. Grâce à un pack conquérant et aux jambes de Camille Gérondeau et Juan Imhoff, les Franciliens ont signé un large succès à Colombes, avec 4 essais marqués. Un résultat qui leur permet de se relancer dans la course aux barrages. De son côté, Agen est toujours relégable…

Mont-de-Marsan – Biarritz 18-19
Encore convalescent, Biarritz a peiné pour réussir à l'emporter chez la lanterne rouge. Comme souvent, Dimitri Yachvili a joué le rôle du sauveur en étant à l'origine d'une action sanctionnée par un essai de pénalité, puis de 14 points au pied. Profitant de l'indiscipline biarrote, les Montois n'ont rien lâché, mais échouent finalement à un petit point.

Grenoble – Union Bègles Bordeaux 19-9
Après sa belle victoire face à Toulouse, le FCG a réussi à confirmer avec un nouveau succès face à Bordeaux-Bègles. La botte de Valentin Courrent a permis aux Grenoblois de faire la course en tête, avant qu'un essai de Fabien Gengenbacher ne mette un terme au suspens. Toujours invaincus à domicile, les hommes de Fabrice Landreau prennent la 5ème place du classement en attendant le résultat de Montpellier. 

Montpellier - Stade Français 54-16
Avec une équipe fortement remaniée, le Stade Français ne s'attendait pas à faire des étincelles en déplacement à Montpellier. Mais les Parisiens n'avaient probablement pas programmé de remplir leurs valises avec autant de points pour leur retour dans la capitale. Les visiteurs ont fait illusion une trentaine de minutes avant de sombrer sous les vagues du MHRC et encaisser au total six essais par l'intermédiaire de Combezou (4e), Nagusa (33e), Trinh-Duc (36e), Tomas (55e), Bustos Moyano (65e) et Galletier (72e), Les Stadistes, qui ont offert sur un plateau le point du bonus offensif à leur adversaire du soir, ont sauvé l'honneur en aplatissant grâce à Missoup (47e). Maigre consolation. 

Résultats de la 14e journée :
Dimanche
Clermont-Bayonne 48-3
Grenoble-Bordeaux-Bègles 19-9
Mont-de-Marsan-Biarritz 18-19
Racing Métro-Agen 40-6
Castres-Toulouse 16-18
Montpellier-Stade Français 54-16

20h45
Toulon-Perpignan

dimanche 30 décembre 2012

Paris respire… à nouveau - Le Parisien

Paris au bout du suspense - Le Parisien

Marseille: entré armé dans un lycée, il est mis en examen - L'Express

Un jeune homme qui tait entr arm dans un lyce de Marseille au mois d'octobre a t mis en examen pour violence volontaire avec armes.

Ce jeune, g de 18 ans, tait entr, avec un comparse, dans un lyce des quartiers nord de Marseille, arm d'un pistolet et d'une arme blanche, pour s'en prendre un lve, le 23 octobre 2012.

Les deux jeunes recherchaient un des lycens avec lequel ils avaient eu maille partir plus tt dans la journe.

Ils avaient pris la fuite, refouls par l'quipe de l'tablissement, sans qu'aucun coup de feu n'ait t tir.

L'enqute, confie la Scurit publique, a permis d'interpeller le jeune homme, mineur au moment des faits. Son camarade, qui n'tait pas arm, n'a pas t mis en examen.

Avec

Paris reprend en attendant Lucas - Sport 24

Sans Zlatan Ibrahimovic en repos, le Paris SG a repris le chemin de l'entraînement à Doha samedi matin. Lucas Moura rejoindra ses nouveaux coéquipiers dimanche.

Lorsqu'il se déplace, le Paris SG version qatari ne fait plus dans la demi-mesure. Vendredi, c'est une délégation de plus de 100 personnes (joueurs, staff technique et familles) qui a débarqué à Doha pour un stage hivernal qui se terminera le 3 janvier. Cette petite armée se gonflera encore un peu plus avec les arrivées de Zlatan Ibrahimovic et des joueurs sud-américains qui ont bénéficié d'une journée de repos supplémentaire. Le Suédois pourra donc profiter de la neige de la station d'Are durant quelques heures supplémentaires avant d'accueillir dimanche l'unique recrue parisienne du mercato, Lucas Moura.

Le Brésilien était au centre de bien des discussions dans la luxueuse tour hôtelière qui abritera les Parisiens durant une petite semaine. Interrogé en conférence de presse après avoir dirigé son premier entraînement samedi, Carlo Ancelotti a confirmé que le petit prodige de Sao Paulo sera bien le seul renfort du mercato. «Nous avons une très bonne équipe, de très bons joueurs. On a fait de gros efforts durant le mercato estival, on a beaucoup recruté. On a déjà beaucoup de joueurs. On n'a pas besoin de recruter.»

Le club parisien gardera malgré tout un œil sur le marché. Pas pour recruter David Beckham qui «n'intéresse plus» Ancelotti, mais pour réaliser une bonne affaire ou préparer éventuellement la saison prochaine. «On ne va pas refuser mais on n'a pas besoin d'avoir d'autres joueurs», a précisé l'entraîneur qui a souvent répété vouloir s'appuyer sur un groupe de 25 joueurs. Le sien en comptera une trentaine avec l'arrivée de Lucas Moura.

«Je n'ai pas de problème pour gérer Nenê. S'il reste, il n'y a pas de problème.»

— C. Ancelotti

La porte pourrait donc s'ouvrir pour certains. «Gérer 30 joueurs n'est pas facile. J'ai déjà dit que si des joueurs veulent quitter le club, on peut y réfléchir mais aujourd'hui, il n'y a rien d'officiel», prévient le Transalpin. Le dossier le plus chaud mène évidemment à Nenê qui a émis le souhait de partir. Ancelotti n'écarte pas la possibilité de conserver le gaucher qui a des touches en Turquie et au Brésil : «Je n'ai pas de problème pour gérer Nenê. S'il reste, il n'y a pas de problème. J'ai géré Nene pendant un an, je peux encore le gérer un an ou deux. Le joueur qui ne mérite pas de jouer, il ne joue pas. S'il ne mérite pas d'être sur le banc, il va en tribunes.» Le meilleur buteur du club la saison passée (21 buts) rejoindra ses camarades dimanche. Il fera le point sur sa situation après les fêtes.

Le 31, Paris brille-t-il ? - Le Parisien

, belle endormie. Lundi soir, des dizaines de milliers de personnes se presseront sur les Champs-Elysées, pour y trouver le pâle mirage d'une fête : les bouteilles de champagne cachées sous le manteau*, quelques accolades sous le regard du dispositif policier. Mais aucune musique, aucun décompte, aucun feu d'artifice ne viendra égayer le rassemblement parisien.

Et pourtant. Nuit blanche, nuit des musées, -Plages, 14 Juillet… La ville n'est jamais avare quand il s'agit de briller. Mais elle ne sait pas se mettre sur son 31. Dommage, car le jour de la Saint-Sylvestre représente un pic touristique majeur, avec un taux d'occupation hôtelière proche de 100%. « C'est simple, les gens ne demandent pas s'il y a un feu d'artifice, ils veulent savoir où il a lieu », rapporte un professionnel du secteur à . Et chaque année, certains l'attendent jusqu'à minuit, bravement postés sous la tour Eiffel!

