mercredi 31 octobre 2012

À Paris, le prix au m2 bat un nouveau record à 8440 euros - Le Figaro

Les prix des logements anciens Paris ont battu un nouveau record 8440 euros par mtre carr en moyenne pour la priode comprise entre juin et aot 2012, selon la Chambre des notaires Paris-Ile-de-France.

Le prcdent record, 8410 euros/m2, datait de la priode comprise entre mai et juillet 2011. Les prix des appartements anciens Paris devraient se stabiliser, sans baisser, "pendant les derniers mois de l'anne 2012 autour de 8500 euros le mtre carr", indiquent les notaires dans un communiqu.

"Il va y avoir un nouveau record Paris", avait prvenu Thierry Delesalle, notaire Paris, lors d'une confrence de presse le 13 septembre, indiquant que les indicateurs avancs pointaient une hausse des prix pour les prochains mois. Mais ce nouveau record s'accompagne d'une chute des transactions. Entre juin et aot 2012, seulement 6800 logements anciens, essentiellement des appartements, ont t vendus dans la capitale, soit une chute de 19% par rapport la mme priode de l'an dernier.

Le plongeon est encore plus brutal pour l'ensemble de l'Ile-de-France avec une baisse de 19%, avec un total de 35.000, pour le nombre d'appartements et de maisons vendues par rapport la mme priode de l'an dernier et de 26% par rapport la priode de forte activit entre 1999 et 2007.

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Marseille prêt à défier les parsiens au parc - 20minutes.fr

football Le PSG accueille l'OM ce mercredi en Coupe de la Ligue

L'Olympique de Marseille garde encore en tête le scénario du dernier «?classique?» du 7?octobre, à l'aube d'affronter son ennemi préféré, le PSG. «?La première confrontation va nous servir parce que c'était il n'y a pas très longtemps, avoue Elie Baup. Il y a forcément des passerelles entre ces deux matchs, des faits de jeux que vont se remémorer les joueurs, des actions offensives ou défensives, mais au Parc des Princes, ce n'est pas la même histoire non plus. » « De toutes les façons, on ne va pas changer notre système de jeu et passer du marquage individuel au marquage en zone non plus?», explique Baup, faisant référence au meilleur buteur du championnat, Zlatan Ibrahimovic. «?C'est quelqu'un qui est en pleine réussite en ce moment. Mais le PSG ce n'est pas que lui, il faut faire face à tout le collectif parisien?», rappelle le technicien olympien. Rod Fanni, lui, n'est pas impressionné par l'attaquant suédois. «?Ibrahimovic?? Dans le jeu il ne nous a pas posé tant de problèmes, lance Rod Fanni. C'était mon match le plus abouti de la saison, ça me stimule de jouer contre le PSG en tant qu'enfant du pays, il n'y aura jamais de match amical contre Paris.?»
Ce 8e de finale est pris très au sérieux sur la Canebière, pour preuve Elie Baup a déjà annoncé que Steve Mandanda garderait les buts mercredi au détriment de Gennaro Bracigliano. Sûrs de leurs forces, les Marseillais ne craignent pas le club de la capitale et ce, avec ou sans leur meilleur joueur André-Pierre Gignac qui avait répondu coup pour coup à Zlatan en inscrivant un doublé en début de mois. «?J'ai toute confiance en celui qui reprend le poste de Dédé, en l'occurrence l'international Loïc Rémy?», avance le coach olympien.

Statu quo sur le marché de la dette en raison de la fermeture de ... - L'Expansion

Vers 18H30 (17H30 GMT), le rendement de l'obligation espagnole 10 ans (qui volue en sens inverse du prix) tait quasi stable 5,670% contre 5,656% lundi la clture, sur le march secondaire, l o s'changent les titres dj mis.

La constance a t la mme du ct des rendements italiens 4,994% contre 5,015% la veille. Le pays a russi emprunter 7 milliards d'euros moyen et long terme des taux en baisse malgr la menace de Silvio Berlusconi de retirer son soutien au gouvernement de Mario Monti, et les lections en Sicile, dont le rsultat montre une nette perce du vote protestataire.

"Il n'y a eu quasiment aucun mouvement en Europe. Les investisseurs attendent d'en savoir davantage sur l'ouragan Sandy", relve Ren Defossez, stratgiste obligataire chez Natixis. Au moins 27 personnes ont t tues aux Etats-Unis o plus de huit millions de foyers restaient privs d'lectricit.

"Les performances de la plupart des marchs d'actifs risqus, dont les titres de dette des pays jugs les plus fragiles, restent mdiocres au cours des dix derniers jours" vu la situation dlicate en zone euro, note Marc-Henri Thoumin de la Socit Gnrale.

L'indice de confiance des chefs d'entreprises et des consommateurs s'est nouveau dgrad en octobre dans l'union montaire, atteignant son plus bas niveau en plus de trois ans.

La rcession s'est prolonge en Espagne de juillet septembre, mme si elle a t un peu moins forte, avec un recul du produit intrieur brut de 0,3% contre -0,4% au trimestre prcdent.

Selon les analystes, la cure d'austrit dans laquelle s'est engage Madrid repousse un peu plus la reprise conomique du pays, fragilis depuis l'clatement de sa bulle immobilire en 2008.

De son ct, le taux allemand 10 ans a peu volu reculant 4,993% contre 5,015%, tout comme le rendement franais de mme chance 2,239% contre 2,238%.

Hors zone euro, le taux 10 ans britannique s'inscrivait 1,478% contre 1,458%.

Aux Etats-Unis, les marchs obligataires sont rests ferms cause de l'ouragan Sandy.

Sur le march interbancaire, l'Euribor trois mois, aprs avoir baiss depuis plusieurs semaines, est lgrement remont 0,198% contre 0,196%. Le Libor libell en dollars est rest inchang 0,313%.

sde/lum/LyS

Lille-Toulouse en DIRECT - Le Figaro

Lille-Toulouse 1-0 (a.p.)
Lille : Roux (117e)

Il aura donc fallu un geste de pur buteur pour autoriser Lille rejoindre les quarts de finale de la Coupe de la Ligue la place de Toulouse (1-0). Un geste sign Nolan Roux, servi dans la profondeur par Payet, qui catapultait le ballon dans la lucarne d'Olivier Blondel, hroque jusque l (1-0, 117e). Les Toulousains ont en effet fini 10, perdant la fois Yago pour un deuxime carton jaune et une blessure (sortie sur civire), et ont fait talage d'une solidarit admirable tout au long des 120 minutes de temps effectif, dfaut d'un jeu trs lch. De son ct, peu convaincant depuis son entre dans le Grand Stade, le LOSC avait bien besoin d'un match enlev pour rassurer ses supporters. Avec un grand nombre d'absents, c'tait loin d'tre vident. Dans une version rajeunie, cependant, cette quipe a fait montre de ressources intressantes, tout comme d'une inefficacit maladive. Remplaant Ali Ahamada dans les buts toulousains, selon le turnover pratiqu habituellement en Coupe de la Ligue, Blondel a ainsi sorti le grand jeu plusieurs reprises, devant Kalou (14e) et Payet (15e) entre autres, alors que l'Ivoirien tait deux doigts de reprendre de la tte le centre de son partenaire (18e).

Tout aurol de sa deuxime place en Ligue 1 (en attendant que Marseille et Lyon jouent leur match en retard), impressionnant depuis plusieurs semaines, le Tfc faisait presque figure de favori avant la rencontre. D'o un sentiment comprhensible de dception en jugeant sa prestation, en particulier en ce qui concerne la cration, secteur o il rclame corps et cris une autre considration. En premire priode, on a comptabilis une seule frappe au but, molle, de Regattin (43e), pour une possession largement favorable et les joueurs qui marquaient le plus les esprits taient, encore et toujours, les dfenseurs, Abdennour en tte. Et quand ils taient dpasss, c'est le manque de russite lillois qui venait leur rescousse, l'image de cette perce de Payet qui s'achevait sur le montant gauche de Blondel (56e). Les hommes de Rudi Garcia leur ont aussi facilit la tche en ayant une prsence offensive minimale malgr leur bonne volont. La prolongation n'allait rien changer cette donne, hormis sur deux normes occasions bout portant de Martin (101e) et de Rodelin (117e), privs du but du sauveur par un remarquable Blondel. C'tait avant que  Zorro  Roux ne sorte de sa bote.

Grand Paris: Ayrault promet un milliard d'euros "en 2015", "si ... - Le Nouvel Observateur

PARIS (AFP) - Jean-Marc Ayrault s'est engagé mardi sur "un milliard d'euros" en 2015, "si nécessaire", pour permettre la réalisation du métro automatique Grand Paris Express, suscitant des interprétations divergentes des élus régionaux qui attendent cette dotation.

Le Premier ministre a précisé que le gouvernement disposerait de "tous les éléments" sur le coût de cette ligne de métro "en début d'année prochaine".

"Sur ces bases, dès que cela sera nécessaire - et en 2015 s'il le faut - nous mettrons en place la dotation d'un milliard (d'euros) au capital de la Société du Grand Paris" maître d'ouvrage de ce projet de 200 km de métro et 72 nouvelles gares, a-t-il dit.

"Bien sûr le réseau existant ne pourra pas répondre à lui seul aux perspectives ambitieuses de développement pour la métropole capitale", a déclaré M. Ayrault, qualifiant de "nécessaire" la réalisation du Grand Paris Express, pensé comme un moyen de répondre à la saturation du réseau actuel et de développement pour "toute la région".

Il a d'ores et déjà acté, comme l'avait fait la ministre EELV en charge du dossier Cécile Duflot, qu'il y aurait "une priorisation des travaux", c'est-à-dire que certains tronçons se feront avant d'autres, dans un contexte budgétaire où le dépassement de la date butoir de 2025 semble s'imposer.

Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile-de-France, a qualifié le discours de M. Ayrault d'"excellente nouvelle", affirmant à propos du milliard qu'il n'en avait "jamais douté". "Les financements nécessaires seront au rendez-vous au moment des travaux. Voilà qui devrait calmer les polémiques stériles entretenues par l'opposition", a espéré M. Huchon.

Peine perdue: Valérie Pécresse, chef de file de l'UMP à la région, s'est "indignée" de ces propos "qui signent l'arrêt de mort du projet".

La déclaration du Premier ministre "ne fait que confirmer nos craintes" d'autant qu'elle "n'est assortie d'aucune traduction concrète dans le projet de loi de programmation des finances publiques 2012-2017, actuellement en discussion au Parlement, dans lequel ne figure toujours aucune dotation en capital pour la SGP".

Elus de gauche comme de droite siégeant au Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif) avaient demandé, dans un voeu adopté à l'unanimité le 10 octobre, l'inscription de cette dotation afin d'asseoir la crédibilité du projet.

A l'inverse les élus EELV se sont "félicités" des déclarations de M. Ayrault y voyant le possible report des liaisons rapides entre aéroports et quartiers d'affaires et de la ligne du plateau de Saclay (chère à Mme Pécresse, élue des Yvelines) pour au contraire "lancer rapidement les chantiers répondant à l'urgence du quotidien" des Franciliens.

Pour autant, Jean-Marc Ayrault n'a pas oublié de donner des gages sur le projet du futur campus de Paris-Saclay.

"Déterminé" à le soutenir, il a confirmé plusieurs "dotations": celle "exceptionnelle d'un milliard d'euros, destinée aux opérations immobilières prévues pour rapprocher les établissements", celle "en capital du plan Campus, pour un montant de 850 millions d'euros" ainsi qu'une "dotation supplémentaire de près d'un milliard d'euros au titre des investissements d'avenir" (Idex).

