jeudi 31 janvier 2013

Foot - CF : Rouen - Marseille : 1-2 - L'Equipe.fr

Malheureux avant la pause, l'OM avec un peu de réussite et un but de Sougou qui n'aurait pas du être accordé, valide son billet pour les huitièmes de finale et retrouvera le PSG au Parc des Princes. La révolte des Rouennais est venue trop tardivement...

Tennis - WTA - Paris : Le programme de jeudi - L'Equipe.fr

Court central
A partir de 11h
Dominika Cibulkova (SLQ/n°4) - Kiki Bertens (HOL/LL)

Pas avant 13h
Carla Suarez Navarro (ESP) - Klara Zakopalova (RTC/n°8)
Alizé Cornet (FRA) - Lucie Safarova (RTC/n°6)
Sara Errani (ITA/n°1) - Magdalena Rybarikova (SLQ/Q)

Pas avant 19h
Kristina Mladenovic (FRA/WC) - Yanina Wickmayer (BEL)

Marseille : Fanni pense toujours à la sélection - Sport365.fr

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Marseille : nouvelle tentative de règlement de compte à la kalachnikov - TF1

Un homme de 26 ans, connu des services de police, a été blessé par balles à l'arme de guerre dans la nuit de mercredi à jeudi, dans les quartiers Nord de Marseille.   Peu après minuit, il aurait été pris en chasse par des individus armés d'au moins une Kalachnikov, alors qu'il se trouvait à bord de sa voiture sur le chemin du Vallon d'Ol (15e arrondissement). 
La victime a été touchée aux jambes à plusieurs reprises alors qu'elle prenait la fuite à pieds, selon la source proche de l'enquête.


Placé sous bonne garde à l'hôpital

Connu notamment pour infraction à la législation sur les stupéfiants, l'homme, dont les jours ne sont pas en danger, a été placé sous bonne garde à l'hôpital de permanence, cependant que l'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire, déjà en charge de plusieurs dossiers de
règlements de comptes. 
Le 14 janvier, un autre homme avait été victime d'une tentative d'homicide dans les quartiers Est de la ville. Le jeune homme, atteint d'une balle dans la nuque, s'en était sorti miraculeusement. Soupçonné d'alimenter le trafic de drogue à la cité de la Sauvagère (10e arrondissement), il est actuellement en garde à vue à la Sûreté départementale, aux côtés de huit autres personnes âgées de 18 à 46 ans.

Coupe de France: Marseille retrouvera le PSG en huitièmes - Le Point

PARIS (Reuters) - L'Olympique de Marseille a gagné le droit d'affronter le Paris Saint-Germain en huitièmes de finale de la Coupe de France à la fin du mois à la faveur d'une victoire controversée mercredi face à Rouen (2-1).

Le deuxième but marseillais inscrit à l'heure de jeu par la nouvelle recrue olympienne Modou Sougou n'aurait en effet pas dû être accordé par l'arbitre de la rencontre, le ballon n'ayant pas complètement franchi la ligne du gardien de but normand.

Cette erreur d'appréciation permet toutefois aux Marseillais de quitter en vainqueur le stade Robert Diochon et de continuer leur aventure en Coupe de France.

Pour une place en quart de finale, ils retrouveront le 26 ou le 27 février prochain le PSG au Parc des Princes, quelques jours à peine après la 26e journée de Ligue 1 qui opposera au même endroit les deux clubs ennemis, le week-end précédent.

A l'issue de la rencontre, le défenseur marseillais Rod Fanni a eu le triomphe modeste et ce, même si l'OM s'est montré supérieur dans le jeu tout au long de la rencontre en trouvant notamment deux fois la barre transversale en première mi-temps et en ouvrant le score sur un beau coup franc de Mathieu Valbuena (42e).

"On a essayé de s'appliquer. Après, cela n'a pas été évident. C'était un adversaire vraiment coriace, très combatif. Je les félicite", a-t-il commencé par dire au micro d'Eurosport, saluant notamment la réduction du score de Rémy Dugimont (67e)alors que les pensionnaires de National étaient menés 2-0.

"Maintenant le Parc des Princes nous attend. C'était une motivation en plus de savoir qu'on affronterait Paris. Maintenant c'est fait", a-t-il ajouté.

Du côté des "Diables rouges", le milieu de terrain Nicolas Burel a dit regretter que les siens aient joué de manière trop timorée et que le match ait basculé sur un fait de jeu contestable.

"Il y a un brin de déception par rapport à la première mi-temps car on ne s'est pas lâché. On n'a pas développé notre jeu. On a mieux joué en seconde période mais on prend ce deuxième but... Il faudrait revoir les images car nous, on pense que la balle n'est pas rentrée", a-t-il déclaré au coup de sifflet final.