« Le problème est essentiellement budgétaire », se défend Jean-Bernard Bros, adjoint au maire chargé du tourisme. « Un feu d'artifice coûte 500000 €. La période économique est mauvaise, et on ne peut pas supprimer celui du 14 Juillet », enchaîne-t-il, un peu gêné. Mais la crise n'explique pas tout : Paris a toujours boudé le réveillon. La ville capitalise davantage sur son rayonnement culturel que sur la fête. « Contrairement à d'autres villes, il n'est pas dans la tradition parisienne de marquer ce rendez-vous », analyse le créateur d'événements Gad Weil, qui rêve, lui, d'une grande parade de chars. En dehors des Champs-Elysées, le réveillon se révèle inaccessible aux petites bourses. « Beaucoup de grands restaurants sont fermés. Les autres proposent des menus fixes entre 500 et 600 €. Le touriste n'apprécie pas qu'on le prenne pour un pigeon », explique Richard Vainopoulos, président du voyagiste Tourcom.

La Ville Lumière peut envier ses sœurs européennes comme Barcelone, Berlin, Saint-Pétersbourg ou encore Prague, villes réputées plus festives où les Français n'hésitent pas à aller guincher.

« Paris se repose sur sa renommée », regrette Richard Vainopoulos, qui rêve de régates sur la Seine pour un réveillon à la hauteur. Alors, à défaut de faire chavirer ses habitants pour la Saint-Sylvestre, les bus et métros circuleront gratuitement jusqu'au bout de la nuit!

* L'alcool est interdit sur l'avenue, comme au Trocadéro et au Champ-de-Mars.

BASKET : Paris-Levallois carbure, Nanterre doute - Le Parisien

A une journée du terme de la phase aller (programmée dans un peu plus de deux semaines), les deux clubs franciliens ont achevé hier l'année 2012 avec des fortunes diverses. Pendant que -Levallois corrigeait Le Havre (94-73) et retrouvait la du , Nanterre a, lui, rendu les armes (77-87) contre Gravelines-Dunkerque, l'une des autres équipes à faire la course en tête.

Paris-Levallois assume son statut de candidat au titre

Paris-Levallois a déjà rempli un premier objectif cette saison. En battant Le Havre, l'équipe de la capitale a décroché son ticket pour la Leaders Cup (ex-Semaine des As), qui réunira du 15 au 17 février à Disneyland Paris les huit premiers de la phase aller. « On le prend, commente l'entraîneur Christophe Denis. Et nous n'irons pas pour y participer, comme la saison passée, mais pour bien y figurer. Cela dit, ce n'est qu'un passage et la saison est encore longue. » Coleader du championnat, en compagnie de… cinq équipes, Paris-Levallois est aussi dans la bagarre pour le titre de champion. L'équipe dispose des atouts nécessaires pour un couronnement, mais elle fait aussi preuve de prudence. « Après une victoire comme celle-ci, on se sent bien, reconnaît John Cox, l'arrière américain. Mais on doit rester concentrés et travailler dur pour la suite de la saison. » Une année 2013 qui demandera beaucoup d'efforts aux Parisiens, engagés sur plusieurs tableaux. « Il y a une usure car ce début de saison, lors duquel nous sommes parfois revenus de l'enfer, nous a vidés, insiste Denis. Il faut prendre soin de notre physique et de notre mental, qui sont bien atteints. La période de janvier-février, avec six déplacements de suite en février, sera le tournant de la saison. »

Nanterre paie encore son manque de constance

Prétendant aux playoffs ou galérien pour le maintien? Il semble bien compliqué de cataloguer Nanterre en cette — presque — moitié de saison. Dominés hier par l'armada de Gravelines, les joueurs de Pascal Donnadieu sont partis en vacances avec le dossard de 13e (à égalité avec le 10e) et une courte victoire d'avance sur la zone de relégation. Un dernier match en 2012 à l'image de leur début de campagne, où ils ont alterné le bon et le mauvais. Capable de plus beaux exploits, comme ses victoires au Paris-Levallois (77-81) et contre Chalon (81-74), Nanterre connaît aussi de dangereux trous d'air à l'image de cette déroute à Roanne (94-64) ou lors du troisième quart-temps contre Gravelines (45-40, 20e puis 55-67, 28e).

« C'est toujours la même chose, on fait une première période très intéressante mais on gâche tout en quelques minutes au retour des vestiaires, explique Donnadieu. On peut très bien jouer par séquences mais aussi être catastrophiques sans explications rationnelles. » Nanterre est une équipe de paradoxe donc.

« C'est frustrant et rageant, peste Xavier Corosine, qui défendra son titre au concours à trois points, demain lors du All Star Game à Bercy. Je suis convaincu que lorsqu'on joue bien, on est capable de rivaliser avec n'importe qui et qu'on peut viser autre chose que le maintien… Mais si on n'est pas capable de plus de constance, on jouera le maintien. »

 

Paris : les salariés de Virgin Megastore mobilisés contre la fermeture - Le Parisien

Ils étaient plusieurs dizaines, ce samedi après-midi, à barrer l'entrée du Virgin Megastore des Champs-Elysées, pancartes à la main : les salariés du magasin parisien ont fait grève pour dénoncer sa fermeture annoncée.  D'autres distribuaient des tracts aux passants et tentaient de leur faire signer une pétition. Tous craignent pour leur .

Sur les 184 employés, 80% ont participé au mouvement selon la direction. En revanche, l'appel lancé par l'ensemble des de l'enseigne (CFTC, CFE-CGC, , FO et SUD), qui emploie 1 200 personnes en France, n'a pas été suivi dans les 26 autres magasins du groupe.

«Non à la fermeture, oui à la culture»

«Non à la fermeture, oui à la culture», scandaient les manifestants. «Veut-on la plus belle avenue du monde avec que des garages et des boutiques de vêtements ou veut-on qu'elle représente ce que l'on peut faire en France en termes de culture ?», insistait l'un d'entre eux. 

Selon Ian Brossat, le président du groupe des élus PCF-PG au Conseil de Paris, «dix magasins seraient menacés de fermeture, et la surface commerciale d'autres magasins serait réduite selon le plan de la direction». Dans un courrier adressé au ministre du Travail Michel Sapin, l'élu en appelle au ministre pour «maintenir tous les emplois menacés». Pour les manifestants, des solutions existent : «Si les actionnaires sont intelligents et savent se tourner vers les salariés, il y a des choses à faire, pour moderniser, pour accompagner la mutation», assure Frédéric Lebissonnais, délégué CGT du personnel.

Le fonds souverain qatari a déjà racheté l'immeuble

En plein marasme, la chaîne de produits culturels veut quitter au plus vite la prestigieuse avenue, où elle a ouvert en 1988 son vaisseau amiral, une grande surface de près de 7000 m2, dont 4500 m2 consacrés à la vente. En cause, la direction fait valoir des difficultés liées à la crise du marché des CD et DVD et à la numérisation des marchés de la musique et du livre, auxquelles s'ajoutent le coût très important du loyer (7 364 euros le mètre carré pour la location sur les Champs-Elysées !).