L'établissement public Paris-Saclay, pilote de ce projet d'aménagement urbain qui devrait à terme accueillir "plus de 10.000 chercheurs et près de 50.000 étudiants", s'est réjoui de ce soutien.

Tennis - Masters Paris-Bercy Paris-Bercy: Novak Djokovic ne ... - Eurosport.com FR

Guy Forget a dû pousser un petit soupir de soulagement. Mardi soir, à l'heure du dîner, le nouveau patron du Masters 1000 de Bercy n'aura pas l'appétit coupé. Son tournoi n'est pas complètement décapité. Les forfaits de Rafael Nadal et surtout celui de Roger Federer, la veille de l'ouverture des festivités au POPB, avaient porté un mauvais coup au rendez-vous de l'est parisien. La perspective d'un possible renoncement de Novak Djokovic, alimentée par la rumeur d'un "gros rhume" du Serbe depuis lundi soir, avait de quoi donner des sueurs froides aux organisateurs. Mais pas de panique. Djokovic est là et bien là.

Mardi après-midi, lors d'un point presse, le Serbe a confirmé sa participation et affiché sa bonne volonté. Dès son entrée dans la salle d'interview, le chef de presse avait d'ailleurs mis fin aux supputations en annonçant que Djokovic ne répondrait à aucune question sur les "rumeurs parues dans la presse." Pas question, donc, de négliger Bercy. "2012 n'est pas terminée, a-t-il affirmé. J'ai joué plus de 80 matches cette saison et je ne suis sûrement pas le gars le plus frais du circuit, mais il y a encore deux rendez-vous importants avec Bercy et le Masters et je veux me concentrer sur ces deux tournois. Je veux tout donner sur ces deux semaines avant de partir en vacances."

Pas là pour préparer le Masters

Contrairement à Roger Federer, présent à Bâle devant son public la semaine dernière, Nole a fait son impasse une semaine plus tôt. "Ne pas venir à Bâle était la bonne décision", estime-t-il. La seule possible s'il voulait enchainer Paris et Londres, et y jouer sa chance à fond. Car Djokovic l'assure, s'il vient ici à Bercy, ce n'est pas pour jouer deux matches de préparation avant de se retirer. "Ce ne serait pas du tout juste pour moi et pour ce tournoi d'essayer d'imaginer des tactiques qui feraient que je ne jouerai pas à 100 % cette semaine pour préparer la semaine prochaine, affirme-t-il. Je ne pense pas comme cela. Et je vais rester dans l'optique de gagner tous mes matches."

De quoi rassurer Forget et le public parisien, frustré l'an passé de voir le Serbe se retirer avant les quarts de finale. Mais physiquement, il se sent "beaucoup mieux" qu'à l'automne 2011. Voilà sans doute pourquoi il a décidé de tenter de doubler Bercy et Londres. Pour autant, cette perspective ne l'enchante pas vraiment. "C'est un sacré défi, effectivement, constate le Serbe. Jouer un Masters 1000 juste avant le rendez-vous le plus important de la fin de saison, ce n'est vraiment pas l'idéal. Mais le calendrier est comme il est et il faut l'accepter. Il n'y a pas d'autre choix malheureusement. Mais comme vous le savez, la saison a été raccourcie de deux semaines cette année puisque nous avons une période de repos. C'était le sacrifice à faire." Et Djokovic d'en appeler à "une autre option" dans les années à venir. Clairement, il ne fera pas ça tous les ans.

En ce qui le concerne, ce dernier coup de collier débouchera, quoi qu'il arrive, sur une jolie récompense: lundi prochain, il récupèrera la place de numéro un mondial et terminera la saison au sommet de la hiérarchie pour la deuxième année consécutive. "Je crois que ça montre que cette saison a été très bonne pour moi. Il a été difficile de rejouer après 2011 et de s'attendre à ce que je puisse renouveler ce que  j'avais fait l'an dernier. Mais j'ai gagné un Grand Chelem, j'ai remporté cinq tournois et j'ai été très régulier. L'année a été excellente pour moi, mais elle n'est pas terminée. Il reste deux gros objectifs." C'est tout ce que Bercy avait envie d'entendre.

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Paris truqués : Nikola Karabatic réintégré, son frère convoqué - Le Parisien

Nikola Karabatic et Isssam Tej, mis en examen pour escroquerie dans l'affaire des soupçons de match truqué sur fond de sportifs et convoqués ce mardi par leur club, sont «réintégrés dans l'effectif» de Montpellier (MAHB). Luka Karabatic, le frère de l'icône du handball français, qui avait avoué avoir parié, est convoqué pour un entretien disciplinaire. Le quatrième joueur mis en examen dans ce dossier, Primoz Prost, qui avait également reconnu avoir parié, doit être reçu dans l'après-midi par la direction du club

Issam Tej a ouvert le bal à 9 heures, sans faire de déclaration à sa sortie, suivi de Luka Karabatic à 10 heures, puis de son frère Nikola Karabatic, l'icône du handball français, à 11 heures. Primoz Prost, le quatrième joueur du club impliqué dans l'affaire du match truqué, était le dernier convoqué. Aucun d'entre eux n'a fait de déclaration à la presse à la sortie.

«Nikola Karabatic et Issam Tej reprendront l'entraînement à partir de demain»

Le du club a annoncé les différentes sanctions et réintégrations prononcées à l'issue de ces entretiens. «A partir de demain, Nikola Karabatic et Issam Tej reprendront l'entraînement», a affirmé Rémy Lévy. «Nous n'avons pas de raison de mettre en doute la parole de Nikola Karabatic et Issam Tej. Ils nous ont affirmé les yeux dans les yeux qu'ils n'avaient pas parié, on prend acte de leur position», a expliqué le président.

En revanche, Luka Karabatic, le jeune frère de l'icône du handball français, est convoqué le 8 novembre à un «entretien préalable à une sanction disciplinaire» pouvant aller jusqu'au licenciement. Contrairement à Nikola Karabatic et à Issam Tej, Luka Karabatic avait avoué avoir parié. Toutefois, tous nient avoir truqué le match.

«Les joueurs qui ont parié contre le club ne sont pas dignes de porter le maillot du club»

«Le comité directeur considère que les joueurs qui ont parié contre le club ne sont pas dignes de porter le maillot du MAHB», a souligné M. Lévy. Le quatrième joueur mis en examen dans ce dossier, Primoz Prost, qui avait reconnu avoir parié, doit quant à lui être reçu dans l'après-midi par la direction du club

La semaine dernière, le club avait précisé qu'il recevrait «individuellement les joueurs concernés, au demeurant actuellement en arrêt maladie, pour recueillir leurs observations sur les faits», avant de décider «des suites contractuelles pouvant en résulter dans le strict respect des règles du droit».

Les quatre joueurs sont soupçonnés d'avoir parié sur le score à la mi-temps du match Cesson-Montpellier du 12 mai dernier, des paris qui contreviennent «aux règles essentielles d'éthique et de morales auxquelles le MAHB est profondément attaché». Dans un communiqué, la direction du MAHB a annoncé mardi matin que Rémy Lévy tiendrait un point-presse pour faire «part de la situation actuelle et des décisions qui seront prises par le club, dans le respect des orientations clairement définies par l'unanimité du bureau directeur», souligne le communiqué.

Dès lors que le contrôle judiciaire a été levé, les quatre joueurs attendaient les décisions de leur club, partie civile dans ce dossier, qui a affirmé dès le début de l'affaire qu'il prendrait des sanctions contre les joueurs au cas par cas.

VIDEO. Handball : Karabatic en a «marre de toute cette connerie»

VIDEO. L'avocat des Karabatic demande la levée du contrôle judiciaire

Paris-Bercy: sans faute des Français au 1er tour - Le Nouvel Observateur

PARIS (AFP) - Les Français ont rendu une copie parfaite au 1er tour du Masters 1000 de Paris-Bercy, avec les qualifications mardi de Jérémy Chardy, Michaël Llodra et Paul-Henri Mathieu, qui ont imité leurs compatriotes en lice la veille.

Les six Tricolores engagés au 1er tour ont donc passé ce cap, et aucun n'a concédé le moindre set. Lundi, Gilles Simon, Benoît Paire et Julien Benneteau s'étaient en effet également qualifiés avec beaucoup de sérénité.

Ils ont tous rejoint Jo-Wilfried Tsonga et Richard Gasquet, automatiquement qualifiés pour le 2e tour en tant que tête de série. Mais le contingent français va fatalement s'écrémer, puisque Tsonga et Benneteau sont opposés mardi en soirée, tandis que Benoît Paire a été éliminé au 2e tour mardi par le Japonais Kei Nishikori, tête de série N.15, en deux sets 7-6 (7/2), 6-2.

Le Français a eu une balle de set dans le premier set, au cours duquel il avait effacé un break de retard. Mais Nishikori l'a écarté d'un service sur la ligne. Paire a ensuite craqué dans le second set.

"Ca ne se joue pas à grand-chose dans le premier set, avec ce service qui est sur la ligne d'un millimètre", a-t-il observé. "Je me suis battu comme je pouvais dans le deuxième, mais j'étais émoussé."

"Je n'ai pas de regret", a-t-il assuré. "La saison a été longue, mais très bonne. J'ai commencé 100e (95e, Ndlr), aujourd'hui je suis 44e. Je finis sur un très bon Bercy."

Paire a reçu quelques sifflets du public pour avoir stoppé la balle de match et réclamé un challenge qu'il a perdu. "C'est comme ça", a-t-il commenté.

Plus incongru, il a reçu un avertissement pour être allé aux toilettes avec sa raquette à la pause entre les deux sets et en être revenu avec la raquette brisée.

Tous les Français, hormis peut-être Simon, auront des rencontres traîtres à gérer. Le moins gâté sera le revenant Paul-Henri Mathieu, qui a confirmé sa belle forme du moment en écartant le qualifié espagnol Roberto Bautista-Agut (6-4, 7-5).

L'Alsacien, qui aime à tenir en haleine le public français, lui a donné quelques émotions avec un jeu long de 27 minutes, à 5-4 en sa faveur dans le second set, au cours duquel il a sauvé 11 balles de break, mais laissé filer 6 balles de match, dont deux sur des doubles fautes.

Il a perdu ce jeu, mais s'est repris à temps pour s'accorder le droit de rencontrer au prochain tour le Britannique Andy Murray, tête de série N.3. "PHM" regoûte très vite au plus haut niveau, puisqu'il avait affronté le N.1 mondial Roger Federer samedi à Bâle.

"Je suis content de jouer Murray. Ca va me faire avancer", a déclaré Mathieu, qui est aujourd'hui 64e mondial, après avoir été 733e en février pour son retour à la compétition après quinze mois d'absence pour une grave blessure à la jambe gauche.

Chardy et Llodra devront également évoluer à leur meilleur niveau pour inquiéter leur prochain adversaire, respectivement le Canadien Milos Raonic (N.14) et l'Américain John Isner (N.10).

Ils pourront s'inspirer des surprises causées par deux joueurs issus des qualifications. Le Néerlandais Igor Sijsling a sorti au 1er tour l'Ukrainien Alexandr Dolgopolov Jr. (6-4, 6-2), et le Polonais Jerzy Janowicz a fait tomber au 2e tour le Croate Marin Cilic (N.13) en deux sets 7-6 (8/6), 6-2.

