Publié le 24.11.2012, 18h56
Plusieurs centaines de personnes ont défilé samedi après-midi à Paris et Marseille à l'occasion de la quatrième édition de la "Marche contre la fourrure", avec pour objectif d'"ouvrir les yeux" des chalands, avant les frimas de l'hiver, sur "ce marché cruel et inutile".
A Paris, 500 manifestants ont formé un cortège entre la tour Montparnasse et la place Saint-Michel, selon une porte-parole du collectif organisateur, Sandra Esteves. Sur les pancartes des manifestants, on pouvait lire notamment: "Non à la fourrure, non à la torture!".
"Le commerce de la fourrure est souffrance. Les élevages sacrifient les besoins les plus élémentaires des animaux dans les élevages, les abattent dans des conditions souvent atroces", dénonce dans un communiqué le collectif.
Selon Mme Esteves, cette marche est l'occasion d'attirer l'attention des consommateurs juste avant la période hivernale contre l'usage pernicieux de fourrures, notamment de lapin, sur les cols des doudounes par exemple.
A Marseille, 300 militants anti-fourrure, selon la police, se sont rassemblés dans le centre-ville, certains le visage caché derrière des masques blancs, fourrures à la main.
Banderoles et affiches proclamaient "La fourrure, c'est la mort", "Sans fourrure, sans cuir, sans laine ni autre crime sur la peau", ou encore "Le saviez-vous? Chaque année, 50 millions d'animaux sont électrocutés, gazés, sacrifiés pour la fourrure. Arrêtons le massacre, ne portez plus de fourrure".
A Paris, 500 manifestants ont formé un cortège entre la tour Montparnasse et la place Saint-Michel, selon une porte-parole du collectif organisateur, Sandra Esteves.
"Le commerce de la fourrure est souffrance. Les élevages sacrifient les besoins les plus élémentaires des animaux dans les élevages, les abattent dans des conditions souvent atroces", dénonce dans un communiqué le collectif.
Selon Mme Esteves, cette marche est l'occasion d'attirer l'attention des consommateurs juste avant la période hivernale contre l'usage pernicieux de fourrures, notamment de lapin, sur les cols des doudounes par exemple.
A Marseille, 300 militants anti-fourrure, selon la police, se sont rassemblés dans le centre-ville, certains le visage caché derrière des masques blancs, fourrures à la main.
Banderoles et affiches proclamaient "La fourrure, c'est la mort", "Sans fourrure, sans cuir, sans laine ni autre crime sur la peau", ou encore "Le saviez-vous? Chaque année, 50 millions d'animaux sont électrocutés, gazés, sacrifiés pour la fourrure. Arrêtons le massacre, ne portez plus de fourrure".
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