Les nouveaux propriétaires, des investisseurs du fonds souverain Qatar Investment Authority, «ont racheté l'immeuble pour en faire quelque chose, on ne sait pas quoi», explique Achène Bouzit, délégué FO. Et lors du Comité d'entreprise, «on a compris que le magasin allait fermer, mais on ne sait rien sur les salariés, rien sur le volet social». En effet, le 19 décembre, la direction a présenté aux élus du CE un projet de résiliation du bail du magasin des Champs-Elysées, qui représente à lui seul 20% du chiffre d'affaires de l'entreprise, pour un montant de 20 millions. Les élus ont refusé de se prononcer sur cette question, bloquant momentanément le processus.

Par ailleurs, la cession des licences d'exploitation à l'international a été actée mercredi lors d'un CE pour 10 millions d'euros au groupe Azadea. Cette cession doit être finalisée dans les prochains jours, selon des délégués syndicaux.


VIDEO. Virgin Champs-Elysées : mobilisation contre la fermeture

Ski: Paris et Reichelt 1ers ex aequo à Bormio - Libération

La descente de Bormio, la plus exigeante de la Coupe du monde de ski alpin, a pourtant fait enregistrer samedi les plus petits écarts de l'histoire de la discipline reine, avec deux vainqueurs, l'Italien Dominik Paris et l'Autrichien Hannes Reichelt.

Paris et Reichelt ont en outre devancé, au terme de presque deux minutes de combat, d'1/100e le Norvégien Aksel Lund Svindal, qui conforte ses places de leader aux classements général et de la spécialité, et de 2/100e l'Autrichien Klaus Kröll.

Les Français ont affiché leur force collective, avec Johan Clarey, cinquième à 32/100e du duo de tête, comme chef de file. "J'ai vraiment mis tout ce que j'avais dans le coeur et dans les jambes. Sur une référence comme Bormio, ça me satisfait. Je me rapproche des meilleurs. Un jour, ça tournera pour moi, j'en suis sûr", a remarqué +Yo+ Clarey, jamais plus loin que 13e cette saison.

Dixième, Adrien Théaux était néanmoins frustré, au contraire de David Poisson, 13e sur sa piste fétiche, et du jeune Brice Roger, 16e sur une pente où il avait marqué l'an dernier son premier point en Coupe du monde.

Jamais victoire dédoublée -la dernière en descente remonte à Kitzbühel en 1978 entre l'Autrichien Sepp Walcher et l'Allemand Sepp Ferstl-, ne fut pourtant autant savourée. Paris, 23 ans, a simplement remporté son premier succès en Coupe du monde, alors que Reichelt, 32 ans, n'avait jamais gagné en descente sur le circuit majeur, le Salzbourgeois comptant déjà cinq autres victoires, dont quatre en super-G.

Une Stelvio plus facile que les années précédentes, avec moins de glace en raison de températures douces et de chutes de neige récentes, expliquent en grande partie les écarts sur le fil des centièmes.

Mais, quelles que soient les conditions, la descente de Bormio reste la plus exténuante, celle où on peut perdre du temps mais aussi en récupérer mètre après mètre, comme l'atteste l'étude chronométrique des diverses sections.

Cette complexité fait aussi que deux gabarits bien différents ont partagé la plus haute marche du podium. Reichelt, vice-champion du monde de super-G, est un technicien, capable de briller en géant. Il a mené le bal sur le haut, avant de faiblir dans la dernier mur, quand les cuisses ne répondent plus aux impulsions du cerveau.

Très fort en glisse, Paris -gaillard de 95 kg- a beaucoup progressé dans la pente. C'est lui qui a terminé le plus fort samedi.

"Je suis très fier de gagner dans une troisième discipline en Coupe du monde", s'est exclamé Reichelt. Pour Paris, passionné de musique rock, guitariste et chanteur, c'est "l'aboutissement d'un rêve". "Je me pince encore pour y croire", a remarqué le skieur du Val d'Ultimo (+La vallée du dernier+), dans le Haut-Adige (nord-est).

Tenant du petit globe de cristal, Kröll a tout perdu dans le dernier schuss. Bien que malade, Svindal a démontré qu'il restait la référence. Le Viking a signé son 6e podium, pour trois victoires, en sept courses de vitesse depuis le début de la saison.

Classement de la descente de la Coupe du monde messieurs de ski alpin, samedi à Bormio:

1. Hannes Reichelt (AUT) 1:58.62

. Dominik Paris (ITA) 1:58.62

3. Aksel Lund Svindal (NOR) 1:58.63

4. Klaus Kroell (AUT) 1:58.64

5. Johan Clarey (FRA) 1:58.94

6. Werner Heel (ITA) 1:59.04

7. Travis Ganong (USA) 1:59.11

8. Romed Baumann (AUT) 1:59.28

9. Christof Innerhofer (ITA) 1:59.29

10. Adrien Théaux (FRA) 1:59.32

Classement de la Coupe du monde de descente (après 4 épreuves sur 9):

1. Aksel Lund Svindal (NOR) 285 points

2. Dominik Paris (ITA) 193

3. Klaus Kröll (AUT) 141

4. Kjetil Jansrud (NOR) 139

5. Christof Innerhofer (ITA) 133

6. Johan Clarey (FRA) 129

...

17. Guillermo Fayed (FRA) 70

18. Adrien Théaux (FRA) 62

Classement général de la Coupe du monde (après 14 épreuves sur 36):

1. Aksel Lund Svindal (NOR) 674 points

2. Marcel Hirscher (AUT) 560

3. Ted Ligety (USA) 537

4. Kjetil Jansrud (NOR) 322

5. Felix Neureuther (GER) 296

6. Hannes Reichelt (AUT) 289

7. Manfred Mölgg (ITA) 281

8. Werner Heel (ITA) 241

9. Dominik Paris (ITA) 215

10. Matteo Marsaglia (ITA) 209

...

12. Johan Clarey (FRA) 201

14. Alexis Pinturault (FRA) 196

15. Adrien Théaux (FRA) 193

21. Thomas Fanara (FRA) 146

Le Paris-Brest, 593km et 200 calories - Le Télégramme

Le Paris-Brest, 593km et 200 calories

30 décembre 2012 - Réagir à cet article

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La France compte sept millions de personnes obèses en 2012, soit 15% de la population adulte. Plus précisément, 15,7% des femmes et 14,3% des hommes sont en surpoids. Mais rassurez-vous, la Bretagne, avec 12%, est en dessous de la moyenne nationale. Selon l'étude ObEpi-Roche, le tour de taille tricolore est malgré tout passé en quinze ans de 85,2 à 90,5cm. Stop ou encore? «La malbouffe provoque des pathologies lourdes et ce sont les plus démunis qui sont les plus touchés par l'obésité», avertit le chef Michel Guérard qui invite l'industrie agroalimentaire à une reconquête sanitaire, dans son nouveau livre («Minceur essentielle», chez Albin Michel). «Je ne veux pas jouer au médecin mais on mange mal à l'hôpital et nous allons ouvrir, en mars prochain, une école de cuisine de santé, à Eugénie-les-Bains, qui s'adresse à toutes les collectivités».