Tombeurs d'Ajaccio au tour précédent, les Rouennais n'ont cette fois-ci pas trouvé les ressources nécessaires pour écarter un autre club de Ligue 1 beaucoup plus solide que les Corses, selon Nicolas Burel.

"Il y avait beaucoup plus de rythme que contre Ajaccio. Ils sont en haut du classement et on a vraiment vu la différence", a-t-il reconnu.

Olivier Guillemain, édité par Henri-Pierre André

Deux "connaissances" de Merah arrêtées - Le Monde

Mohamed Merah.

Deux hommes d'environ 30 ans ont t arrts mardi 29 janvier Toulouse dans l'enqute sur les complicits dont aurait pu bnficier Mohamed Merah pour commettre ses assassinats en mars 2012, a-t-on appris de source judiciaire.

Les deux hommes, deux "connaissances" de Mohamed Merah, gs de 28 et 30 ans, sont en garde vue, prcise-t-on de mme source. Ils ont t interpells mardi l'aube dans le quartier du Mirail, o les frres Merah, Mohamed et Abdelkader, mis en examen pour complicit dans les tueries, entretenaient de solides relations.

POUR VALLS, MERAH N'A PAS AGI EN "LOUP SOLITAIRE"

Ces interpellations ont eu lieu la veille de la rception des familles des victimes du "tueur au scooter" par le ministre de l'intrieur, Manuel Valls. Elles demandent la dclassification de documents de la Direction centrale du renseignement intrieur (DCRI), estimant que Mohamed Merah n'a pas agi en solitaire.

Une opinion partage par Manuel Valls. "L'action de Mohamed Merah a t le rsultat d'une prparation minutieuse, d'un vritable processus d'apprentissage fait de contacts nombreux", a expliqu le ministre devant les participants d'une confrence internationale sur la lutte contre l'extrmisme violent Bruxelles. "Je fais la diffrence. Le loup solitaire, en l'occurrence, c'est Breivik [qui a tu soixante-dix-sept personnes en Norvge en 2011], qui semble avoir agi, s'est form travers Internet tout seul. Ce n'est pas le cas de Merah", a-t-il soulign.

QUELS LIENS ENTRE MERAH ET LA DCRI?

Les familles cherchent notamment savoir si Mohamed Merah a benfici de complicits et quels taient ses liens avec la DCRI, qui l'avait interrog en novembre 2011 alors qu'il rentrait du Pakistan. Etait-il un indicateur ou en voie de le devenir, se demandent-elles. L'ex-ministre de l'intrieur Claude Guant l'avait exclu, et Manuel Valls avait expliqu son arrive la Place Beauvau qu'il n'y "croyait pas". Interrog par le juge d'instruction en octobre 2012, le directeur de l'antenne toulousaine de la DCRI, a toutefois rpondu que cette valuation "n'avait pas t effectue", selon un procs verbal consult par l'AFP.

Autre interrogation des familles : comment la DCRI a-t-elle surveill Merah dans les semaines prcdant ses tueries ? Devant le juge, Bernard Squarcini a affirm que son service avait maintenu "une veille oprationnelle sur l'intress" et poursuivi des "surveillances plus ponctuelles". Une thse mise mal par l'enqute, assurent plusieurs sources proches du dossier qui citent une rcente lettre de Manuel Valls au juge affirmant que la surveillance avait cess aprs le 14 novembre.

Lire (dition abonns) : Mohamed Merah, l'homme aux cent visages

Mali: Paris appelle au dialogue, les soldats français en position à Kidal - Le Point

La France a appelé mercredi Bamako au dialogue avec les populations du Nord du Mali, au moment où ses soldats prenaient position à Kidal, dernière grande ville de la région sous le contrôle de groupes armés.

Le Burkina Faso, médiateur dans la crise malienne au nom de l'Afrique de l'Ouest, a réaffirmé mercredi sa "disponibilité" pour un dialogue politique au Mali, assurant que "l'usage légitime de la force n'exclut pas la recherche d'une solution politique négociée".

De son côté, le président malien par intérim Dioncounda Traoré a prévenu jeudi sur RFI que le seul interlocuteur touareg pour Bamako dans les négociations politiques à venir serait les rebelles laïcs du MNLA, les islamistes d'Ansar Dine s'étant "disqualifiés".

"Il est évident qu'Ansar Dine s'est disqualifié, il n'est plus éligible au dialogue quel que soit par ailleurs le masque que certain d'entre eux ont décidé de porter désormais", juge M. Traoré dans une allusion à la création d'un groupe dissident, le MIA (Mouvement islamique de l'Azawad).