Résultats de la 2e journée du Masters 1000 de Paris-Bercy, disputée mardi:

Simple messieurs (1er tour):

Grigor Dimitrov (BUL) bat Jurgen Melzer (AUT) 7-6 (7/2), 6-2

Jérémy Chardy (FRA) bat Guillermo Garcia-Lopez (ESP) 6-0, 6-3

Paul-Henri Mathieu (FRA) bat Roberto Bautista-Agut (ESP) 6-4, 7-5

Igor Sijsling (NED) bat Oleksandr Dolgopolov Jr. (UKR) 6-4, 6-2

Sam Querrey (USA) bat Fernando Verdasco (ESP) 6-1, 1-1 (abandon)

Michael Llodra (FRA) bat Daniel Gimeno (ESP) 7-5, 6-3

Simple messieurs (2e tour):

Kei Nishikori (JPN/N.15) bat Benoît Paire (FRA) 7-6 (7/2), 6-2

Jerzy Janowicz (POL) bat Marin Cilic (CRO/N.13) 7-6 (8/6), 6-2

Stanislas Wawrinka (SUI/N.16) bat Carlos Berlocq (ARG) 6-3, 6-2

Paris veut instaurer des péages à ses portes - Le Parisien

Vous êtes fatigué de la guerre aux voitures lancée (dès 2001) par la mairie de ? Vous n'avez peut-être encore rien vu. va présenter au prochain Conseil de du 12 novembre un nouveau plan de lutte contre la pollution automobile. Il prévoit de nouvelles restrictions de circulation pour les véhicules les plus polluants et des mesures très contraignantes qui pourraient révolutionner les modes de déplacements en Ile-de-France. Revue de détail.

Les vieux véhicules à la casse. C'est la proposition la plus radicale du plan : le maire de Paris souhaite pouvoir interdire dès septembre 2014 la circulation des véhicules les plus anciens — et donc les plus polluants — dans la zone dense de l'Ile-de-France. La « limite d'âge » pourrait être fixée à 18 ans pour les poids lourds, à 17 ans pour les véhicules particuliers et les petits utilitaires et à 10 ans seulement pour les motos, dont le nombre a explosé dans la capitale.

Une zone « d'exclusion » jusqu'aux limites de l'A 86. « Il convient d'envisager des mesures d'accompagnement pour les ménages et les professionnels les plus modestes concernés », précise le maire de Paris. Avec cette mesure il souhaite réactiver la mise en place des Zapa (les zones d'action prioritaires pour l'air où les véhicules polluants seront interdits), suspendue l'été dernier. Déjà candidat pour une première expérimentation, Paris est toujours partant et souhaite que la zone d'« exclusion » aille jusqu'aux limites de l'A 86. « Il faudra donc que cette proposition soit discutée et évaluée par tous nos partenaires », rassure-t-on à la mairie de Paris.

Et on reparle d'un « péage métropolitain ». Le maire de Paris s'est toujours prononcé contre un péage urbain (comme à Londres). Il plaide en revanche pour l'instauration d'un péage sur les autoroutes pour le moment gratuites de l'Ile-de-France. Il permettrait de lutter notamment contre le trafic de transit des poids lourds autour de Paris. La création d'un tel péage (« qui pourrait être modulé selon les heures et les types de véhicules », relativisent les techniciens municipaux) n'est pas du ressort de la Ville de Paris. Et rien n'indique que le comité interministériel qui doit décider d'une telle mesure validera la proposition de Bertrand Delanoë. Le maire de Paris confirme en revanche que l'écotaxe poids lourds (une taxe nationale au kilomètre parcouru qui sera prélevée sur tous les véhicules de plus de 3,5 t) s'appliquera bien sur le périphérique dès juillet 2013.

Les automobilistes invités à lever le pied. La mairie de Paris, qui attend du gouvernement l'autorisation de baisser la vitesse de 80 à 70 km/h sur le périphérique, pourrait très rapidement décréter de nouvelles réductions de vitesse dans la capitale. La création de nouvelles zones 30 km/h (elles représentent 20% du territoire parisien) est envisagée; notamment à la Goutte-d'Or, dans le XVIIIe, ou sur les grands axes comme l'avenue de Clichy ou les grands boulevards, où les vitesses seront réduites dès la mi-2013.

D'autres mesures à l'étude?
Selon la mairie, les précédentes mesures antivoitures (réduction des voies de circulation, suppression des places de parking…) ont permis de diminuer le trafic automobile de 25% en dix ans. Le maire de Paris laisse entendre que cette politique va se poursuivre, notamment en direction des véhicules diesel.

mardi 30 octobre 2012

Marseille: la brèche dans la coque du ferry qui a pris l'eau bientôt ... - Le Nouvel Observateur

MARSEILLE (AFP) - La brèche dans la coque du navire de la SNCM qui a pris l'eau dimanche dans le port de Marseille, sans passagers à bord, après avoir rompu ses amarres dans la nuit sous la pression d'un vent violent, était lundi en voie d'être colmatée, a-t-on appris auprès de la compagnie.

"L'opération de mise en place de soudures pour colmater la brèche devrait être bouclée demain matin", a indiqué lundi en fin d'après-midi un porte-parole de la Société nationale Corse Méditerranée (SNCM). "Après, on pourra entamer le pompage et le renflouement du bateau", a-t-il ajouté.

Ce ferry, le Napoléon Bonaparte, "a très légèrement bougé dans la nuit, le vent étant tombé", avait expliqué la SNCM en début de journée, précisant que le navire amiral de la compagnie, qui assure habituellement des liaisons entre Marseille et la Corse, s'était "redressé" et que la situation entrait "dans une phase de normalisation".

Une fois le pompage et le renflouement effectués, le bateau pourra être déplacé vers un point d'attache afin d'y être réparé.

Le choc entre le navire et le quai où il était amarré avait ouvert une brèche "qui a provoqué l'inondation de deux compartiments étanches", sans faire de blessé, ce qui a fait pencher légèrement à tribord le ferry, avait précisé la SNCM dimanche dans un communiqué.

Le Napoléon Bonaparte dessert principalement les ports de Bastia et d'Ajaccio, selon l'ancienne compagnie publique, détenue par Veolia (66%) et l'Etat (25%, les 9% restants revenant aux salariés).

Mis en service en 1996, il mesure 172 mètres de long et 30,4 mètres de large, et peut transporter 2.650 passagers (soit le plus gros ferry de la SNCM en termes de capacité) et 708 voitures.

Le département des Bouches-du-Rhône avait été placé samedi en vigilance orange jusqu'à dimanche 22H00 en raison de risques liés à des vents forts.

Marseille : Baup aurait « préféré jouer » avant Paris - Sport365.fr

Pour Elie Baup, le report de Lyon-Marseille n'est pas une aubaine avant d'affronter mercredi en Coupe de la Ligue le PSG au Parc des Princes : « Cette annulation change tout le programme d'entraînement mais ça ne change pas la composition pour mercredi parce que je n'y avais pas encore pensé. On aurait préféré jouer parce qu'on était prêt à jouer. On s'était prépare pour. Si j'avais su que ce match allait être annulé, je n'aurais peut-être pas aligné la même équipe en Allemagne. »

Contrer Ibrahimovic

Elie Baup a également indiqué lundi matin qu'il allait se servir du match de championnat déjà joué contre le PSG (2-2) pour préparer le rendez-vous de Coupe de la Ligue : « On va se servir du match de championnat contre le PSG pour préparer le match de mercredi. On travaille régulièrement les coups de pieds arrêtés. On a modifié certaines choses. » Le PSG avait marqué sur corner et sur coup franc lors du Clasico. Pour Elie Baup, il faudra bien sûr contrer Ibrahimovic : « C'est le meilleur buteur du championnat et il est en pleine réussite. On va essayer d'être fort pour gérer le collectif parisien et leur attaquant. »

Mandanda titulaire face au PSG

L'entraîneur marseillais a confirmé que Mandanda serait titulaire dans le but lors de ce match de Coupe de la Ligue et que Loïc Rémy avait encore toute sa confiance pour relayer Gignac, blessé. Baup ne bradera pas cette épreuve malgré un calendrier chargé : « Jouer tous les quatre jours, c'est jouable. » Il espère même aller loin dans cette épreuve : « Il y a une tradition à perpétuer, on est triple vainqueur. » Pour cela, il faudra réaliser un exploit au Parc des Princes : « Quand on est Marseillais, jouer le PSG, ce sont des moments très forts en championnat ou en Coupe. » Le Clasico sera donc chaud. Même en Coupe de la Ligue.

Avec Christian Rodat à Marseille

- Bourse: Paris finit en baisse dans un faible volume d'échanges - 20minutes.fr

La Bourse de Paris a termin en baisse lundi (-0,76%), dans une sance peu anime faute de rendez-vous majeurs et o les volumes d'changes ont t extrmement faibles en raison de la fermeture de Wall Street pour cause d'ouragan.

L'indice CAC 40 a perdu 26,20 points 3.408,89 points, pour des volumes de transactions qui ont atteint autour de 1 milliard d'euros, selon des sources de march. Le dernier record de faiblesse sur une sance complte est de 725 millions le 27 dcembre 2011.

Parmi les autres marchs europens, Francfort a perdu 0,40% et Londres 0,20%. Par ailleurs, l'Eurostoxx 50 a lch 0,69%.

Beaucoup d'investisseurs ont prfr se tenir l'cart du march, puisque Wall Street est rest ferm lundi, et le sera encore probablement mardi cause du passage de l'ouragan Sandy, un vnement qui s'ajoute aux vacances de la Toussaint en France.

"Le march attend de voir quelles consquences aura l'ouragan sur les Etats-Unis, mme si a priori cela ne devrait pas avoir trop d'influence sur les indices boursiers, si ce n'est une baisse des volumes", indique Guillaume Garabdian, grant chez Messchaert Gestion Prive.

La dernire fois que Wall Street avait ferm pour des raisons exceptionnelles remonte aux attentats du 11 septembre 2001. Et la dernire fermeture du march pour cause d'ouragan date de 1985.

Les oprateurs ont en outre peu de rendez-vous se mettre sous la dent et sont rests insensibles la publication des dpenses de consommation aux Etats-Unis qui ont intensifi leur progression en septembre, o elles ont augment deux fois plus vite que les revenus des Amricains.

"Les marchs sont toujours sous pression du fait des publications d'entreprises, dont les perspectives sont en demi-teinte", ajoute M. Garabdian, pour qui "il ne s'est pas pass grand chose" lundi. Aucun rsultat amricain n'tait au programme, mais plusieurs sont prvus dans la semaine.

Les investisseurs restaient enfin prudents l'gard de la zone euro, notamment sur les ngociations en Grce et sur "l'Espagne qui devrait annoncer une forte chute de son PIB demain", observent les analystes chez Saxo Banque.

Une demande d'aide de l'Espagne ses partenaires europens n'est "pas indispensable" pour le moment, a dclar pour sa part le chef du gouvernement Mariano Rajoy.

Ct valeurs, PSA Peugeot Citron (-6,97% 4,92 euros) a chut sous les 5 euros pour la premire fois depuis 1985 alors qu'une srie de mauvaises nouvelles s'abat sur le groupe.

Les valeurs industrielles, les plus sensibles la conjoncture, ont recul, comme Alcatel-Lucent (-3,25% 0,77 euro) et Vallourec (-2,60% 31,81 euros).

Saint-Gobain a lch 1,76% 26,82 euros, aprs que Standard and Poor's a abaiss la perspective associe la note du groupe.

Les banques ont perdu du terrain, l'image de BNP Paribas (-0,35% 38,99 euros), Crdit Agricole (-0,90% 5,83 euros) et Socit Gnrale (-0,97% 24,40 euros).