«Se faire plaisir pour bien maigrir»

Michel Guérard pratique depuis 1975 cette cuisine essentielle, qu'il définit en deux mots: «Pour bien maigrir, il faut aussi se faire plaisir». Mais comment? «Prenez, par exemple, la vinaigrette, répond-il. Trois cuillères d'huile, et une de vinaigre, on a toujours fait comme ça. Eh bien, à la place, faites un bouillon de légumes, avec des feuilles de combava et de l'huile de verveine, vous avez une vinaigrette légère». Et quand on goûte, délicieuse. «Ce n'est pas du jus de parapluie, hein!». En 1976, ce petit bonhomme fait la couverture de Time, le plus grand magazine du monde, avec un titre qui lui aurait valu la corde dans toutes les cuisines bretonnes: «Hold the butter», arrêtez le beurre! Aujourd'hui, il rêve de convertir Michelle Obama au hamburger de canard des Landes, à 260 calories par personne. Et puisqu'on va prendre de l'avance sur la balance, il propose, en prime, un Paris-Brest au café à 200calories. Il a un truc: «Prenez des oeufs pas trop frais, les vieux blancs montent mieux, plus besoin d'ajouter de sel». Et, à la place du sucre, il utilise du xylitol, à base d'écorce de bouleau. Résultat, les blancs montés et la chantilly au café sont homogènes et pas du tout écoeurants. Du coup, on en reprend. «Vous avez raison, blague-t-il, le Paris-Brest a été inventé à la suite d'une course cycliste et il faut toujours une roue de secours».

  • T.D.
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samedi 29 décembre 2012

La Bourse de Paris clôture en baisse - Le Point

La Bourse de Paris a terminé sur un repli significatif vendredi (- 1,47 %), après avoir atteint un record annuel jeudi, dans un marché affecté par des prises de bénéfices et dominé par l'inquiétude sur l'issue des négociations budgétaires américaines. L'indice CAC 40 a perdu 54,01 points, pour s'inscrire à 3 620,25 points, dans un volume d'échanges très faible d'à peine un milliard d'euros.

Manifestation à Paris pour des sans-papiers lillois en grève de la faim - BFMTV.COM

Environ 200 personnes ont manifesté vendredi à Paris pour demander la régularisation d'une cinquantaine de sans-papiers qui ont déposé leurs dossiers à Lille et disent avoir entamé une grève de la faim début novembre.
   
Derrière une banderole sur laquelle on pouvait lire "la régularisation c'est maintenant", faisant allusion au slogan de la campagne présidentielle de François Hollande, les manifestants ont défilé pour dénoncer la politique du gouvernement mais aussi la mise "en danger" des sans-papiers.
Les manifestants répondaient à un appel de plusieurs associations et partis de gauche.
    
A Lille, une manifestation rassemblant plusieurs centaines de personnes avait déjà eu lieu le 22 décembre en soutien aux sans-papiers évacués la veille d'une église et se disant en grève de la faim depuis 58 jours.

Marseille : Nkoulou ne veut pas parler de son avenir - Sport365.fr

Sous contrat jusqu'en juin 2015 avec Marseille, le défenseur central international camerounais Nicolas Nkoulou (22 ans) évoque sa situation. Titularisé à dix-neuf reprises cette saison en championnat, le natif de Yaoundé est suivi de près par certaines grosses écuries européennes, dont le Milan AC et Chelsea. « Comme j'ai toujours dit, j'appartiens à l'OM, confie l'ancien Monégasque à But! Marseille. L'été dernier, j'étais déclaré intransférable, je l'ai pris comme une marque de confiance. Je ne veux pas parler de l'avenir. Je profite des bons moments que je passe ici. Comme tous les joueurs. On a envie de se retrouver dans les plus grands clubs, comme tous ces grands joueurs. Maintenant, avant de penser au futur, il faut profiter du présent. Je passe des très bons moments ici, et je vais les savourer tant que je pourrais. »

La Bourse de Paris-Les valeurs du jour vendredi (clôture) - Reuters

* Valeurs qui se traitent ex-dividende         PARIS, 28 décembre (Reuters) - Les valeurs du jour vendredi  à la Bourse de Paris, où l'indice CAC 40 a perdu 1,47% à  3.620,25 points dans un marché très peu actif (1,3 milliard  d'euros échangé sur NYSE Euronext) et inquiet alors que s'ouvre  un nouveau round de négociations budgétaires entre  l'administration Obama et les Républicains en vue d'éviter le  "Fiscal Cliff" et la récession qui ne manquerait pas de  s'ensuivre. Sur la semaine, l'indice phare a perdu 1,12% mais  reste gagnant de 14,57% depuis le début de l'année.            * Les BANCAIRES, affectées par le climat politique à  Washington et les difficultés de la banque espagnole Bankia   (-26,8%) ( ) ainsi que les deux poids  lourds du CAC 40, SANOFI (-1,97% à 70,73 euros et  TOTAL (-1,53% à 38,91 euros) ont été les principaux  contributeurs à la baisse de l'indice.      * BNP PARIBAS (-2,53% à 42,335 euros) et SOCIETE  GENERALE (-2,6% à 28,15 euros) ont accusé les deux  plus fortes baisses du CAC 40. CREDIT AGRICOLE a perdu  1,78% à 6,054 euros.            * VINCI a perdu 2,31% à 35,695 euros après avoir  acquis 95% de Ana, la société publique exploitante des aéroports  portugais, au prix fort de 3,08 milliards d'euros.               * STMICROLECTRONICS (+0,43% à 5,347 euros) et  SAFRAN (+0,08% à 32,48 euros) ont été les seules  valeurs du CAC 40 à finir dans le vert.            * NICOX (+2,42% à 2,33 euros) a signé la plus  forte hausse de l'indice SBF 120, la valeur ayant franchi en  matinée une résistance technique importante située à moins de  2,34 euros.             * ATARI a chuté de 7,37% à 0,88 euro, l'éditeur de  jeux vidéo ayant lancé un avertissement sur ses résultats et  prévenu de tensions sur sa trésorerie.      (Raoul Sachs, Alexandre Boksenbaum-Granier, édité par Cyril  Altmeyer)

Paris veut faire en RCA la preuve de la fin de la "Françafrique" - Reuters

* Le pays où la France est intervenue militairement le plus souvent

* Les ressortissants français, "préoccupation unique"-Le Drian

PARIS, 28 décembre (Reuters) - Le refus français d'intervenir en Centrafrique pour sauver le régime de François Bozizé menacé par les rebelles de l'alliance Seleka illustre la volonté du gouvernement socialiste de mettre définitivement fin à la "Françafrique".

Le président centrafricain a demandé aux "cousins français" de l'aider à repousser les rebelles sur leurs positions initiales pendant la médiation internationale qui devait commencer vendredi à Libreville, au Gabon, pour permettre de trouver une solution à la crise. (voir )

Mais c'est précisément ce que la France se refuse à faire en Centrafrique, le pays où les troupes françaises sont intervenues le plus souvent en Afrique après la décolonisation en 1960.

"Notre préoccupation unique et forte est d'assurer la sécurité de nos ressortissants", a déclaré vendredi le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian après un entretien à l'Elysée avec François Hollande.

Le président français avait affiché jeudi sa détermination à ne pas céder aux appels du gouvernement de Bangui.

"Si nous sommes présents, ce n'est pas pour protéger un régime, c'est pour protéger nos ressortissants et nos intérêts et en aucune façon pour intervenir dans les affaires intérieures d'un pays, en l'occurrence la Centrafrique", a déclaré le chef de l'Etat en marge d'une visite au marché de Rungis, près de Paris. "Ce temps-là est terminé", avait-il insisté.

