Publié le 25.10.2012, 09h07
La Bourse de Paris a terminé sur une baisse jeudi (-0,44%), dans un environnement dominé par la prudence après des résultats d'entreprises et des chiffres macroéconomiques mitigés dans leur ensemble.
A la clôture, l'indice CAC 40 a cédé 14,96 points pour s'inscrire à 3.411,53 points, dans un volume d'échanges modeste de 2,361 milliards d'euros.
A Francfort, le Dax a grignoté 0,10% et à Londres, le Footsie a fait du surplace (+0,27 point). L'Eurostoxx 50 a cédé 0,29%.
"Les résultats des sociétés sont très hétérogènes des deux côtés de l'Atlantique. Les investisseurs ne savent pas vraiment sur quel pied danser", commente Alexandre Hezez chez Convictions AM.
"Il y a aussi un peu de fébrilité avant la publication des chiffres de la croissance américaine vendredi", ajoute-t-il.
La prudence a une nouvelle fois dominé la cote parisienne, les investisseurs attendant des précisions sur l'évolution de la situation économique mondiale. La proximité des élections présidentielles américaines incite également à rester sur ses gardes.
Les statistiques macroéconomiques ont fait souffler le chaud et le froid, alimentant l'hésitation des investisseurs. Dans un premier temps, la cote a progressé avant de retomber.
Les commandes de biens durables aux Etats-Unis ont fortement rebondi en septembre, les nouvelles inscriptions au chômage ont baissé dans la troisième semaine d'octobre, mais le timide rebond des promesses de vente de logements neuf a déçu les analystes.
France Télécom a vécu une séance mouvementée après l'annonce d'une baisse de son dividende pour 2012 et 2013 et d'un recul de son chiffre d'affaires trimestriel. A la clôture, le titre a finalement cédé 5,16% à 8,83 euros, signant la plus forte baisse du CAC 40. "Le titre est très volatil. Les investisseurs hésitent car la société manque sérieusement de catalyseurs", estime une source de marché.
Peugeot a poursuivi son repli dans un marché qui s'interroge toujours sur l'avenir du groupe et sa capacité de redressement (-3,45% à 5,36 euros).
En repli également STMIcroelectronics (-2,46% à 4,70 euros), pénalisé jeudi par des prises de bénéfices après sa forte progression la veille.
Axa, qui s'était un temps inscrit en tête des hausses, a finalement terminé sur une progression modeste (+1,04% à 12,18 euros). Le groupe a publié un chiffre d'affaires en hausse, soutenu par la croissance de l'activité "dommage" notamment dans les pays émergents.
Sanofi a gagné 1,42% à 67,04 euros après avoir enregistré un bénéfice par action moins mauvais que redouté.
Excellente performance enfin de Gemalto (+3,14% à 69 euros), valeur chouchou de nombreux analystes qui vantent son potentiel de développement dans le secteur des cartes de paiement.
Le titre EuroDisney a pris près de 20% à 5,91 euros, dopé par des rumeurs récurrentes d'une prochaine OPA lancée par sa maison-mère.
Parmi les fortes baisses, on note Mersen (-7,45% à 19,74 euros), affecté par la crise et un marché du solaire asiatique en repli.
Ingenico a dépassé 40 euros à 40,99 euros (+3,77%) après un bon 3e trimestre. Barclays a également relevé son objectif de cours sur la valeur à 47 euros contre 43 euros auparavant.
Suez Environnement s'est adjugé 3,41% à 8,45 euros le marché saluant les bonnes perspectives du groupe pour 2012.
A la clôture, l'indice CAC 40 a cédé 14,96 points pour s'inscrire à 3.411,53 points, dans un volume d'échanges modeste de 2,361 milliards d'euros.
A Francfort, le Dax a grignoté 0,10% et à Londres, le Footsie a fait du surplace (+0,27 point).
"Les résultats des sociétés sont très hétérogènes des deux côtés de l'Atlantique. Les investisseurs ne savent pas vraiment sur quel pied danser", commente Alexandre Hezez chez Convictions AM.
"Il y a aussi un peu de fébrilité avant la publication des chiffres de la croissance américaine vendredi", ajoute-t-il.
La prudence a une nouvelle fois dominé la cote parisienne, les investisseurs attendant des précisions sur l'évolution de la situation économique mondiale. La proximité des élections présidentielles américaines incite également à rester sur ses gardes.
Les statistiques macroéconomiques ont fait souffler le chaud et le froid, alimentant l'hésitation des investisseurs. Dans un premier temps, la cote a progressé avant de retomber.
Les commandes de biens durables aux Etats-Unis ont fortement rebondi en septembre, les nouvelles inscriptions au chômage ont baissé dans la troisième semaine d'octobre, mais le timide rebond des promesses de vente de logements neuf a déçu les analystes.
France Télécom a vécu une séance mouvementée après l'annonce d'une baisse de son dividende pour 2012 et 2013 et d'un recul de son chiffre d'affaires trimestriel. A la clôture, le titre a finalement cédé 5,16% à 8,83 euros, signant la plus forte baisse du CAC 40. "Le titre est très volatil. Les investisseurs hésitent car la société manque sérieusement de catalyseurs", estime une source de marché.
Peugeot a poursuivi son repli dans un marché qui s'interroge toujours sur l'avenir du groupe et sa capacité de redressement (-3,45% à 5,36 euros).
En repli également STMIcroelectronics (-2,46% à 4,70 euros), pénalisé jeudi par des prises de bénéfices après sa forte progression la veille.
Axa, qui s'était un temps inscrit en tête des hausses, a finalement terminé sur une progression modeste (+1,04% à 12,18 euros). Le groupe a publié un chiffre d'affaires en hausse, soutenu par la croissance de l'activité "dommage" notamment dans les pays émergents.
Sanofi a gagné 1,42% à 67,04 euros après avoir enregistré un bénéfice par action moins mauvais que redouté.
Excellente performance enfin de Gemalto (+3,14% à 69 euros), valeur chouchou de nombreux analystes qui vantent son potentiel de développement dans le secteur des cartes de paiement.
Le titre EuroDisney a pris près de 20% à 5,91 euros, dopé par des rumeurs récurrentes d'une prochaine OPA lancée par sa maison-mère.
Parmi les fortes baisses, on note Mersen (-7,45% à 19,74 euros), affecté par la crise et un marché du solaire asiatique en repli.
Ingenico a dépassé 40 euros à 40,99 euros (+3,77%) après un bon 3e trimestre. Barclays a également relevé son objectif de cours sur la valeur à 47 euros contre 43 euros auparavant.
Suez Environnement s'est adjugé 3,41% à 8,45 euros le marché saluant les bonnes perspectives du groupe pour 2012.
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