Sur le plan diplomatique, des diplomates et des responsables de l'Onu ont affirmé mercredi que les Nations unies pourraient accélérer la mise en place d'une force de maintien de la paix au Mali au moment où les troupes françaises et maliennes prennent le dessus sur les groupes armés islamistes.

Le Conseil de sécurité devrait se saisir de la question dans quelques jours.

Sur le terrain, des soldats français ont pris dans la nuit le contrôle de l'aéroport de Kidal, à 1.500 km de Bamako, après la reconquête, au côté de l'armée malienne et sans grande résistance, des deux plus grandes villes du Nord du Mali, et Tombouctou, qui étaient aux mains de groupes islamistes armés.

La situation est cependant différente à Kidal: la ville n'est pas aux mains de jihadistes liés à al-Qaïda, mais des islamistes dissidents du Mouvement islamique de l'Azawad (MIA) et des autonomistes touareg du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA).

"Bonne intelligence avec les Touareg"

"Nous sommes dans une situation particulière à Kidal et nous faisons en sorte d'avoir des relations de bonne intelligence avec les Touareg", a souligné à Paris le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian.

Alors que jusqu'à présent, des soldats maliens accompagnaient systématiquement les militaires français dans leur offensive contre les groupes islamistes, les Français sont seuls à l'aéroport de Kidal, où ils sont pour l'instant bloqués par une "tempête de sable", selon Paris.

Une première concession aux groupes qui contrôlent Kidal: le MIA a ainsi lancé mercredi un appel à ce que "l'armée malienne et les forces de la Cédéao (Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest) ne pénètrent pas sur le territoire de l'Adrar des Ifoghas, région de Kidal, avant qu'une solution politique ne soit trouvée".

"Le MIA comme le MNLA ont donné les preuves de leurs engagements à coopérer avec la France, puisque les forces françaises sont entrées à Kidal sans qu'aucun coup de feu ne soit tiré, c'est la preuve que Kidal n'est pas un sanctuaire pour terroristes", selon le MIA, un groupe issu d'une scission ces derniers jours avec Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), groupe islamiste allié à al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

Selon une source de sécurité malienne, les principaux responsables des groupes islamistes, dont Ag Ghaly et l'Algérien Abou Zeïd, un des émirs d'Aqmi, se sont réfugiés dans les montagnes au nord de Kidal, près de la frontière algérienne.

Kidal et sa région, le massif des Ifoghas, sont le berceau des autonomistes touareg, en rébellion contre le régime de Bamako. Et le MIA, comme le MNLA, craignent des exactions des soldats maliens contre les communautés arabe et touareg.

Les tensions sont très fortes dans le Nord entre les minorités arabes et touareg, dont les membres sont très largement majoritaires dans les groupes islamistes armés, et les Noirs, majoritaires au Mali.

"Réconciliation nationale"

La France a d'ailleurs appelé mercredi Bamako à "engager sans plus attendre des discussions avec les représentants légitimes des populations du Nord (élus locaux, société civile) et les groupes armés non terroristes reconnaissant l'intégrité du Mali".

Les Affaires étrangères ont aussi salué l'adoption par le Parlement malien mardi d'une "feuille de route" politique pour l'après-guerre. Ce document prévoit notamment une discussion avec certains groupes armés dans le cadre de la "réconciliation nationale".

Mais sur le terrain, la crainte d'exactions continue à se faire ressentir. A Tombouctou, au lendemain de l'entrée des soldats français et maliens, des centaines de personnes ont attaqué mardi des dizaines de magasins tenus, selon elles, par "des Arabes" accusés d'avoir soutenu les islamistes armés.

Washington a d'ailleurs apporté son soutien aux "appels lancés par les Maliens et les Français exhortant les citoyens maliens à ne pas exercer de représailles contre les Touaregs ou d'autres minorités ethniques", selon la porte-parole du département d'Etat Victoria Nuland.

Quelque 3.500 soldats français sont actuellement déployés au Mali, un chiffre qui devrait monter à environ 4.400 dans les prochains jours, selon Paris.

Le ministre allemand de la Défense, Thomas de Maizière, a indiqué que l'Allemagne était prête à aider au ravitaillement des avions français engagés au Mali. Les députés allemands devront d'abord se prononcer sur la question, probablement en mars, selon lui.

Le chef de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma), le général nigérian Shehu Abdulkadir, a pour sa part plaidé mercredi pour la mise en place d'un pont aérien pour accélérer le déploiement des troupes africaines. Un tel pont permettrait de boucler le déploiement en deux semaines selon lui.

Au total, près de 8.000 soldats africains sont attendus au Mali pour épauler les forces maliennes et prendre le relais de l'armée française, mais ils n'arrivent qu'au compte-gouttes, leur déploiement étant ralenti par des problèmes de financement et de logistique.