C'était le temps où, en 1979, l'opération Barracuda menée par des commandos français équipés d'hélicoptères Puma et d'avions de transport Transall participaient au renversement de Jean-Bedel Bokassa, qui s'était couronné empereur en 1977 lors d'une cérémonie ruineuse calquée sur celle de Napoléon en 1804.   Suite...

les grands magasins lancent les promotions avant les soldes - Le Parisien

Les fêtes de Noël sont à peine passées et la période des présoldes démarre. Depuis jeudi, les détenteurs de cartes de fidélité sont invités à venir profiter de promotions privées dans les grands magasins. Ces rabais de 30 à 60% sont pratiqués sur une sélection d'articles signalés par des pastilles de couleur jusqu'au 8 janvier, veille des soldes d'hiver, qui dureront jusqu'au mardi 12 février 2013.

Anna, une Parisienne trentenaire, profite de cette opération pour mettre la main sur de bonnes affaires aux Haussmann (IXe). « Ça tombe bien, j'ai encore des cadeaux à offrir », confie-t-elle, en glissant une pochette en cuir bradée dans son sac de courses.

« Les prix ont atteint des niveaux déraisonnables ces dernières années. Il faut être fou pour acheter une écharpe made in China à 120 €. Seuls les touristes s'autorisent ce genre de folie. Grâce aux promos, les prix sont réajustés et deviennent tout simplement plus abordables », estime Florence, une quadra parisienne. Au rayon mode enfant, des mères de famille s'activent dans les stands tandis que les bambins s'agitent… « Je profite de cet avantage offert pour acheter des vêtements coups de cœur pour ma famille, confie Samantha. Les promotions ne concernent que certains articles, et les prix ne sont pas tous cassés, mais j'ai plus de chances de trouver la bonne taille et la bonne couleur que pendant les soldes. » « Ici, il y a une bonne sélection de vêtements d'enfants, et c'est plus facile de faire son choix », ajoute David, son compagnon.

En novembre déjà et même juste avant les fêtes de Noël, les grands magasins avaient proposé une série de promotions pour tenter de soutenir les ventes. Le BHV a même offert une réduction de 20% sur tout le magasin aux détenteurs de cartes venus faire leur shopping entre 9h30 et 15 heures. Une manière de booster les ventes et de consolider le chiffre d'affaires avant la fin de l'année.

De nombreux commerces de prêt-à-porter indépendants ont emboîté le pas aux grands magasins. Les promotions devraient atteindre cette année, selon l'Institut français de la mode (IFM), un niveau record de 18% des ventes totales de vêtements en , contre 16% en 2011. « Les gens ne savent plus où ils en sont car il y a toujours des promotions », soupire une vendeuse du BHV. D'après l'IFM, le de la vente de l'habillement devrait terminer en recul de 2,1% en 2012, et l'année 2013 ne s'annonce pas meilleure. Acheter à prix barré est devenu la règle chez les consommateurs. Résultat : les soldes perdent aussi de leur attractivité.

Paris carbure, Nanterre doute - Le Parisien

A une journée du terme de la phase aller (programmée dans un peu plus de deux semaines), les deux clubs franciliens ont achevé hier l'année 2012 avec des fortunes diverses. Pendant que -Levallois corrigeait Le Havre (94-73) et retrouvait la du , Nanterre a, lui, rendu les armes (77-87) contre Gravelines-Dunkerque, l'une des autres équipes à faire la course en tête.

Paris-Levallois assume son statut de candidat au titre

Paris-Levallois a déjà rempli un premier objectif cette saison. En battant Le Havre, l'équipe de la capitale a décroché son ticket pour la Leaders Cup (ex-Semaine des As), qui réunira du 15 au 17 février à Disneyland Paris les huit premiers de la phase aller. « On le prend, commente l'entraîneur Christophe Denis. Et nous n'irons pas pour y participer, comme la saison passée, mais pour bien y figurer. Cela dit, ce n'est qu'un passage et la saison est encore longue. » Coleader du championnat, en compagnie de… cinq équipes, Paris-Levallois est aussi dans la bagarre pour le titre de champion. L'équipe dispose des atouts nécessaires pour un couronnement, mais elle fait aussi preuve de prudence. « Après une victoire comme celle-ci, on se sent bien, reconnaît John Cox, l'arrière américain. Mais on doit rester concentrés et travailler dur pour la suite de la saison. » Une année 2013 qui demandera beaucoup d'efforts aux Parisiens, engagés sur plusieurs tableaux. « Il y a une usure car ce début de saison, lors duquel nous sommes parfois revenus de l'enfer, nous a vidés, insiste Denis. Il faut prendre soin de notre physique et de notre mental, qui sont bien atteints. La période de janvier-février, avec six déplacements de suite en février, sera le tournant de la saison. »

Nanterre paie encore son manque de constance

Prétendant aux playoffs ou galérien pour le maintien? Il semble bien compliqué de cataloguer Nanterre en cette — presque — moitié de saison. Dominés hier par l'armada de Gravelines, les joueurs de Pascal Donnadieu sont partis en vacances avec le dossard de 13e (à égalité avec le 10e) et une courte victoire d'avance sur la zone de relégation. Un dernier match en 2012 à l'image de leur début de campagne, où ils ont alterné le bon et le mauvais. Capable de plus beaux exploits, comme ses victoires au Paris-Levallois (77-81) et contre Chalon (81-74), Nanterre connaît aussi de dangereux trous d'air à l'image de cette déroute à Roanne (94-64) ou lors du troisième quart-temps contre Gravelines (45-40, 20e puis 55-67, 28e).

« C'est toujours la même chose, on fait une première période très intéressante mais on gâche tout en quelques minutes au retour des vestiaires, explique Donnadieu. On peut très bien jouer par séquences mais aussi être catastrophiques sans explications rationnelles. » Nanterre est une équipe de paradoxe donc.

« C'est frustrant et rageant, peste Xavier Corosine, qui défendra son titre au concours à trois points, demain lors du All Star Game à Bercy. Je suis convaincu que lorsqu'on joue bien, on est capable de rivaliser avec n'importe qui et qu'on peut viser autre chose que le maintien… Mais si on n'est pas capable de plus de constance, on jouera le maintien. »

 

La Bourse de Paris fléchit, inquiète du budget américain - La Voix du Nord

vendredi 28 décembre 2012

A Marseille, Diamant Factory met la place d'Anvers à portée des ... - Les Échos

Niché dans une cour discrète du centre-ville, le magasin présente un large choix de solitaires et d'alliances à tous les prix, de 180 à plusieurs milliers d'euros. Mais l'essentiel se tient ailleurs. Derrière la vitre de l'atelier jaillissent des créations sans équivalent. « Nos clients choisissent la pierre qu'ils souhaitent en fonction de leur budget et de leurs envies », explique le diamantaire. Habituellement, c'est le joaillier qui peut sélectionner chez les diamantaires les 4C d'un caillou précieux : clarté (définie par l'échelle de pureté), coupe (la qualité de la taille), carat (le poids par unité de 0,20g) et couleur (du blanc le plus transparent au diamant teinté). Le choix est forcement restreint, fonction du stock géré par le professionnel.