Parmi les rares hausses, Ipsen a gagn 2,85% 18,93 euros aprs avoir relev son objectif de croissance de ses ventes de mdecine de spcialit pour 2012.

Unibail-Rodamco a pris 0,76% 171,75 euros aprs avoir enregistr sur les neuf premiers mois de l'anne un chiffre d'affaires en hausse de 4,0%.

Les valeurs dfensives, moins soumises aux alas du march, ont rsist. Essilor tait presque stable (+0,07% 69,76 euros) et Rmy Cointreau a pris 1,16% 81,95 euros.

Enfin, Ubisoft a gagn 2,29% 7,16 euros. Les pr-commandes pour son jeu vido "Assassin's Creed III" ont atteint un niveau record cinq jours de sa sortie mardi prochain en Amrique du Nord.

Euronext (CAC 40)

Report OM-OL : Lyon impose ses conditions - TF1

En raison du vent violent qui s'abattait sur la ville de Marseille, le choc de la dixième journée opposant l'OM et l'OL a été annulé. Mais le report du face à face entre les deux Olympiques n'arrange personne.

« Il fallait jouer ce match à huis-clos »
Ce lundi matin, Steve Mandanda tentait de retirer le positif du report de cet OM-OL. « C'est frustrant. Maintenant, il y a un match qui nous attend mercredi contre Paris. On a un jour de récupération en plus et on va pouvoir se préparer de la meilleure des manières ». De son côté, Remi Garde regrette lui la décision prise tardivement : « J'aurais aimé qu'on nous prévienne avant pour nous éviter de faire un aller-retour en train » a déclaré le coach lyonnais. Mais pour Jean-Michel Aulas, ce report a dû mal à passer : « C'est bien dommage parce qu'on était dans une spirale positive, ce qui n'était peut-être pas le cas de notre adversaire » a-t-il confié à 20minutes. « Si la préfecture des Bouches-du-Rhône a pris cette décision, il y a sûrement des raisons. Mais s'il y avait un problème dans les tribunes, il fallait jouer ce match à huis-clos ».

Quelle date ?  
Toujours est-il qu'aujourd'hui la Ligue se voit confronter à un véritable casse-tête : trouver une date pour disputer cet OM-OL. Une tâche loin d'être facile. Dans un calendrier déjà bien rempli, pour ne pas dire surchargé, deux jours semblent se détacher : le 28 novembre ou le 19 décembre. Problème, aucune de ses dates ne convient aux deux clubs. En effet, l'OM reçoit Lille le 25 novembre soit trois jours avant le créneau pressenti. Même souci pour l'OL qui se déplace à Paris le 16 décembre. « Il n'est pas concevable pour l'éthique que l'OL joue les deux déplacements les plus importants de sa saison d'affilée » a d'ailleurs prévenu le club lyonnais par l'intermédiaire d'un communiqué.

J-M Aulas et ses conditions
Et pour cause, Jean-Michel Aulas ne compte pas être lésé : « Je suppose que les gens bien intentionnés vont utiliser cette opportunité pour peut-être ne pas donner une date qui soit équitable. Ce serait complètement aberrant ». Toujours prévoyant, le président de l'OL a d'ores et déjà pris ses devants en imposant ses conditions. « Nous demandons qu'en cas de qualification de notre équipe à Nice en Coupe de la Ligue, le match à Marseille soit rejoué le 28 novembre soit à la date du quart de finale de Coupe de la Ligue qui serait alors reporté ».Mais là encore cette date ne devrait pas faire l'unanimité. Cette fois-ci le problème devrait surgir du côté des diffuseurs (Canal+ et France Télévision).

En attendant la décision de la LFP, les deux clubs retrouveront la compétition dès cette semaine en Coupe de la Ligue. L'OL se déplacera à Nice mercredi à 17h alors qu'un peu plus tard dans la soirée (20h55) l'OM affrontera le PSG au Parc des Princes.

Football - Coupe de la Ligue - Toulouse est désormais une machine ... - Sport 24

Le TFC qui se rend mardi soir à Lille va tenter de confirmer les belles promesses du championnat. Les hommes d'Alain Casanova sont en train de casser leur image d'équipe défensive.

C'était une scène encore impensable il ya quelques mois. Voir le Stadium s'enflammer pour ses Violets. C'était le cas samedi lors de la probante victoire face à Brest (3-1). Les 31 000 spectateurs ont même déclenché une Ola en fin de match. Toulouse a signé face à Brest sa troisième victoire lors de ses quatre dernières rencontres et s'est emparé provisoirement de la deuxième place du championnat. Surtout, le club de la Haute Garonne est en train de casser son image d'équipe ennuyeuse. Les Toulousains avec 18 buts au compteur possèdent la deuxième meilleure attaque de Ligue 1, derrière Lorient et devant le PSG d'Ibrahimovic. Contraste : en 2011-2012, le club de la ville Rose avait terminé à la 18e place sur le plan offensif en n'inscrivant que 36 buts en 38 journées...

Ben Yedder l'arme fatale
Souvent stérile dans les trente derniers mètres ces dernières années, le TFC produit plus de jeu avec une possession du ballon et du temps passé dans la surface adverse qui croissent. Mais depuis le départ d'André-Pierre Gignac (24 buts en L1 en 2008-2009), le TFC cherchait son « tueur » devant le but. Wissam Ben Yedder (22 ans) en a le profil au regard de son étonnant début de saison. L'attaquant a marqué sept buts en L1, dont cinq en cinq rencontres à domicile. C'est le dauphin d'Ibrahimovic au classement des buteurs. Compagnon de la virée nocturne de M'Vila, Niang, Mavinga et Griezmann, Ben Yedder a bénéficié de la mansuétude de l'encadrement toulousain contrairement aux Rennais M'Vila et Mavinga. On comprend le TFC...Ben Yedder va bien, Emmanuel Rivière va mieux. L'attaquant de 22 ans également, auteur d'un doublé face à Evian, retrouve la forme après avoir brillé avec Saint Etienne et un peu disparu de la circulation depuis son arrivée à Toulouse en 2011 avec notamment une blessure à la cheville qui l'a fortement perturbé. Il ne sera pas présent à Lille mardi soir en raison d'adducteurs douloureux.

Un test face à Lille
En poste depuis 2008, Alain Casanova a imposé progressivement sa patte. Cette équipe, l'une des moins âgées de L1 (25 ans de moyenne), mise notamment sur les pépites issues du centre de formation, dont Moussa Sissoko, 22 ans, ou encore Étienne Capoue, 24 ans. L'an passé, Toulouse était en mesure de décrocher une place européenne, mais avait cédé sur la fin du championnat. Les hommes de Casanova n'ont pas encore affronté ni Lyon, ni Marseille ni Lille et ils ont buté face au PSG (2-0). D'où ces discours pour le moins prudents des Violets.  «J'ai un groupe qui me plaît, souligne le technicien toulousain. Cette place sur le podium est anecdotique, je le répète. C'est très bien et il faut retenir ce bon début de saison mais il ne faut pas voir plus loin que ça. Il n'y a aucune conclusion à tirer de cette place à la 10e journée. Il va falloir confirmer». Et un succès à Lille en Coupe de la Ligue renforcerait sans aucun doute la confiance des Violets.

Un premier choc franco-français entre Jo-Wilfried Tsonga et Julien ... - Eurosport.com FR

Le public parisien pourra se délecter mardi d'une première friandise, sous la forme d'un 2e tour du Masters 1000 de Paris-Bercy entre Jo-Wilfried Tsonga, finaliste l'an passé, et Julien Benneteau, lequel s'est qualifié avec brio lundi, comme Gilles Simon. Facilement prompts à s'embraser, les spectateurs du POPB devraient se voir offrir un spectacle à la hauteur de leurs attentes mardi, à partir de 19h30. Ce choc franco-français a quelques ingrédients pour les faire saliver.

Premier Français à entrer en scène lundi, Benneteau a laissé une belle impression. Opposé au toujours dangereux Viktor Troicki, même si le Serbe est loin d'avoir le niveau qu'il avait en 2011, le Bressan, 37e mondial, s'en est tiré de manière convaincante (6-4, 7-5). "S'imposer comme ça en deux sets au premier tour, c'est toujours une bonne chose", a-t-il déclaré. "La manière dont j'ai joué me convient parfaitement." Benneteau n'a pas souvent joué à Paris - il n'en est qu'à sa quatrième participation -, mais il y a déjà réussi quelques jolies performances. En 2009, il avait créé l'exploit en sortant au 2e tour Roger Federer. L'an passé, il avait écarté au 1er tour le prometteur Canadien Milos Raonic. Tsonga se plaît lui aussi à Paris, où il a remporté en 2008 son unique Masters 1000 jusqu'à présent, et où il a été finaliste en 2011, battu par Federer. Mais le N.1 français abordera donc avec méfiance cette rencontre.

Le forfait de Federer, " une chance"

"Je n'aurai rien à perdre", a prévenu Benneteau. "Je sais que je peux gagner, que je peux aller le chercher. Je l'ai déjà prouvé par le passé dans des conditions similaires." Il fait référence à sa victoire en demi-finale du tournoi de Marseille en 2010, l'un des trois succès face à Tsonga qu'il compte à son palmarès, en huit confrontations. Dans une partie de tableau désertée par Federer, le N.1 mondial, lequel a déclaré forfait dimanche pour se préserver pour le Masters, qui débute la semaine prochaine à Londres, Gilles Simon a réussi un joli coup, en se débarrassant du Chypriote Marcos Baghdatis en deux sets 7-5, 6-1.

Au lieu de Federer, le tenant du titre, qu'il aurait dû affronter au prochain tour, le Français aura en face de lui Victor Hanescu, 61e joueur mondial. Le Roumain, en sa qualité de "lucky loser", a profité du retrait du Suisse pour accéder directement au 2e tour. "J'ai fait un bon match, assez complet", a apprécié Simon. "Pour tout le monde, le forfait de Roger a été une mauvaise nouvelle, pour moi ça en a été plutôt une bonne. C'est sûr que c'est plus facile quand on ne le joue pas au 2e tour. C'est une chance, à moi d'en profiter." "Je connais bien Hanescu. Il m'a déjà battu et même une fois assez sèchement. Donc je sais à quoi m'attendre", a-t-il cependant observé. Un autre Français était en lice lundi en fin de soirée: Benoît Paire opposé à l'Espagnol Pablo Andujar.

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Taxe Google: avant une loi, Hollande donne jusqu'à fin 2012 pour ... - L'Expansion

Le chef de l'Etat a reu lundi le patron de Google durant trois quarts d'heure la suite de la mobilisation des diteurs de presse franais et europens, dtermins instaurer un droit payant revers par le moteur de recherche amricain.

Le prsident de la Rpublique a "souhait que des ngociations puissent rapidement s'engager et tre conclusives d'ici la fin de l'anne entre Google et les diteurs de presse". Il a ajout, dans un communiqu, avoir "soulign que le dialogue et la ngociation entre partenaires lui paraissaient la meilleure voie, mais que si ncessaire, une loi pourrait intervenir sur cette question".

Le patron de Google a quitt l'Elyse peu avant 18H00 sans faire de dclaration. "La visite d'Eric Schmidt tait prvue depuis longtemps, a prcis un porte-parole du moteur de recherche. Il s'est rendu en France de nombreuses occasions pour y rencontrer le chef de l'Etat et des membres du gouvernement, afin d'changer avec eux sur la contribution d'internet la cration d'emplois et au rayonnement de la culture franaise dans le monde".