NKM prépare activement son atterrissage à Paris - Le Monde

Les UMP Nathalie Kosciusko-Morizet et Franois Fillon, en fvrier 2012  Matignon.

A elle Paris ! Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM) prpare ardemment et hardiment son atterrissage dans la capitale pour les municipales de 2014. Son quipe pour la campagne des primaires ouvertes que Jean-Franois Cop a prvu d'organiser au printemps – auxquelles elle entend se prsenter – est en passe d'tre constitue. Un petit groupe de rflexion planche sur son programme.

Elle a vu, djeun ou eu au tlphone quasiment tous les maires et dputs d'arrondissement de droite de Paris. Reste pour qu'elle puisse annoncer ses ambitions que Franois Fillon dise quelles sont ses intentions.

Elle le presse. Elle et l'ancien premier ministre se sont parl ces dernires semaines. Et devraient se revoir ce mercredi. L'entourage de NKM est convaincu que M. Fillon ne sera pas candidat au fauteuil de Bertrand Delano. Mais elle souhaiterait l'entendre dire ouvertement.

Pour le premier ministre, la candidature de NKM ne peut pas s'accompagner d'un simple retrait de sa part. Ces derniers jours, M.Fillon a rencontr Philippe Goujon, le prsident de la fdration UMP de la capitale, et d'autres lus UMP de Paris. Il devrait galement s'entretenir avec Jean-louis Borloo, le patron de l'Union des dmocrates et indpendants (UDI). "Il prendra part directement ou indirectement la bataille de Paris", assure un cadre filloniste parisien.

"ELLE LUI SERA REDEVABLE"

Pour NKM, le dfi consiste obtenir le soutien de M.Fillon tout un incarnant une candidature qui suscite une adhsion au-del de la droite. "Elle lui sera redevable",admet un proche de la dpute de l'Essonne. Mais "de l faire allgeance Fillon, ce n'est pas simple !", rsume ce mme membre de son entourage.

L'ide qu'elle se prsente Paris a fait son chemin depuis cet automne. "On l'a sollicite", assure son entourage. Certains fillonistes voyant leur hros s'orienter vers la prise du parti plutt que vers une candidature Paris sont venu lui faire leur demande. Bernard Debr, dput (UMP) du 16e et 17e arrondissement a t parmi les premiers. Sont venus galement le maire du 16e, Claude Goasguen, et des proches de M. Goujon .

Aprs le psychodrame Fillon-Cop pour la conqute de l'UMP, la fin de l'anne 2012, l'ancienne porte-parole de M. Sarkozy la prsidentielle n'a plus cach son intrt pour la capitale. Bien qu'ayant milit pour et obtenu un nouveau vote des militants l'automne pour la prsidence de son parti, la dpute de l'Essonne est convaincu que la prise du principal parti d'opposition n'est plus le meilleur chemin pour se tracer un destin de prsidentiable.

Paris est "une terre o peut s'illustrer l'esprit de reconqute, explique un cadre UMP proche de NKM. Y a-t-il un territoire o la droite est plus absente et impuissante qu' Paris ? Y a-t-il meilleur lieu pour l'expression du talent, de l'nergie ? Ce qui n'exclut pas d'avoir des convictions", poursuit ce soutien.

NKM pense qu'"il n'y a pas de fatalit" et qu'elle peut battre Anne Hidalgo, la candidate du PS pourtant donne largement favorite.

Lire aussi : Anne Hidalgo prend une longueur d'avance pour les municipales parisiennes

Elle pense pouvoir incarner l'image "d'une combattante qui prend des risques l o personne dans son propre camp n'ose se lancer", explique un proche.

NE PAS DONNER L'IMPRESSION D'TRE EN TERRAIN CONQUIS

Nicolas Sarkozy a encourag sa candidature. M. Cop voit d'un bon il qu'elle se concentre sur Paris plutt que de prsenter la prsidence de l'UMP. Elle peut compter sur le soutien actif de Pierre Lellouche, dput de Paris et ancien secrtaire d'Etat dans le gouvernement de M. Fillon

L'arrive de NKM Paris implique nanmoins de la diplomatie pour ne pas donner l'impression d'tre en terrain conquis aux yeux des lus UMP locaux. "Il ne faudrait pas qu'elle apparaisse comme Mose devant qui la mer rouge doit s'ouvrir", prvient un cadre de la fdration. Jusqu'ici, elle a su se faire accepter : "Elle est intelligente !", s'extasie Jean-Pierre Lecoq, maire du 6e arrondissement. "Elle a plein d'ides pour Paris", s'enthousiasme un cadre de la fdration de la capitale.