Marseille, ville pauvre et nouveau territoire du luxe - Les Échos

Normal, estime le sociologue André Donzel qui parle de Marseille comme d'une « métropole duale » proche des configurations urbaines tiers-mondistes qui voient se côtoyer sur le même trottoir hyperriches et ultrapauvres. Pour lui, Marseille est d'abord la capitale d'une région qui figure au troisième rang des régions françaises de province pour la collecte de l'impôt sur les grandes fortunes. L'an passé, plus de 6.200 Marseillais ont payé l'ISF alors que 28 % de la population phocéenne vit sous le seuil de pauvreté qui dépasse dans certains quartiers nord, 65 %. Moyenne de leur patrimoine : 1,67 million d'euros. « La fortune des quatre premiers Marseillais les plus riches équivaut au budget 2011 de la ville (1,8 milliard d'euros) », comparaît il y a peu le quotidien communiste « La Marseillaise ». Saadé (CMA CGM), Ricard, Bellon (Sodexo), Granjon (Vente-privées. com), Chateauvieux (Bourbon), Dréau (SNEF), Reinier (Onet), Piétri (Constructa), Arnoux (CIS)… Au total, quinze familles marseillaises figuraient dans le dernier Top 500 national des fortunes professionnelles.

La Bourse de Paris - Les valeurs à suivre vendredi (avant-Bourse) - Reuters

* Variation des futures sur indice CAC 40 <0#FCE:>      * Valeurs qui se traitent ex-dividende         PARIS, 28 décembre (Reuters) - Les valeurs à suivre vendredi  à la Bourse de Paris :            * VINCI  a remporté l'appel d'offres pour la  privatisation de l'opérateur aéroportuaire ANA, a annoncé le  gouvernement portugais jeudi, précisant que le groupe français  verserait 3,08 milliards d'euros pour 95% de la société.              * ATARI. L'éditeur de jeux vidéo a annoncé jeudi  que l'accord de restructuration conclu le 28 septembre dernier  avec BlueBay, son principal actionnaire et créancier, serait  caduc à son terme, soit le 31 décembre 2012. Le groupe anticipe  désormais un creusement de sa perte opérationnelle courante au  second semestre 2012 comparé au premier.       Communiqué de la société : link.reuters.com/cuq84t            EVENEMENT:      * DEXIA / Décision de la Commission européenne sur  le renflouement et la restructuration du groupe bancaire           (Alexandre Boksenbaum-Granier)

Syrie: Paris et l'opposition rejettent toute transition sous l'égide d ... - L'Express

"Bachar el-Assad ne peut faire partie de la transition politique" en Syrie. Pour la France, qui a dclar, ce jeudi, que le prsident syrien porte la responsabilit des 45 000 victimes de ce conflit, cette possibilit diplomatique est exclure.

Un peu plus tt, l'missaire Lakhdar Brahimi a appel un changement "rel" et la formation d'un gouvernement de transition ayant les pleins pouvoirs, avant la tenue d'lections pour sortir le pays de la crise. Il s'tait cependant abstenu de mentionnner clairement le sort du dictateur.

De son ct, la Russie a dmenti l'existence d'un accord avec les Etats-Unis sur le maintien de Bachar el-Assad jusqu'au terme de son mandat en 2014, sans possibilit de se reprsenter.

L'opposition ferme quant au dpart de Bachar el-Assad

La principale plateforme de l'opposition syrienne s'est dite ouverte tout processus de transition politique, ds lors que le prsident Bachar el-Assad et ses proches n'en font pas partie.

"Nous accepterons toute solution politique qui n'inclut pas la famille Assad et ceux qui ont fait du mal au peuple syrien. En dehors de a, toutes les options sont sur la table", a dclar Walid al-Bunni, porte parole de la Coalition nationale syrienne (CNS).

"Notre premire condition" concernant les hauts responsables du rgime, "c'est qu'ils quittent le pays", a soulign M. al-Bunni, lors d'une confrence de presse Istanbul.

Sur le terrain, les violences se poursuivaient jeudi, avec l'explosion d'une voiture pige dans la banlieue de Damas, qui a fait selon la tlvision d'Etat quatre morts et dix blesss, au lendemain de la mort de 121 personnes, dont 50 rebelles et 41 soldats, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.

Le conflit en Syrie a fait plus de 45 000 morts, deux millions de dplacs et quatre millions de personnes ayant dsormais besoin d'aide humanitaire, selon l'ONU.

Avec

Clôture en ordre dispersé des marchés européens, Paris en hausse - Reuters

PARIS (Reuters) - Les Bourses européennes ont terminé en ordre dispersé jeudi, les intervenants redoutant à nouveau que les négociations budgétaires américaines ne débouchent sur rien de concret, après les déclarations pessimistes d'un responsable démocrate, lesquelles pesaient également sur Wall Street à la mi-séance.

La question du "mur budgétaire" américain - ce déclenchement simultané d'une hausse des impôts et de coupes claires dans le budget début 2013, avec risque de récession à l'appui, faute d'un compromis entre la Maison Blanche et le Congrès d'ici la fin de l'année - reste l'obsession des places boursières.

"Il semble que c'est vers cela que nous nous dirigeons", a déclaré le chef de file démocrate au Sénat Harry Reid en référence au "fiscal cliff".

Mais la plupart des traders continuent tout de même de miser sur un accord de dernière minute. "Les clients sont un peu nerveux. On risque un nouveau recul mais la perspective d'ensemble reste positive; on pense que, dos au mur, ils parviendront à un accord", dit Giles Watts (City Index).

A Paris, le CAC 40 a gagné 0,59% à 3.674,26. Le Dax allemand a gagné 0,26% à 7.655,88 et le FTSE britannique est stationnaire à 5.954,30. L'indice Euro Stoxx 50 progresse de 0,43% à 2.659,95 mais le FTSEurofirst 300 abandonne 0,04% à 1.137,30.

Aux valeurs, la banque espagnole Bankia accuse la plus forte baisse du jour (-19,53%). Bankia va lessiver 350.000 actionnaires, dont beaucoup de petits porteurs sans grande connaissance des arcanes de la finance, après qu'il a été rendu public que la banque avait une valorisation négative de 4,2 milliards d'euros.

Aux changes, le yen a inscrit un plus bas de plus de deux ans face au dollar de 85,92, les cambistes étant convaincus que le nouveau gouvernement s'emploiera à faire baisser la monnaie nationale, tout en faisant pression sur la Banque du Japon (BoJ) pour qu'elle prenne de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire.

Le yen a perdu 10,5% face au dollar cette année, sa perte la plus forte depuis 2005, accumulée pour l'essentiel ces deux derniers mois.

En revanche, l'euro a poursuivi sa progression contre le billet vert, s'inscrivant à plus de 1,32 dollar pour la huitième séance d'affilée, en raison notamment d'ajustements de positions de fin d'année et aussi du sentiment que les tensions en zone euro tendent à s'apaiser.   Suite...