Editeurs de presse italiens et allemands font cause commune avec les franais pour rclamer l'instauration d'un droit payant revers par Google aux organes de presse, arguant que ce sont leurs contenus rgulirement actualiss qui drainent les visiteurs vers le gant du net, lui permettant de raliser d'importants profits publicitaires.

Google rtorque qu'il redirige "quatre milliards de clics par mois" vers les diteurs dans le monde.

"Ce mouvement europen nous permet de ne pas tre dmunis face Google. Il ne faut pas qu'on considre que tous les combats sont perdus face ces grandes entreprises du numrique", a soulign lundi sur France Inter la ministre de la Culture et de la Communication, Aurlie Filippetti.

Il "est normal que les grands sites agrgateurs participent au financement de la presse", a raffirm la ministre, qui a galement reu lundi Eric Schmidt.

"Discussion apaise"

Sourd ce stade aux revendications d'une presse qui prend la crise de plein fouet, le moteur de recherche amricain menace de ne plus rfrencer les journaux franais si une telle taxe devait voir le jour, c'est--dire de ne plus afficher les liens qui renvoient le lecteur vers leurs sites.

Instaurer une taxe serait "nfaste pour internet et pour les internautes", a mis en garde Olivier Esper, responsable de Google, dont le sige social est bas en Irlande et chappe ainsi la taxation sur les socits dans l'Hexagone.

Fleur Pellerin, ministre dlgue au numrique, qui tait au ct de Franois Hollande lundi aprs-midi l'Elyse, prfrerait se passer d'une "Google Lex" et prne "une discussion apaise".

"J'espre que Google vient avec des propositions concrtes", a souhait lundi dans le Figaro la prsidente de l'Association de la presse d'information politique et gnrale, Nathalie Collin, une des initiatrices du projet de loi au coeur du dbat.

Les diteurs restent nanmoins diviss sur le dossier: pour le syndicat de la presse en ligne (Spiil) qui regroupe les sites d'information sur internet, les "pure players" comme Mediapart, Atlantico, Slate ou Rue89, une telle taxe ne tient pas compte de la spcificit d'internet.

"Admettons que cette taxe marche, elle serait videmment une source de revenu court terme mais nous pensons qu' long terme, cela va dtruire la diversit de la presse", a dclar lundi l'AFP son prsident Maurice Botbol.

"La presse est dj totalement dpendante de Google au niveau de l'audience, si cela on ajoute une dpendance conomique, Google pourra dcider de tout", a-t-il estim.

ach-tup-swi/fa/al

Tennis : Paris-Bercy, le Masters sans master - Le Point

Qui dit Masters 1 000 dit meilleurs joueurs du monde. Plus qu'un simple nom, c'est un label de qualité : sur une saison, neuf tournois répondent à cette appellation (Indian Wells, Miami, Monte-Carlo, Madrid, Rome, Toronto, Cincinnati, Shanghai, Paris) ce qui en fait la catégorie la plus relevée du circuit - juste après les quatre "majeurs" (Open d'Australie, Roland-Garros, Wimbledon et US Open). Pourtant, de tous les Masters 1 000 du circuit, c'est définitivement le tournoi de Paris-Bercy qui pose le plus de problèmes aux "top players" qui brillent plus par leur absence ou leur état de forme en berne que par leurs coups d'éclat.

En effet, d'ordinaire les faits d'armes du "Big Four" (Roger Federer, Rafael Nadal, Novak Djokovic, Andy Murray) sont indécents d'efficacité : en 2011 et 2012, tous les Masters 1 000 (17) ont été remportés par un des quatre meilleurs joueurs du monde. Mieux, depuis 2007, 45 de ces tournois ont vu les Nadal, Federer, Djokovic et autres Murray s'imposer (sur 53 éditions). Et c'est la capitale française qui réussit le moins bien au top 4 mondial. Andy Murray n'a jamais dépassé le stade des quarts de finale à Paris tout comme Novak Djokovic avant et après 2009, année de son unique sacre en terre parisienne.

Placement fatal

Du côté des outsiders, David Nalbandian a gagné en 2008, Jo-Wilfried Tsonga en 2009 et Robin Soderling en 2010. Aucun autre Masters 1 000 ne célèbre aussi souvent les "autres joueurs" du circuit. Un phénomène d'autant plus étonnant que l'Association des tennismen professionnels (ATP) impose au gratin mondial de participer à tous les Masters 1 000 (à l'exception de Monte-Carlo). Les joueurs n'ont donc pas d'autre choix - sauf blessure - que d'être présents. Et malgré tout, ils réussissent moins à Paris qu'ailleurs.

L'explication est simple. Le calendrier auquel les tennismen doivent se soumettre est si dense que les fins de saison se jouent parfois sur la pointe des pieds et en marchant sur des oeufs. Dernier Masters 1 000 de la saison, l'épreuve hexagonale est le parent pauvre des tournois répondant à cette appellation. En effet, l'édition francilienne est fatalement intercalé entre une tournée asiatique éprouvante s'achevant par un autre Masters 1 000, à Shanghai (finale remportée par Djokovic face à Murray, le 14 octobre dernier) et entre la grande finale mondiale de Londres mettant aux prises les huit meilleurs joueurs du monde.

70 matches par saison

À l'entame de Paris-Bercy, le "Big Four" a donc déjà la tête à l'échéance britannique qui débute... le lendemain de la finale parisienne ! Autant dire que le tournoi de la capitale est particulièrement mal placé pour des organismes qui doivent subir près de 70 matches par saison et auxquels s'ajoutent les résidus du décalage horaire asiatique. Ce ne sont ni Rafael Nadal (seulement trois participations à Paris) ni Roger Federer (forfait en 2004, 2005, 2006 et 2012) qui diront le contraire. Et cette année ne déroge pas à la règle. L'Espagnol, blessé depuis le mois de juin, se bagarre toujours avec un genou fragile loin de l'enceinte de l'Est parisien tandis que le Suisse, éprouvé par une finale perdue à Bâle, a préféré prendre soin de ses petites douleurs en déclarant forfait à Paris pour se préserver... en vue de Londres !

Alors, la rumeur selon laquelle la finale de fin d'année pourrait de dérouler dans un avenir proche au Brésil n'arrange en rien les affaires de Guy Forget, le directeur du tournoi de Bercy. Dans ce cas, les meilleurs joueurs du monde devraient donc enchaîner Asie, Europe et Amérique du Sud en l'espace de trois semaines. Dès lors, comment les imaginer jouer à fond chacun des tournois se déroulant sur les trois continents ? À ce petit jeu-là, c'est à coup sûr l'étape parisienne qui va payer les frais.

"Une situation très dangereuse" (G. Forget)

"Coller à la finale annuelle est une situation très dangereuse dont il faut se sortir au plus vite", assure Guy Forget. L'ancien capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis, vainqueur à Bercy en 1991, connait mieux que quiconque le problème du calendrier ATP. Il envisagerait même de repositionner le Masters 1 000 français : "L'une des options, c'est qu'on soit déplacé en début de saison et qu'on devienne du coup le premier Masters 1 000 de l'année." L'ATP devrait donner sa décision d'ici à la semaine prochaine en vue d'un changement prévu pour 2014. "Nous sommes même prêts à organiser Paris-Bercy dès février 2013", a-t-il lâché. Vraisemblablement, le tout nouveau directeur du tournoi est pressé.

Peut-être en a-t-il assez de voir son Masters 1 000 être depuis des années le théâtre de la qualification à la finale londonienne. En effet, le "Big Four" est loin devant ses concurrents au classement et au courant depuis longtemps de sa présence à Londres. Une certitude dont ne peuvent pas se prévaloir les joueurs classés entre la 6e place et la 13e place mondiale. Encore susceptibles de perdre ou de valider leur ticket pour Londres, les derniers billets valent cher et c'est une véritable course aux points qui se déroule à Paris. D'où les belles performances des tennismen français (Gaël Monfils finaliste en 2009 et 2010, Tsonga vainqueur en 2008 et finaliste en 2011, Michael Llodra demi-finaliste en 2010). Cette année, Tsonga et Gasquet peuvent se qualifier pour Londres. De quoi assurer le spectacle ?

Coupe de la Ligue : Le Toulouse FC et l'AS Saint-Etienne partent en ... - Eurosport.com FR

SOCHAUX - SAINT-ETIENNE : LE FACTEUR BRANDAO

Privé de Ligue 1 ce week-end pour cause de pelouse impraticable, les supporters de Bonal vont-ils se rattraper avec une double ration en Coupe de la Ligue ? Au tour précédent, Sochaliens et Stéphanois avaient fait durer le plaisir pour décrocher leur qualification. Les premiers s'en étaient sortis face à Evian TG après prolongations (3-2). Les Verts avaient poussé jusqu'aux tirs au but pour se défaire de Lorient (1-1, 3-0 aux t.a.b.), avec un Stéphane Ruffier héroïque. Favoris face à Sochaux, les joueurs de Christophe Galtier pourront compter sur leur gardien de but, une nouvelle fois déterminant ce week-end face à Rennes (2-0).

Coupe de la Ligue : Le Toulouse FC et l'AS Saint-Etienne partent en quête du bonus - Football - Coupe de la Ligue Ils devront en revanche faire sans leur leader offensif Pierre-Emerick Aubameyang, victime d'une béquille et laissé au repos en prévision du déplacement à Paris ce week-end. Les Stéphanois assurent cependant concentrer toute leur énergie sur la Coupe de la Ligue. Pour ce faire, ils pourront compter sur le facteur Brandao, toujours décisif dans cette compétition. Le Brésilien, unique buteur lors de la dernière finale de l'épreuve, y compte autant de buts que de titularisations (8). Et de neuf contre Sochaux ?

MONACO - TROYES : SORTIR DU QUOTIDIEN

Après Valenciennes (4-2 a.p.), l'AS Monaco trouve sur sa route un nouveau club de Ligue 1 pour mesurer le parcours qui lui reste à accomplir avant d'assouvir les ambitions de son riche propriétaire russe. Relégable en Ligue 1, Troyes (19e) ne représente pas le haut du panier malgré des intentions de jeu séduisantes, mais les Monégasques ont l'occasion en Coupe de la Ligue de s'affranchir de leur quotidien au sein du deuxième échelon. Histoire d'annoncer à la France du football la révolution que l'ASM espère mener, et d'effacer le revers subi en championnat face à Nantes (0-2).

Aux yeux de Jean-Marc Furlan, "cette défaite fait qu'ils seront un peu moins favoris". L'entraîneur troyen espère bien en profiter, il a fait d'une victoire en Coupe le deuxième objectif de la saison après l'obtention du maintien en Ligue 1 : "Il y a plein d'équipes qui sont parvenues à gagner une coupe, de la Ligue ou de France. Pourquoi pas nous ?"

RENNES - ARLES-AVIGNON : LE RETOUR DES BANNIS

Coupe de la Ligue : Le Toulouse FC et l'AS Saint-Etienne partent en quête du bonus - Football - Coupe de la Ligue Yann Mvila et Chris Mavinga font leur retour sur la pointe des pieds. Ecartés une dizaine de jours après leur virée nocturne avec les Espoirs, les deux joueurs ont réintégré le groupe professionnel lundi, à la veille du huitième de finale de Coupe de la Ligue face à Arles-Avignon. L'occasion pour Frédéric Antonetti d'opérer une réintégration en douceur de ses joueurs, dans une épreuve secondaire pour le Stade Rennais. Mvila pourrait même être titularisé, tandis que son compère reste suspendu après avoir été expulsé lors de son passage avec l'équipe réserve.