Les primaires ouvertes sont une cl de cette stratgie. Rachida Dati, maire (UMP) du 7e arrondissement, et Pierre-Yves Bournazel, conseiller (UMP) de Paris du 18e arrondissement, ont dj indiqu qu'ils y participeraient.

Lire aussi : Mairie de Paris : Rachida Dati se positionne pour une primaire l'UMP

NKM entend s'appuyer sur les rseaux sociaux et sur Internet pour largir ses soutiens bien au-del des adhrents de l'UMP. Elle aimerait convaincre M. Borloo d'impliquer l'UDI dans cette comptition pour que la participation soit la plus large possible.

Elle souhaite que ces primaires se tiennent au printemps et qu'elles soient brves. Pour viter un pugilat comme celui qui a oppos MM. Fillon et Cop. Bien dcide jouer ce qui reste un "coup de poker" Paris, selon l'expresion de M. Debr, NKM doit pour cela attendre que M. Fillon abatte son jeu. Elle espre l'en convaincre lors de leur prochain en tte tte.

Mercato: Briand, Rivière, Monaco fait son marché en Ligue 1 - Eurosport.com FR

C'EST SIGNE OU PRESQUE

BRIAND SERAIT A MONACO. Selon le site de L'Equipe, Jimmy Briand (OL, 27 ans) était à Monaco pour y passer la visite médicale préalable à son prêt de six mois avec une option d'achat automatique en cas de montée en Ligue 1 du club de la Principauté. S'il venait à s'en aller, l'ancien Rennais serait le troisième joueur prêté par Lyon depuis le début du Mercato d'hiver après Fabian Monzon (Fluminense) et Michel Bastos (Schalke 04).

TOULOUSE OFFICIALISE HERMACH: Le milieu défensif marocain Adil Hermach (26 ans) vient d'être prêté au TFC jusqu'à la fin de la saison par le club saoudien d'Al Hilal Riyad. Il avait déjà évolué en Ligue 1, à Lens.

AJACCIO : ORSONI CONFIRME LE DEPART DE MEDJANI A MONACO. Alain Orsoni a confirmé le départ de Carl Medjani à l'AS Monaco. "Carl a reçu une proposition de la part de l'AS Monaco. Le joueur a donné le meilleur de lui-même durant les six années où il a évolué sous nos couleurs. C'était difficile de le bloquer après tout ce qu'il a fait pour le club. Carl Medjani est donc à partir d'aujourd'hui un nouveau joueur de l'AS Monaco. Nous lui souhaitons une bonne chance pour la suite", a déclaré le président d'Ajaccio.

BEAUVUE À BASTIA. Après plusieurs semaines de négociation, Claudio Beauvue rejoint le Sporting Club de Bastia. Le Castelroussin, également suivi par l'OM cet hiver, a été prêté à Bastia jusqu'à la fin de la saison avec option d'achat. "Claudio Beauvue est prêté par Châteauroux jusqu'au 30 juin avec option d'achat. Il sera présent demain à Bastia et accompagnera le groupe à Porto-Vecchio après la traditionnelle visite médicale", annonce le club corse sur son site officiel.

ZUBAR REJOINT AJACCIO. L'AC Ajaccio annonce sur son site internet l'arrivée de Ronald Zubar, sans préciser la durée du contrat. Le défenseur de 27 ans, formé à Caen et passé par Marseille, évoluait depuis trois ans et demi à Wolverhampton. Il est attendu en Corse dans la soirée.

EL HANY QUITTE AJACCIO. L'AC Ajaccio a annoncé le départ de Jarim El Hany. Le joueur de 25 ans a trouvé un accord avec le FC Brussels, club de D2 belge. Il évoluait à l'ACA depuis 2010.

MONACO PRÊTE BARAZITE. L'AS Monaco a publié un communiqué sur son site internet pour annoncer le prêt de Nacer Barazite à l'Austria Vienne, avec option d'achat. L'attaquant néerlandais, âgé de 22 ans, n'a disputé que quatre matches avec l'ASM cette saison.

ITANDJE AU PAOK : Charles Itandje s'est engagé avec le PAOK Salonique jusqu'en 2015. L'ancien gardien du RC Lens évoluait dans les rangs du club d'Atromitos. Le Français est arrivé dans le championnat grec en 2009.

C'EST DANS L'AIR

LA FIORENTINA CONFIRME DES NEGOCIATIONS POUR MOMO SISSOKO. La Fiorentina a confirmé sur son site officiel des négociations avec le PSG pour le prêt de Momo Sissoko, avec option d'achat. La Viola précise qu'un rendez-vous est prévu demain pour finaliser l'accord.

LE PSG DISCUTE POUR DE ROSSI. Selon La Gazzetta dello Sport, Leonardo a entamé des discussions avec l'AS Roma pour Daniel De Rossi. Plusieurs médias avaient évoqué un éventuel échange avec Marco Verratti, que le club de la capitale souhaite conserver.