La Bourse de Paris - Les valeurs du jour jeudi (clôture) - Reuters

* Valeurs qui se traitent ex-dividende         PARIS, 27 décembre (Reuters) - Les valeurs du jour jeudi à  la Bourse de Paris, qui a clôturé en hausse après avoir touché  un nouveau sommet annuel en séance dans des volumes toutefois  très faibles en cette période de fêtes de fin d'année et alors  que le marché reste focalisé sur la situation budgétaire  américaine (voir et ).      L'indice CAC 40, qui a inscrit un nouveau plus haut  depuis août 2011 à 3.684,16 points, a fini en hausse de 0,59% à  3.674,26 points dans des volumes d'échanges représentant la  deuxième séance la plus faible de cette année en la matière  après le 25 décembre, avec seulement 1,49 milliard d'euros  échangés sur NYSE Euronext:            * Les VALEURS CYCLIQUES ont profité de l'objectif de 10% de  Pékin pour 2013 sur la croissance de la production industrielle  chinoise.       SCHNEIDER ELECTRIC (+2,33% à 55,87 euros) a fini  en tête des hausses du CAC 40, imité sur le SBF 120   par SOITEC (+5,24% à 2,61 euros). VINCI   s'est octroyé 1,58% à 36,54 euros, SAINT-GOBAIN 1,1% à  32,575 euros, et hors CAC, ERAMET a pris 3,15% à  112,85 euros.      L'indice Stoxx du secteur européen des ressources de base   a gagné 0,7%, celui de la construction 0,69% et  l'automobile 0,61%.             * Le SECTEUR IMMOBILIER européen (+0,88%) a réalisé  la meilleure performance sectorielle en Europe. Le secteur  confirme son redressement aux Etats-Unis, où les ventes de  logements neufs ont augmenté en novembre à leur rythme le plus  marqué en deux ans et demi.       UNIBAIL-RODAMCO a avancé de 2,26% à 187,90 euros,  SILIC de 1,86% à 83,82 euros et GECINA de  1,38% à 86,82 euros.            * VIVENDI a fini sur un gain de 1,05% à 17,35  euros. Le groupe de télécommunications sud-coréen KT Corp   a fait savoir mercredi qu'il avait soumis le 17  décembre une lettre d'intention en vue d'acheter une  participation dans Maroc Télécom.             * PAGESJAUNES, qui perd encore 31% cette année, a  grimpé de 4,3% à 1,94 euro après son gain de 2% lundi à la suite  de l'annonce d'un accord avec des créanciers devant permettre la  mise en oeuvre de la restructuration financière de Mediannuaire  Holding (MDH), le principal actionnaire de l'éditeur  d'annuaires.             * STMICROELECTRONICS (-1,11% à 5,324 euros) a  accusé la plus forte baisse du CAC 40, la valeur ayant une  nouvelle fois buté sur une résistance technique située autour de  5,4 euros après l'avoir testée à plusieurs reprises depuis le 10  décembre.            * De même, TF1 (-0,87% à 8,749 euros) n'a pas  réussi à franchir une résistance technique autour de 8,8-8,9  euros.     (Alexandre Boksenbaum-Granier et Raoul Sachs, édité par Cyril  Altmeyer)

Bardot à la rescousse des éléphantes de Lyon : «Qu'on leur foute la ... - Le Parisien

La célèbre défenseur des animaux veut sauver Baby et Népal. Soupçonnées d'avoir la tuberculose, ces deux éléphantes du zoo du parc de la Tête-d'Or à Lyon, ex-reines du cirque Pinder, doivent être euthanasiées. Dans un courrier adressé au préfet du Rhône, elle a proposé que la Fondation prenne en charge les deux éléphantes pour les confier à « une structure adaptée » et leur apporter « les soins appropriés dès lors qu'elles auront été saisies et ne seront plus la propriété du Cirque Pinder ». Comme à son habitude, elle ne mâche pas ses mots.

Pourquoi vouloir sauver ces deux éléphantes?
BRIGITTE BARDOT.
Quelle question, vous êtes rigolo, vous! Mais tout le monde a envie de les sauver, la France entière se mobilise là-dessus. J'ai dédié ma vie au sauvetage des animaux, je veux les sauver. Mais c'est assez compliqué à partir du moment où l'administration s'en mêle…

Vous pointez du doigt la responsabilité des humains dans ce qui arrive à Baby et Népal…
Si les éléphantes en sont là, c'est à cause d'eux. Ces animaux ne sont pas faits pour vivre dans des cirques ou des zoos. Ces deux éléphantes ne sont jamais en contact avec la nature, elles ont forcément attrapé un virus donné par l'homme. Il ne faut pas faire venir ces animaux de leur pays d'origine, ils sont au cœur de trafics. On est train de détruire la planète.

Que faire pour leur éviter l'euthanasie?
Il y a des vétérinaires spécialisés qui savent les soigner. Si on ne les soigne pas, elles vont mourir, c'est une question d'humanité. Elles ont aussi besoin de prendre l'air, de ne plus être enfermées, de ne plus être esclaves, elles ont travaillé toute leur vie, qu'on leur foute la paix! On peut leur trouver un endroit où elles ne seront pas parquées derrière des grilles.

Vous en appelez au ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll…
On vient de lui écrire pour lui demander d'annuler la décision préfectorale d'euthanasie. C'est lui qui doit décider en dernier recours. J'espère qu'il aura la politesse et la courtoisie de nous répondre. Parce que depuis que ce gouvernement est au pouvoir, on n'a jamais de réponse. On a écrit par exemple à la ministre de l'Ecologie sur les animaux en voie de disparition, on attend toujours son courrier. Dans le gouvernement précédent, ils n'ont jamais rien fait mais, au moins, ils répondaient à nos courriers.

La Bourse de Paris, soulagée par la survie de l'euro, reprend goût ... - La Croix

Après deux années noires, la Bourse de Paris a gagné 16,28% en 2012, rassurée par la survie de la zone euro, et la nouvelle année s'annonce bien, avec le goût retrouvé des investisseurs pour les placements en actions, en dépit de l'environnement économique fragile.

Entre le 1er janvier et le 27 décembre, l'indice CAC 40 a gagné 514,45 points pour terminer jeudi à son plus haut niveau de l'année, à 3.674,26 points. En 2011, le marché avait lâché 16,95%, après -3,34% en 2010.

"On pousse un ouf! de soulagement", lâche Renaud Murail, gérant de portefeuille chez Barclays Bourse, qui prévoit une année boursière 2013 bien orientée et surtout "plus normale".

Un sentiment partagé par de nombreux investisseurs qui rappellent, à l'instar de ceux chez Edmond de Rothschild AM, que "l'année s'est bien déroulée, alors que c'était loin d'être gagné au départ!".

2013 devrait être placée sous le signe de la confiance retrouvée et de la prise de risque, avec un objectif de 4.000 points pour l'indice phare.

Les douze mois qui viennent de s'écouler peuvent se partager en deux périodes: avant et après le discours du président de la Banque centrale européenne Mario Draghi.

Avant le 26 juillet, le marché broyait du noir, sous la menace d'une implosion de la zone euro. Mais un tournant a eu lieu quand M. Draghi s'est engagé à tout faire pour sauver l'euro. A partir de là, les investisseurs ont repris progressivement confiance, voyant s'éloigner les risques d'un effondrement de la monnaie unique. Le rebond a été par la suite alimenté par des politiques monétaires favorables des deux côtés de l'Atlantique.

Cette évolution était d'autant plus significative qu'elle est intervenue dans un environnement mondial détérioré et dans une zone euro en récession.

Pour une fois, le CAC 40 s'est pour une fois mieux comporté que le Dow Jones américain (+7,34%) et les banques, baromètres de la confiance des milieux financiers, sont parmi les grandes gagnantes de l'année (+40%).