Malgré les performances récentes du Stade Rennais dans cette épreuve (les Bretons n'ont plus rallié les quarts de finale depuis l'édition 2007), Frédéric Antonetti se défend de faire passer la Coupe de la Ligue au second plan et en fait même "un objectif très sérieux". Et l'entraîneur rennais de mettre ses joueurs en garde : "Arles est une bonne équipe composée de vieux briscards. Je suis très méfiant".

LILLE-TOULOUSE : L'AFFICHE DU SOIR

Dispensé de seizièmes de finale, le LOSC espérait certainement une entrée en matière moins délicate. En recevant le TFC, les Nordistes se mesurent tout simplement au nouveau deuxième de Ligue 1, premier poursuivant du Paris Saint-Germain à la faveur d'une excellente série en Ligue 1. Porté par un jeu séduisant et des individualités rayonnantes (Capoue et Ben Yedder pour les plus en vue), Toulouse espère bien ne pas en rester là. "La Coupe de la Ligue, c'est le chemin le plus court pour être européen", rappelle Pantxi Sirieix. "On va voir ce que ça donne face au gros", poursuit le milieu de terrain toulousain avec gourmandise.

Relancés par trois matches sans défaite, les Lillois ne disposent pas encore tout à fait des mêmes certitudes. Et l'une de leurs principales difficultés du début de saison réside dans l'enchaînement des rencontres, entre sorties domestiques et européennes. Pour autant, "cette rencontre n'a pas pour but de nous rassurer, mais bien de nous qualifier", prévient Rudi Garcia. "À nous de remporter ce rendez-vous face à Toulouse, quelles que soient les forces en présence", conclut l'entraîneur lillois.

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Congrès de Toulouse : malgré les discours d'Aubry et Désir, le PS ... - Le Nouvel Observateur

Harlem Désir, Jean-Marc Ayrault et Martine Aubry au congrès du PS à Toulouse le 27 octobre 2012 (CHAMUSSY/SIPA)

 Harlem Désir, Jean-Marc Ayrault et Martine Aubry au congrès du PS à Toulouse le 27 octobre 2012 (CHAMUSSY/SIPA)

 

Mauvais temps, salles dépeuplées : le congrès de Toulouse n'enthousiasmait personne. Vendredi, sur les réseaux sociaux, les militants socialistes râlaient.

 

Reconnaissons qu'il y avait mieux ailleurs. Le débat Copé/Fillon, la veille, avait fait un flop d'audience, mais démontrait aussi le désarroi idéologique et la confusion stratégique de la droite, malgré une opposition au gouvernement très bien organisée (et d'une rare violence). Les éditorialistes s'acharnaient à décrypter ce faux duel entre "Moi, le maire de Meaux" et "Moi, le père de tous les maux". Les intempéries en France monopolisaient les JT et reléguaient Toulouse en information anecdotique de trente secondes. Les grands patrons – ou gros poissons, à opposer aux pigeons et autres dindons du moment – lançaient un pavé dans la mare en publiant leurs préconisations pour améliorer la compétitivité de l'économie française. Cette tribune dans le "Journal du dimanche" a parasité une bonne partie du congrès.

 

"To Lose"

 

Alors, oui, à côté, Toulouse, c'était un peu la "lose". Et pourtant, les militants ont tenté d'y apporter un peu de flamme durant quelques moments-clés.

 

Le discours de Ségolène Royal, en maîtresse d'école distribuant les bons points mais rappelant que cela ne suffira pas pour obtenir des lauriers en fin de mandat.

 

Le discours d'Emmanuel Maurel, l'atout "neuf" de ce congrès de vieux briscards, qui permettait de donner l'élan emphatique et idéaliste à un PS tétanisé par le pouvoir, les énarques et l'héritage de la droite.

 

Celui de Jean-Marc Ayrault n'était pas mauvais non plus. Mais le Premier ministre prend tellement l'eau qu'il a maladroitement mélangé un bilan, précoce, et une perspective, toujours aussi floue.

 

Définitivement, ce qu'on retiendra (enfin, relativisons), ce sont les deux discours fondateurs : celui de la sortante, Martine Aubry et celui de son successeur, Harlem Désir. 

 

Pour les Français, ces deux faces de la même pièce ne bousculeront pas leurs impressions sur le PS. Pourtant, ils montrent deux manières de voir l'action politique dans un contexte de crise économique, sociale, morale, psychologique.

 

Martine Aubry se donne les moyens de ses ambitions

 

Martine Aubry s'est positionnée sur un terrain économique, reprenant à son compte la devise de Bill Clinton, "It's the economy, stupid". La maire de Lille a enfin clamé un texte bien écrit, précis, constructif, dynamisé par des propositions intéressantes. Ce discours technique, politiquement rassembleur, évidemment flatteur, est un paradoxe. Elle n'a jamais été aussi bonne que samedi.

 

Et pourtant, elle quitte la scène nationale. Certains diront qu'elle a pris date pour un avenir plus ou moins proche. D'autres qu'elle reprend sa liberté et qu'elle se veut simplement utile.

 

Reste que c'est la seule à avoir aidé l'exécutif en parlant de compétitivité et d'emplois. La mère des batailles se situerait là, selon elle. Martine Aubry n'a pas tort. En bonne connaisseuse des dossiers, elle suggère des pistes, encadre les enjeux, installe les règles du débat. La voilà, celle qui pourrait s'opposer aux gros poissons. En faisant ses premiers adieux – comme les chanteurs, elle reviendra, n'en doutons pas –, Aubry, idolâtrée par une grande partie de la base, doit digérer un échec autrement plus flagrant : elle ne s'est jamais donnée les moyens de ses ambitions…

 

Harlem Désir a trouvé son ennemi

 

Son successeur Harlem Désir ne l'a pas concurrencée et a préféré donné un autre angle à sa future action. Sans être une révélation, son discours a porté comme il fallait : il a permis au nouveau premier secrétaire d'exister et d'enfiler le costume, faisant oublier les conditions de son élection ou même les critiques à son égard. Désir a placé son mandat sous le socialisme du réel, avec un vocabulaire déterminé, combatif.

 

C'est en s'opposant à la droite qu'il a marqué le plus de points. Puisque la gauche est au pouvoir et encaisse les mauvais coups, que la droite cogne, il frappe. Il n'est pas là pour suppléer au gouvernement, il est là pour le protéger : le gouvernement en a besoin, tant sa communication est brouillonne et son action illisible.

 

Il est aussi là pour éviter des catastrophes électorales. La crainte d'un FN de plus en plus fort est dans sa ligne de mire. Dans son discours, où les petites phrases et les jolies piques ne manquaient pas, Désir a trouvé son ennemi : la montée du FN, la trahison des idéaux gaullistes, la revendication des valeurs de gauche à travers la défense des 60 propositions de Hollande.

 

Certains élus en seront pour leurs frais (cumul des mandats, mariages pour tous, droit de vote des étrangers : autant de sujets polémiques qui gênent certains barons et qui ont été ovationnés), car Désir assume et s'affirme par la même occasion. On pourra dire que c'était facile, de bonne guerre. Mais il fallait bien réveiller un congrès ennuyeux. À défaut d'avoir suscité le désir, Harlem Désir a fait plaisir aux militants qui se demandaient ce qu'ils faisaient dans cette ville rose.

 

Un congrès historiquement inutile

 

On le jugera aux résultats. Pour l'instant, ce congrès aura été, historiquement, politiquement, assez inutile ; on y a vu un premier secrétaire inspiré et consensuel, une ancienne première secrétaire qui a quitté le poste avec panache, une aile gauche suffisamment vivante pour se croire indispensable, un Premier ministre encouragé et soutenu.

 

C'était une séance de "cajolo-thérapie" pour un parti complètement sonné par l'héritage calamiteux de 5 ans de sarkozysme et grisé par cette ivresse du pouvoir dont ils avaient été sevrés depuis 10 ans.

 

Ce que Toulouse a montré, avant tout, c'est que le Parti socialiste ne sait pas quel est son rôle dans ce nouveau contexte : réservoir à idées ? machine de combat ? gardien du temple ? Doit-il être de tous les débats pour soutenir, améliorer les arbitrages les plus complexes ? Ou au contraire être un rempart face aux invectives de l'UMP et aux dérives d'une droite de plus en plus réactionnaire ?

 

De grandes indécisions

 

Aubry et Désir n'ont pas su faire la miraculeuse synthèse des congrès antérieurs. Derrière l'unanimité affichée, se cachent de grandes indécisions. À charge pour Désir de fixer le cap et de trouver les armes pour attaquer l'avenir.

 

Mais ne blâmons pas le PS. L'UDI de Borloo, l'UMP, le MoDem et dans une moindre mesure les Verts, et ceux plus à gauche sont dans le même état : les partis politiques français sont en reconstruction. Un immense chantier démocratique où chacun des architectes peinent à convaincre les Français que la politique sera à leur service, au quotidien. Martine Aubry a donc raison de s'en soucier.

 

Mais, du duel à l'UMP au congrès socialiste, la réalité était peut-être la grande absente de ces derniers jours. Cela entraîne des propos démagogiques ou populistes de plus en plus naturels dans la sphère politique, flattant les citoyens par des idées simplistes plutôt que de respecter avec pédagogie. Et là, reconnaissons qu'Harlem Désir a raison d'avoir peur d'une lepénisation des esprits.

dimanche 28 octobre 2012

Marseille : Le groupe face à Lyon - Sport365.fr

Pour recevoir Lyon, dimanche soir (21h00) au Vélodrome dans le choc de cette 10eme journée de L1, Elie Baup pourra compter sur un groupe presque au complet si l'on excepte les absences de Gignac, Diawara, N'Diaye, blessés. Barton, toujours suspendu, ne figure pas non plus dans le groupe marseillais qui accueillera l'OL dimanche. Seul le retour de Bilel Omrani, non retenu en Ligue Europa jeudi dernier, fait donc que ce groupe ne sera pas totalement identique à celui qui est revenu avec une défaite de son déplacement sur le terrain du Borussia Mönchengladbach.

Le groupe de Marseille

S.Mandanda, Bracigliano - Fanni, Abdallah, N'Koulou, Mendes, Morel, M'Bow - Kaboré, Be.Cheyrou, Abdullah, Valbuena, M.Amalfitano, A.Ayew – Raspentino, J.Ayew, Rémy, Omrani

Blessés : N'Diaye (reprise), So.Diawara (reprise) Gignac (pied)
Suspendu : Aucun
Choix de l'entraîneur : Mango, Aloé

Paris: des centaines de manifestants pour la réquisition des ... - Le Nouvel Observateur

PARIS (Sipa) -- A cinq jours de la trêve hivernale des expulsions, quelques centaines de personnes répondant à l'appel de l'association Droit au logement (DAL) ont manifesté samedi après-midi à Paris pour réclamer la réquisition des logements vides.

Sous une pluie glaciale, les manifestants ont défilé de la place du Palais-Royal au ministère du Logement, derrière une banderole colorée portant le mot "Réquisition!", réalisée par le dessinateur Wozniak, tout comme plusieurs pancartes brandies dans le cortège. L'une d'elle représentait un homme assis contre des cartons déclarant "Et pourtant, je travaille".

"On est ici pour faire du bruit, attirer l'attention, demander l'arrêt des expulsions, et l'application de la loi DALO" (Droit au logement opposable), a déclaré l'actrice Josiane Balasko, soutien de longue date de l'association, présente dans le cortège. "On a l'espoir que ça change. On a voté pour avoir de l'espoir", a-t-elle ajouté.