ISIMAT-MIRIN VERS FULHAM ? Selon lequipe.fr, Fulham a relancé Valenciennes pour tenter d'obtenir la signature de Nicolas Isimat-Mirin, sous contrat jusqu'en juin 2015 avec le club nordiste. VA espère à la fois conserver son joueur jusqu'à la fin de la saison sous forme de prêt et souhaite une indemnité de transferts d'au moins 2,5 millions d'euros, hors bonus.

LE ZENIT SUR OBRANIAK ? Selon le journal russe Izvestia, le Zénit Saint-Pétersbourg souhaiterait recruter Ludovic Obraniak. Le club russe serait prêt à offrir entre 8 et 10M€ aux Girondins de Bordeaux, qui avaient acheté Obraniak seulement 1 M€ l'an passé. Pas sûr néanmoins que Francis Gillot soit d'accord, alors qu'il réclame des renforts.

OL: GOURCUFF ATTEND JUIN. Sollicité par l'Atlético Madrid dans le cadre d'un prêt, Yoann Gourcuff ne devrait pas donner suite cet hiver. Selon Me Didier Poulmaire, représentant du milieu de l'OL, "les parties ont prévu de reprendre les discussions en fin de saison en vue cette fois d'un transfert". "Gourcuff s'inscrit dans le projet lyonnais", précise-t-il à L'Equipe. Liverpool serait également sur le coup.

SIDY KONE VERS CAEN. En manque de temps de jeu à Lyon, Sidy Koné devrait être prêté dans les prochaines heures en Ligue 2. Le Stade Malherbe de Caen s'apprêterait à se renforcer avec l'arrivée de ce milieu défensif. Apparu à deux reprises en L1, la saison dernière, l'international malien n'a jamais été aligné par Remi Garde depuis le début du Championnat. Elément prometteur de la jeune garde de l'OL, le prêt joueur du 20 ans ne serait pas assorti d'une option d'achat.

MAÏGA N'IRA PAS A BORDEAUX. Jean-Louis Triaud, le président de Bordeaux, a annoncé que Modibo Maïga ne rejoindra pas les Girondins cet hiver, en marge de la présentation de ses vœux à la presse. Il a expliqué que West Ham a refusé de prendre en charge une partie du salaire dans le cadre d'un prêt.

REIMS RETIENT GHILAS. Sollicité par l'Omonia Nicosie qui lui a proposé un contrat, Kamel Ghilas ne quittera pas Reims lors de ce mercato hivernal. Malgré son inefficacité, l'international algérien n'a pas inscrit un seul but en seize matches joué, le club champenois souhaite conserver l'attaquant dans son effectif.

VALENCIENNES VEUT BOURILLON : A la recherche de renfort en charnière centrale depuis le départ du Brésilien Gil, Valenciennes vient de formuler une offre pour Grégory Bourillon (Lorient).
EN SAVOIR PLUS

C'EST DIT

CASANOVA : " CAPOUE NE PART PAS ". Parfois annoncé en Angleterre ou au PSG, Etienne Capoue va rester à Toulouse selon Alain Casanova. "Il ne part pas. D'ailleurs, après le départ de Moussa Sissoko, l'effectif ne devrait pas en connaître d'autres. On attend un renfort. Voire deux. On aimerait un défenseur et un milieu", a déclaré l'entraîneur toulousain en conférence de presse.

RIVIERE : " DES CONTACTS AVEC MONACO ". Olivier Sadran nous a confirmé l'existence de contacts avec Monaco pour Emmanuel Rivière. "Il y a des contacts, mais pas plus que ça. Rien n'est fait", a déclaré le président de Toulouse, qui n'a en revanche pas souhaité s'exprimer sur les éventuelles arrivées d'Adrien Rabio et Adi Hermach.

PSG : " RIEN POUR DE ROSSI ". Interrogé par RMC, Walter Sabatini a affirmé qu'il n'y avait aucun contact entre le PSG et la Roma pour Daniele de Rossi. "Il n'y a absolument rien entre le PSG et la Roma pour De Rossi. Il n'y aucune réunion prévue pour lui avec les dirigeants de Paris. De plus, il n'y a rien de prévu non plus pour Verratti", a déclaré le directeur sportif de la Roma. Le PSG chercherait cependant à recruter un milieu de terrain pour compenser les départs de Sissoko et Rabiot.