L'année qui s'ouvre sera donc celle "d'une nouvelle donne européenne", pour Edmond de Rothschild AM. Car les investisseurs, désormais rassurés sur la zone euro, pourront se focaliser sur des données macroéconomiques mondiales et sur la santé des entreprises.

"Fin 2012, le goût du risque revient sur les places boursières, élément moteur pour le marché actions", souligne M. Murail. Mais est-ce que cet appétit pour les actifs risqués résistera en cas de dégradation plus importante que prévu de la conjoncture ?, s'interroge-t-il.

Une question qui reste ouverte mais n'empêche pas les gérants de se déclarer prêts à acheter des titres de groupes européens, d'autant que leurs faibles prix sont très séduisants.

"L'espoir l'emporte sur la crainte", fait-on remarquer chez KBL Richelieu.

Pour Philippe Uzan, directeur des gestions chez Rothschild AM, "c'est certainement le moment de saisir les opportunités dans les actifs risqués", comme les actions. "Les entreprises regorgent de liquidités, et devraient avoir une politique de dividende plus ambitieuse pour fidéliser leurs actionnaires. Elles pourraient également être tentées de se lancer dans des opérations de fusion-acquisition, ce qui est un vecteur de hausse de la Bourse", ajoute-t-on chez le gérant.

Les valeurs minières et industrielles devraient être bien orientées après avoir souffert en 2012 du ralentissement mondial et sont actuellement peu chères, souligne le gérant Schroeder.

Parmi les titres préférés des investisseurs figurent les groupes ayant des activités hors des frontières européennes mais également les entreprises qui ont des projets de "spin off" (scission) ou d'acquisitions.

Vivendi, qui est en train de restructurer son portefeuille, est cité comme disposant d'un fort potentiel de hausse, tout comme PPR qui veut se séparer prochainement de la Fnac, Lagardère qui va se désengager de Canal+ ou encore Carrefour dont la stratégie implique de céder de nombreux actifs.

Bangui lance un appel à l'aide, Paris renâcle - Le Point

par Paul-Marin Ngoupana

BANGUI (Reuters) - Le président centrafricain François Bozizé a demandé jeudi à la France et aux Etats-Unis de l'aider à repousser les rebelles du Séléka qui menacent la capitale, Bangui.

Mais l'ancienne puissance coloniale, qui a longtemps fait la pluie et le beau temps en République centrafricaine (RCA), a refusé en faisant savoir que ses troupes n'avaient pas d'autre mission que de protéger ses propres ressortissants.

Les États-Unis ont quant à eux annoncé jeudi l'interruption de toute opération à la mission américaine de Bangui et le départ de République centrafricaine de l'ambassadeur et du personnel diplomatique.

"Cette décision est uniquement due à des inquiétudes concernant la sécurité de notre personnel et n'a pas de rapport avec nos relations diplomatiques continues et de longue date avec la RCA", a déclaré Patrick Ventrell, porte-parole du Département d'État, dans un communiqué.

Les États-Unis appellent les différentes parties à dialoguer, est-il ajouté.

L'appel du président centrafricain a coïncidé avec les efforts déployés par les dirigeants de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale (CEEAC) pour arracher un accord de cessez-le-feu à des insurgés qui ont affirmé avoir stoppé leur avance sur la capitale pour permettre ces discussions.

"Nous demandons à nos cousins français et aux Etats-Unis, qui sont des grandes puissances, de nous aider à repousser les rebelles sur leurs positions initiales afin de permettre un dialogue à Libreville pour résoudre cette crise", a dit le chef de l'Etat centrafricain lors d'un discours prononcé sur la place principale de Bangui.

VERS DES POURPARLERS AU GABON?

Jeudi, le président François Hollande a mis les points sur les i en déclarant que Paris n'était pas présent en Centrafrique pour "protéger un régime", mais "pour protéger nos ressortissants et nos intérêts et en aucune façon pour intervenir dans les affaires intérieures d'un pays".

"Ce temps-là est terminé", a souligné le chef de l'Etat français lors d'une visite matinale aux halles de Rungis (Val-de-Marne). Paris compte aujourd'hui 250 militaires présents en RCA dans le cadre d'une mission de maintien de la paix.

Le Quai d'Orsay a rappelé de son côté que la France condamnait "la poursuite des hostilités de la part des mouvements rebelles" et demandait à "toutes les parties centrafricaines de s'engager de bonne foi dans les négociations qui s'ouvriront prochainement à Libreville" entre le gouvernement centrafricain, les mouvements rebelles et l'opposition démocratique.

Mercredi, un ministre centrafricain avait demandé l'intervention des soldats français stationnés dans le pays pour contrer la progression des rebelles venus du Nord, signalés à 75 km de Bangui à bord de motos et de pick-up.

Le même jour, des dizaines de manifestants ont jeté des pierres contre la mission française à Bangui et déchiré le drapeau tricolore, dénonçant la passivité de Paris.

"Les Français qui résident à Bangui n'ont pas du tout été pris à partie, ils n'ont pas été menacés dans leur sécurité", a assuré l'ambassadeur de France à Bangui, Serge Mucetti, au micro de RFI.

AUX ALENTOURS DE BANGUI

"Il y a eu simplement un groupe de quelques dizaines (...) d'éléments incontrôlés qui profitent de la situation et qui veulent déstabiliser la communauté internationale, qui veulent affaiblir le gouvernement centrafricain en se livrant à des actes de violences comme ils l'ont fait (hier) matin devant la chancellerie de France."

François Hollande a cependant ordonné la sécurisation des ressortissants français et de l'ambassade de France à Bangui. Les Nations unies ont rappelé mercredi leur personnel "non essentiel".

Selon une estimation du Quai d'Orsay, 1.200 Français résident aujourd'hui en RCA -à Bangui pour la plupart- et travaillent essentiellement dans le secteur minier et les ONG d'aide. Le groupe français Areva extrait du minerai d'uranium au gisement de Bakouma, dans le sud du pays.

Les rebelles regroupés au sein de l'alliance Séléka ont conquis plusieurs villes ces dernières semaines en progressant vers le sud, où se trouve Bangui.

Séléka regroupe des combattants qui affirment que François Bozizé, élu président à deux reprises depuis un coup d'Etat fomenté en 2003, n'a pas respecté les termes d'un accord de paix datant de 2007.

Un porte-parole de la rébellion a fait savoir que les insurgés avaient suspendu leur progression pour permettre le dialogue. "Nous n'entrerons pas dans Bangui", a assuré par téléphone à Reuters le colonel Djouma Narkoyo, porte-parole de la rébellion.

Des promesses similaires faites par le passé par les insurgés n'ont pas été tenues et d'après une source diplomatique, les rebelles ont pris position jeudi autour de la capitale, qui est dans les faits cernée.

D'après une source militaire et un travailleur humanitaire, les insurgés étaient mercredi en fin d'après-midi à Damara, une localité située à 75 km de la capitale, en évitant Sibut où avaient été déployés quelque 150 soldats tchadiens appelés à la rescousse par la RCA pour tenter d'enrayer l'avance vers le Sud.

Avec Leigh Thomas; Henri-Pierre André, Jean-Loup Fiévet et Agathe Machecourt pour le service français