Près d'elle, un homme criait sa colère aux journalistes: "Ma soeur et ses quatre enfants ont été expulsés mercredi de leur appartement à Ivry-sur-Seine. Elle est où la différence?".

Une délégation devait être reçue en fin d'après-midi au ministère du Logement. L'association réclame "le lancement immédiat d'un plan de réquisition de 100.000 logements vacants" et la fin des expulsions, une "violence sociale", pour son porte-parole Jean-Baptiste Eyraud.

Comme tous les ans, la loi interdisant les expulsions locatives dans toute la France durant la période la plus froide de l'année s'appliquera à partir du 1er novembre -jeudi prochain- jusqu'au 15 mars.

god/mw

Fort vent à Marseille: deux concerts annulés à la Fiesta des Suds - Le Parisien

Publié le 27.10.2012, 20h35

Deux concerts programmés à la Fiesta des Suds et prévus sous chapiteau samedi soir ont été annulés en raison du fort mistral qui soufflait par rafales à Marseille, a-t-on appris auprès du festival.
"Pour des raisons de sécurité, au vu des conditions de vent dantesques survenues entre 18h00 et 19h00, le chapiteau de la Fiesta des Suds est fermé et les concerts de Shaka Ponk et Wax Tailor sont annulés", ont annoncé les organisateurs du festival dans un communiqué.
Les personnes munies d'un billet mais décidant de ne pas assister à cette soirée peuvent se faire rembourser auprès de leur point de vente.
"Cette nuit de clôture reste néanmoins maintenue avec les concerts au sein du Dock des Suds de Mulatu Astatke, Naïas, Dj Oil, Fred Berthet, la Nuit Do it...", ajoute le communiqué.
Un des organisateurs du festival a précisé à l'AFP que "pendant les balances, en fin d'après-midi, les bourrasques (avaient été) très violentes". "En accord avec la commission de sécurité, on n'a préféré ne prendre aucun risque", a-t-il ajouté.
Météo
a placé samedi après-midi le département des Bouches-du-Rhône en vigilance orange en prévision de vents violents pour la soirée, la nuit puis la journée de dimanche.
"Les plus fortes rafales concerneront essentiellement une bande allant de la vallée du Rhône au littoral à l'est de Marseille en passant par l'étang de Berre", avec des rafales qui pourront atteindre 110 à 130 km/h, selon l'organisme.
Pour sa 21e édition, le festival, qui se tient au coeur du port de Marseille dans d'anciens docks (19-27 octobre), a réuni une affiche mêlant électro, musique balkanique et hip hop, avec notamment Goran Bregovic, , El Gusto ou .

Le choc pour le Stade Français - Le Figaro

Les Parisiens ont chass leurs vieux dmons pour l'emporter face Toulouse (28-24). Ils ont profit des bvues d'une quipe toulousaine remanie et amoindrie par les blessures. Servat a notamment fait son grand retour la comptition cinq mois aprs sa retraite pour pallier les absences. Cela n'a pas suffi pour arrter un Stade Franais conqurant et volontaire. Avec cette victoire en poche, les Parisiens se rassurent pour la suite du championnat.

Toulouse en deux temps
Le Stade Franais rentrait bien dans cette rencontre en bousculant une quipe toulousaine manquant de rythme. Porical sanctionnait les erreurs des visiteurs sur deux pnalits (6-0, 8e, 14e). Poux commettait ensuite une grosse faute, sur une touche, qui lui valait un carton jaune. A quatorze, les Toulousains craquaient sur la mle qui suivait. Suite une grosse pousse parisienne, Parisse prenait la balle pour l'aplatir deux mtres plus loin (11-0, 18e). Les Toulousains se rveillaient par l'intermdiaire de Bzy qui marquait une pnalit (11-3, 21e). Ce coup de pied salvateur remettait les Haut-Garonnais sur les rails de la rencontre. Aprs une mle, Clerc rcuprait la balle, tapait suivre et prenait de vitesse les Parisiens pour aller marquer un bel essai (14-10, 28e). Dix minutes plus tard, Maka percutait bien la dfense parisienne, franchissait le rideau et filait dans l'en-but (14-15, 38e). Peu avant la mi-temps, Bzy ajoutait trois nouveaux points (14-18, 40e).

Le match de rfrence pour le Stade Franais
Revigors par cette fin de premire priode, les Toulousains imprimaient le mme rythme en revenant des vestiaires. Un excellent drop de Bzy permettait aux Haut-Garonnais de prendre le large (14-21, 49e). Maisl es Toulousains dilapidaient cette avance aprs un cafouillage entre Poitrenaud et Nyang qui profitait Fillol pour marquer l'essai. Derrire Porical galisait sur la transformation (21-21, 59e). Fritz redonnait une lgre avance son quipe sur une pnalit (24-21, 66e). Le match s'emballait avec divers temps de jeu qui auraient pu faire basculer la rencontre d'un ct comme de l'autre. Le Stade Franais profitait justement d'une inattention toulousaine. Parisse concluait le trs bon travail de ses avants qui remontaient prs de 80 mtres (28-24, 74e). Les Toulousains, trop brouillons en cette fin de match, tombaient sur un trs bon bloc dfensif. Ils peuvent nanmoins se consoler en prenant le point du bonus dfensif. Le Stade Franais, pour sa part, a sorti ses tripes pour tenir son match de rfrence et lancer enfin sa saison.

Rsultats 9e journe
 Vendredi
  Clermont - Biarritz 19-12
 Samedi
  Stade Franais - Toulouse 28-24
  Agen Castres 14-22
  Mont-de-Marsan Bordeaux-Bgles 12-17
  Montpellier Grenoble 23-6
  Toulon Bayonne 59-0
 Perpignan Racing-Mtro 17-13

La 9e journe en images:

La Bourse de Paris sera tournée vers les US et vigilante sur les ... - 20minutes.fr

La Bourse de Paris, qui a vcu une semaine difficile aprs des rsultats de socits en demi-teinte, restera domine par les publications d'entreprises mais tentera aussi, grce une srie d'indicateurs macroconomiques, de se faire une ide plus prcise de l'conomie mondiale.

Sur la semaine coule, l'indice CAC 40 a perdu 1,98%, pour terminer vendredi 3.435,09 points. Il s'est octroy 8,71% depuis le 1er janvier.

Le march des actions a tangu cette semaine aprs des rsultats d'entreprises de premier plan, qui se sont rvls contrasts, des deux cts de l'Atlantique.

Focalise sur les publications de rsultats, la Bourse en a presque oubli l'Espagne et la zone euro. Mais c'est un sujet qui reste en toile de fond, fait remarquer Renaud Murail, grant de portefeuilles chez Barclays.

"L'absence de demande d'aide formelle de Madrid l'Europe freine toujours le potentiel de hausse du march en introduisant un lment d'incertitude", a-t-il ajout.

Le march attend peu de nouvelles significatives sur le front europen la semaine prochaine, mais aura encore fort faire avec la poursuite des publications d'entreprises (Total, ExxonMobil, General Motors, ADM, GDF Suez...) et de nombreux indicateurs macroconomiques.

Pour l'instant, on assiste globalement une dception concernant les chiffres d'affaires et la confirmation d'un mois de septembre trs difficile pour les socits europennes, souligne M. Murail. Les investisseurs notent galement "le manque de visibilit des entreprises".

Pour autant tout n'est pas noir. Et certains dclent un frmissement, surtout aux Etats-Unis dans le secteur immobilier. Les lections prsidentielles amricaines psent toutefois sur la tendance en introduisant un lment d'incertitude, tout comme les risques d'ajustements budgtaires importants (fiscal cliff) qui pourraient se traduire par une baisse notable de l'activit.

En Europe, le stress li la crainte d'un clatement de la zone euro s'loigne grands pas et si "la rcession est certes invitable, elle pourrait s'avrer plus modre que prvu", soulignent les conomistes chez Aurel.

Ils notent un regain de confiance "grce au pare-feu mis en place sur le march obligataire et aux avances, mme timides, en matire d'union bancaire".

Du coup, les actions ont finalement bien rsist aux mauvaises publications. Chez Bofa-Merrill Lynch, on s'avance mme dire que la rsistance des marchs actions annonce peut-tre, comme cela a dj t constat maintes reprises dans le pass, des signes d'une amlioration franche de l'activit conomique mondiale.

Mais il ne faut pas aller trop vite car dans les salles de march, le doute domine encore largement. Les indicateurs macroconomiques soufflent le chaud et le froid, souligne-t-on chez Pictet, o l'on constate que "la Bourse est actuellement dpendante 80% des dcisions politiques et des grands indicateurs macroconomiques et seulement 20% des rsultats des entreprises".

Le sentiment gnral est plutt positif avec une volont de retour des investisseurs sur le march actions, les autres placements et notamment les obligations d'Etat, restant peu rentables ou trop risqus.

Les investisseurs auront beaucoup de chiffres se mettre sous la dent la semaine prochaine et au premier rang d'entre eux la statistique mensuelle sur l'emploi amricain vendredi. Seront galement publis des indicateurs avancs en zone euro et l'indice ISM d'activit dans l'industrie amricaine pour octobre.

Des indicateurs propos de la confiance seront galement publis en zone euro et aux Etats-Unis, ainsi que les chiffres de l'activit conomique dans la rgion de Chicago pour octobre et des statistiques dans le secteur immobilier amricain.

Euronext (CAC 40)

Congrès de Toulouse : Aubry nettoie le parti - Le Nouvel Observateur

On se retire un petit mois à Lille et – plouf ! - le parti va à vau l'eau. A la tribune du congrès de Toulouse, ce samedi 27 octobre, Martine Aubry, équipée de ses grandes bottes d'égoutier et de sa pioche de mineur, est venue écoper, pelleter et boucher quelques voies d'eau. Il fallait bien que quelqu'un s'y colle. Des torrents de boue menaçaient d'emporter la maison.

Avec sa franchise bougonne des grands jours, Martine fait le boulot. "Oui, je suis partie. Mais je parle toujours ! Je ne suis pas malade", s'exclame l'ex-première secrétaire, désormais libre comme l'air. Elle le dit tout simplement (son expression fétiche) : elle est heureuse qu'Harlem Désir ait pris sa succession. "J'entends dire que ce congrès ne sert à rien… Ah bon ? Pourquoi ? Parce qu'il n'y a pas de guerre des chefs." Aubry ne veut pas laisser dire que le jamboree de Toulouse aurait été bâclé. "Je suis heureuse que ce congrès ait été préparé comme il l'a été." Ah mais !

Elle est contente d'avoir changé les règles. Pour une fois, la ligne politique l'a emportée sur les petits arrangements et la conflagration des egos. La chambrée est au carré. Le parti avant Aubry ? C'était le Moyen-âge ! Rien ne fonctionnait avant son passage. Heureusement que la maire de Lille a fait installer l'électricité et le tout-à-l'égout. "Courage, mes camarades ! Encore un petit effort, le non-cumul, on va y arriver". 

A ceux qui s'impatientent et ceux qui doutent, Martine oppose sa foi de charbonnier. Elle est fière de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault "un honnête homme", comme auraient dit les moralistes du Grand Siècle, une époque où on savait se tenir. Elle entend ceux qui disent "ça ne va pas assez vite". Elle leur répond du haut de sa modeste expérience : qu'ils se souviennent du Congrès de Reims, en 2008. On ne donnait pas cher des enfants de Jaurès qui venaient de s'entre-déchirer. "Mais nous avons tout gagné", objecte Aubry. Hollande n'a qu'à en prendre de la graine… Les débuts difficiles peuvent déboucher sur des lendemains qui chantent. A condition de ne pas pleurnicher et de se retrousser les manches. 