LUCESCU : " AUCUN CONTACT ENTRE L'OM ET RAT ". Mardi, BeIn Sport annoncait que l'OM et le Shaktar Donetsk étaient tombés d'accord pour le transfert du latéral gauche, Razvan Rat.  Joint par RMC, l'entraineur du club ukrainien, Mircea Lucescu a, démenti cette information : « Il n'y a aucun contact entre Rat et l'OM. Le joueur a un contrat et il finira la saison avec nous. »  L'international roumain arrive en fin de contrat en juin prochain.

ASSE : ROMEYER CLÔT LE MERCARTO. A en croire Roland Romeyer, interrogé par Le Progrès, il ne devrait plus y avoir de mouvement : "Il n'y a rien qui bouge. Il ne devrait pas y avoir de départs. Les portes sont fermées. Je ne vais pas m'amuser à vendre quelqu'un la veille de la clôture du mercato. S'il y a du mouvement il faut que ça se fasse mercredi. Il y a toutefois de grandes chances pour que personne ne signe."

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mercredi 30 janvier 2013

Grève dans les écoles maternelles de Toulouse ce mercredi - France 3

Comme la semaine dernière, le syndicat sud appelle les ATSEM et les agents d'entretien à la grève pour réclamer des effectifs supplémentaires. La semaine dernière, 14 écoles sur 85 avaient été perturbées.

Morsi annule sa visite à Paris - Le Parisien

Mohamed Morsi ne viendra pas en France. Hier soir, le président égyptien, attendu à Paris demain soir pour une visite d'à peine une journée, a décidé d'annuler son déplacement. Morsi devait notamment être accueilli sur le sol français par Yamina...

Europe, économie : les paris risqués de David Cameron - Les Échos

Orateur de grande qualité doté d'une autorité d'homme d'Etat naturelle, le Premier ministre britannique, David Cameron, a récemment remporté de belles victoires tactiques. En opposant les « bosseurs » (« strivers », en anglais) à ceux qui vivent d'allocations (les « skivers ») pour justifier une nouvelle couche d'austérité, il a mis les travaillistes du mauvais côté du débat sur la rigueur : la population britannique est en effet devenue moins généreuse avec la crise. Surtout, en s'engageant, comme il vient de le faire, à proposer un référendum sur l'Europe d'ici à 2017, il est revenu en véritable héros devant ses députés à Westminster et s'est même offert un rebond dans les sondages.

Rabiot en route vers Toulouse - Le Parisien

Sept mois après avoir signé son premier contrat pro avec le PSG, Adrien Rabiot, 17 ans, doit être prêté à Toulouse jusqu'à la fin de la saison. L'accord sera officialisé en fin de journée ou demain. Il s'agit d'un prêt sans option d'achat. Il souhaitait changer d'air pour poursuivre sa progression. Barré au poste de milieu gauche par une très forte concurrence, il n'a plus fait d'apparition avec le PSG depuis le 24 novembre dernier (4-0 face à Troyes). Auteur d'un début de saison très encourageant, il avait été titularisé en amical face au puis contre Bordeaux fin août. Il n'a ensuite participé qu'à sept matchs. Avant Noël, Adrien Rabiot avait alors demandé à être placé sur la liste des transferts. Le week-end dernier, le TFC et son entraîneur, Alain Casanova, se sont manifestés et ont convaincu l'international U19. Ironie du calendrier, les Toulousains, 10es de L1, reçoivent le PSG au Stadium vendredi.

 

Bac nord de Marseille : 17 policiers réintégrés - TF1

Tous les policiers de la de la brigade anti-criminalité (Bac) de Marseille mis en cause dans une affaire de racket ont été réintégrés et ont pu reprendre leur service, rapporte mardi Mediapart. Tous, excepté un : le policier qui avait tenté de prévenir sa hiérarchie et a témoigné pour dénoncer les pratiques de ses collègues, selon le site en ligne.

"Les 17 policiers de la BAC Nord mis en examen (...) ont tous été autorisés à reprendre leur travail", indique Mediapart. "Même les sept policiers placés en détention provisoire pendant plus de deux mois pourront donc prochainement exercer sur la voie publique." Ces policiers ne pourront cependant plus exercer dans la Bac ou dans une unité en civil. Le policier qui n'a pas pu réintégrer la police confie son sentiment d'amertume, à Mediapart. Le ministère de l'Intérieur l'a révoqué en août 2012 pour "insubordination. "Eux qui n'ont rien dénoncé ont eu gain de cause, et nous, nous restons punis, au placard", dénonce-t-il.

Marseille a été secoué par ce scandale à la Bac Nord. Dans cette affaire, des policiers sont soupçonnés d'avoir volé et extorqué de l'argent et de la drogue à des dealers. L'instruction est menée depuis le 22 février pour des faits de vols et d'extorsion commis en bande organisée, passibles de 20 ans de réclusion, et d'infractions à la législation sur les stupéfiants. Elle s'est accélérée le 2 octobre avec l'interpellation de 13 policiers, douze ont été mis en examen, dont sept écroués et cinq placés sous contrôle judiciaire.