"Arrêtons de parler dans la presse"

Les humbles pêcheurs qui se prennent à douter n'ont qu'à appliquer sa méthode de redressement moral. "Quand vous êtes troublé, demandez-vous : "est-ce que le président est sur le bon chemin ?" L'introspection vaut mieux que l'hystérie. Mais surtout, que tous ceux qui ont envie de couper les cheveux en quatre dans le sens de la longueur cessent de bavarder sans réfléchir ! "C'est facile de signer des pétitions et de les adresser à François Hollande et Jean-Marc Ayrault. Alors que ce sont les Français qu'il faut convaincre". Vlan ! Et revlan !

"Arrêtons de parler dans la presse. Les Français ne comprennent rien." Problème : cet appel à la retenue médiatique n'empêche pas Martine Aubry de donner céans son avis sur tous les sujets du jour. Le choc de compétitivité ? Elle est contre, même si elle adore Louis Gallois, le rapporteur appointé par le gouvernement. "Une hausse de TVA ou de la CSG, ce n'est pas un choc de compétitivité, c'est un choc de pouvoir d'achat." Martine préférerait que l'on taxe les profits ou que l'on applique une fiscalité écologique qui favorise les secteurs d'avenir.

Européenne, Martine Aubry l'est par atavisme. Elle forme le vœu que les socialistes se consacrent à définir une nouvelle étape. Les élections européennes de 2014 sont déjà en ligne de mire. L'ex-première secrétaire verrait bien les socialistes de tous les pays proposer un candidat commun pour la présidence de la commission européenne. Un candidat ou une candidate ?

Ligue 1: Paris prend le large, Toulouse pointe son nez devant l'OM ... - Le Parisien

Publié le 27.10.2012, 22h10

a souffert pour s'imposer (1-0) à Nancy chez une lanterne rouge combative, mais le 10e but d'Ibrahimovic samedi en autant de journées de L1 permet au PSG de compter trois points d'avance sur son dauphin toulousain avant le choc de dimanche entre Marseille (3e) et (4e).
Comme souvent ces derniers temps, le PSG a pourtant encore longtemps joué sur un rythme de sénateur avant de faire la différence à un quart d'heure de la fin.
Avant cela, Nancy avait, fidèle à sa légende de bête noire des Parisiens, grandement contrarié l'équipe d'Ancelotti, trouvant même dès la 2e minute le poteau d'un Sirigu rudement efficace à la 89e minute pour enlever un coup franc qui filait dans son but.
Mais , qui enchaîne avec une 2e victoire 1-0 consécutive efficace mais peu convaincante en championnat à quatre jours d'acceuillir l'OM mercredi en Coupe de la Ligue, a élevé son niveau juste ce qu'il fallait pour prendre et garder un court avantage.
Sur l'action décisive (75), outre l'envergure et le réalisme du Suédois, il faut saluer une nouvelle fois l'abattage de Matuidi.
Pendant qu'à un bout du classement le PSG, toujours invaincu, se détache avec 22 points, l'autre continue d'être occupé par des Lorrains qui n'ont cette fois-ci pas été récompensés malgré leurs belles intentions et comptent toujours cinq points.
L'autre bonne affaire du jour échoit donc à Toulouse, net vainqueur de Brest au Stadium (3-1) et qui en profite pour grimper provisoirement à la 2e place avant le choc de dimanche entre les deux Olympiques.
La tâche du TFC a été facilitée par le 7e but de Ben Yedder après sa déconvenue avec les Espoirs et aussi la récurrente fragilité des Bretons loin de leur terre, où ils en sont désormais à six revers en autant de déplacements et donc toujours à portée de tir des relégables (15).
Après sa victoire contre Nice obtenue après le repos (3-1), le champion de France Montpelliérain, qui attendait encore son premier succès à domicile, s'en éloigne pour sa part (12), à l'inverse des Niçois (16).
Européen et en difficulté comme Montpellier, Lille aussi s'est donné de l'air après ses déboires du milieu de semaine. Rien de mieux pour ça qu'un derby en fin d'après-midi contre Valenciennes (2-0), l'une des cibles préférées des Dogues.
Ceux-ci ont mordu d'entrée avec un Payet et un Kalou revanchards, avant ensuite de finir en tremblant après que Le Tallec eut inscrit son 5e but malgré l'infériorité numérique de Valenciennes, réduit à dix après l'exclusion de Sanchez (29). Du coup, Lille en profite pour revenir dans le Top 10 (9), avec désormais un point de retard sur son malheureux adversaire nordiste (6).
Dans la dernière rencontre, puisque le match d'Evian (17) à Sochaux (18) a été reporté en raison de la neige envahissante dans le Doubs, le 2e derby de la journée, celui de la Champagne entre Reims et Troyes, n'a pas été aussi pétillant que le 1er.
Victimes du PSG il y a une semaine, les Rémois ont bien réagi en ouvrant le score, mais les Troyens, qui avaient dominé Marseille dimanche, ont gardé assez la tête froide pour égaliser ensuite (1-1). Au classement, ce sont pourtant les hôtes qui restent loin devant (7) alors que l'Estac pointe en bas (19).
Résultats de la 10e journée de la Ligue 1 de football:
vendredi
Saint-Etienne - Rennes 2 - 0
samedi
Lille - Valenciennes 2 - 1
Reims - Troyes 1 - 1
Nancy - Paris SG 0 - 1
Montpellier - Nice 3 - 1
Toulouse - Brest 3 - 1
Sochaux - Evian/Thonon reporté à cause de la neige
dimanche
(14h00) Lorient - Ajaccio
(17h00) Bastia - Bordeaux
(21h00) Marseille - Lyon
NDLR : Ajaccio a été pénalisé de 2 points (plus 1 avec sursis) en raison des incidents survenus à la fin du match contre Lyon, le 13 mai dernier.

A Toulouse, les socialistes serrent les rangs derrière le gouvernement - Le Nouvel Observateur

TOULOUSE (Sipa) -- Les socialistes ont serré les rangs samedi derrière le gouvernement, en dégringolade dans les sondages et accusé d'amateurisme par l'opposition.

Nombreux étaient les ministres à avoir fait le déplacement au Parc des expositions de Toulouse pour assister au premier congrès du PS depuis que la gauche a reconquis le pouvoir. Tous s'étaient donnés pour mission de défendre l'action du gouvernement de Jean-Marc Ayrault et de faire front uni contre les critiques de l'opposition.

Arrivé dans la matinée, le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll a appelé les socialistes à rester "cohérents, soudés et avec un cap". "Hollandais historique", il a admis: "on a passé des moments difficiles les uns et les autres, on sait que la situation n'est pas facile". "Mais on doit être là pour être une boussole, garder le cap et surtout ne pas laisser le doute s'installer, donc il faut rassurer", a-t-il insisté.

Après lui, c'est le ministre de l'Intérieur Manuel Valls qui a volé au secours du Premier ministre. Le plus populaire des membres du gouvernement s'est dit "fier" d'être ministre de Jean-Marc Ayrault, "un Premier ministre disponible, à l'écoute, qui arbitre et qui tranche".

Virulent et enflammé à la tribune, le ministre de l'Intérieur a jugé que la gauche française était "à un moment de vérité". "Nous sommes au coeur de l'histoire, au coeur de la promesse de la gauche. Nous n'avons plus le luxe de commenter, de critiquer. Nous devons agir et démontrer que la gauche peut transformer la France dans la durée. Aucun de nous n'attendait de satisfecit, de concours de louanges ou de commentaires compatissants. Qui pouvait croire que le chemin allait être facile?".

A son tour, le ministre de l'Economie Pierre Moscovici s'est employé à défendre le gouvernement, affirmant qu'il "est à la tâche". "Nous donnons le meilleur de nous-mêmes", a-t-il assuré. "C'est parce que c'est difficile que nous allons réussir", s'est-il exclamé, admettant que le premier combat du gouvernement était celui de "la confiance". "Nous avons besoin d'un PS fort, uni, rassemblé, au côté du gouvernement pour gagner la bataille de l'emploi", a-t-il lancé à ses camarades.

Jean-Marc Ayrault "assume" et "revendique" sa politique

Malmené dans les sondages, le Premier ministre est lui-même venu samedi à Toulouse, pour rechercher soutien et affection auprès des cadres et militants du parti, se réservant pas moins de trois entrées, suivies de trois ovations, dans la salle du Parc des expositions.

"Je revendique ma méthode: celle de la mobilisation de toutes les forces du pays, de la fédération de toutes les énergies, de l'adhésion des Français à des solutions durables qui permettent d'ancrer le changement dans la durée. Je revendique le choix de la négociation, au risque d'être parfois critiqué sur le rythme des réformes", a-t-il précisé.

"J'assume qu'il ait fallu plusieurs mois pour parvenir à un accord historique sur les dépassements d'honoraires. J'assume le fait d'avoir pris le temps de la négociation pour le contrat de génération et je me félicite qu'elle vienne de se conclure. J'assume le choix qui conduira à une meilleure mise en oeuvre de ce projet essentiel dans notre guerre contre le chômage. J'assume le fait que la grande messe sociale n'ait pas été une grand-messe médiatique d'un jour. J'assume et je revendique!", a-t-il proclamé.

Martine Aubry, superstar du PS

Gagnante incontestée à l'applaudimètre, Martine Aubry, première secrétaire du PS de 2008 à 2012, a également soutenu vigoureusement l'action du gouvernement, en invitant la gauche à se réjouir du travail déjà accompli et à concentrer ses attaques sur l'opposition.

"Principal soutien" du Premier ministre Jean-Marc Ayrault et "principale militante du gouvernement" : voilà comment s'est présentée la maire de Lille. "Ne nous laissons pas impressionner et évitons surtout de créer nous-même les difficultés", a-t-elle lancé, appelant les militants à être "fiers" des réformes déjà accomplies. "Arrêtons de parler dans la presse, les Français veulent nous voir comme un seul bloc", a-t-elle poursuivi, avant de citer François Mitterrand : "Gardons la nuque raide quand nous pensons que ce que nous faisons est juste".

Se disant heureuse de passer le flambeau à Harlem Désir, Martine Aubry a toutefois précisé: "Je suis partie, mais je parle toujours. Je continuerai à être une militante". "Quand je crois à quelque chose, je ne lâche pas".

Le gouvernement rappelé à ses engagements

Loin de suivre le conseil de Martine Aubry, le député de Paris Jean-Christophe Cambadélis a appelé samedi par le biais des médias le gouvernement à amplifier la contre-attaque contre la droite, signe supplémentaire de l'impatience de certains au PS et à gauche.

En outre, plusieurs intervenants ont rappelé le gouvernement à ses engagements sur le droit de vote des étrangers, le non-cumul des mandats ou la parité. Trois promesses de campagne de François Hollande encore dans les cartons.

"L'engagement en faveur du droit de vote des étrangers est un engagement politique" et "cet engagement là n'est pas ouvert à la négociation", a affirmé à la tribune le ministre de l'Economie solidaire, Benoît Hamon. "Nous prônons le partage des richesses, nous devons aussi partager le pouvoir", a ensuite tonné une des ses proches, la députée Barbara Romagnan, à propos du cumul des mandats. Et l'ancienne ministre de la Justice Elisabeth Guigou d'abonder :"Nous avons une grandeur à accomplir".

cd/hf/mw