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Paris : une nonagénaire assignée parce qu'elle hébergeait des ... - Le Parisien

Une femme de 93 ans a été assignée hier par son propriétaire devant le tribunal d'instance parce qu'elle hébergeait chez elle trois étudiantes. « Le bailleur souhaitait tout simplement la chasser afin de relouer son bien à des prix plus conformes au », avance Laure Duchâtel, son avocate.

C'est la concierge de l'immeuble qui a dénoncé la vieille dame. Selon la défense, les jeunes femmes qu'elle accueillait auraient emménagé dans ce grand appartement de près de 150 m2, situé à deux pas de la porte Maillot (XVIe), afin d'éviter à son occupante de partir en maison de retraite.

Peine perdue puisqu'elle « a fini par lâcher prise à cause de la procédure » et vit depuis le mois de juillet dans « un hospice » des Hauts-de-Seine. Le propriétaire, qui n'a toujours pas récupéré les clés, réclame la résiliation du bail mais aussi près de 18000 € d'impayés. « Cette personne sous-louait son , ce qui est interdit par le contrat de location », plaide Laurent Hay, le conseil de Madeleine Opéra, filiale du groupe d'assurances et propriétaire de l'immeuble où vivait la retraitée. Pour appuyer ses dires, l'avocat se base sur les déclarations faites par la locataire à l'huissier mandaté par le bailleur. La nonagénaire, qui s'acquittait d'un loyer d'environ 2500 € par mois, a expliqué recevoir de deux des trois étudiantes 470 et 500 € par mois. Quant à la troisième, elle ne lui demandait rien « car elle est la fille de gens que je connais », a-t-elle déclaré.

Les jeunes filles assuraient une présence

Selon Me Duchâtel, il ne s'agit pas de sous-location mais simplement d'« une participation aux charges » versée par des jeunes filles censées assurer « une présence au domicile » de cette femme atteinte d'un cancer. La défense a notamment produit une attestation de la Chambre aux étoiles, association qui met en relation des étudiants peinant à se loger et des familles d'accueil. Pour Me Duchâtel, la demande de résiliation du bail est « disproportionnée ». « C'est de l'acharnement », considère-t-elle. Le jugement a été mis en délibéré au 12 mars.

Marseille : le patron de Fauchon mis en examen dans un volet de l ... - Le Parisien

Le patron des épiceries de luxe Fauchon, Michel Ducros, a été mis en examen récemment à Marseille (Bouches-du-Rhône) pour «trafic d'influence» dans un volet de l'affaire Guérini, a-t-on appris mardi de source proche du dossier, confirmant une information du quotidien La Provence.

Selon le quotidien, l'héritier des épices Ducros est soupçonné d'avoir versé un pot-de-vin de 500. 000 euros en 2010 dans le cadre d'un projet de logements et de maison de retraite sur la commune de La Ciotat (Bouches-du-Rhône). Contacté par l'AFP, l' de M. Ducros, Me Olivier Metzner, n'a fait aucun commentaire, de même que le parquet de Marseille, qui avait fait état de cette mise en examen en décembre sans dévoiler l'identité du suspect.

Le bénéficiaire du pot-de-vin serait un gérant de sociétés déjà mis en examen dans cette vaste affaire de marchés publics frauduleux, de corruption et de blanchiment d'argent, Patrick Boudemaghe. Il est considéré par les gendarmes de la section de recherches de Marseille comme un intermédiaire régulier entre élus, , chefs d'entreprises et malfrats de la région marseillaise.

Ce proche d'Alexandre Guérini, frère du PS du conseil général des Bouches-du-Rhône Jean-Noël Guérini, mais aussi de Bernard Barresi, figure présumée du banditisme marseillais, se serait fait remettre l'argent en liquide en Suisse, où réside M. Ducros. En échange, il serait intervenu dans le projet immobilier de La Ciotat, auquel des membres du milieu s'intéressaient après que d'autres candidats eurent échoué à obtenir les autorisations nécessaires à la construction d'une maison de retraite.

Bernard Barresi, qui avait été arrêté en juin 2010 sur la Côte-d'Azur après 18 ans de cavale, a également été mis en examen en décembre avec une autre figure présumée du banditisme local, Michel Campanella, dans ce dossier instruit par le juge Charles Duchaine depuis fin 2009 et dans lequel une vingtaine de personnes sont déjà mises en cause.

Le magistrat souhaite désormais entendre les deux frères Alexandre et Jean-Noël Guérini, après avoir obtenu une nouvelle levée de l'immunité parlementaire du sénateur aux fins de le placer en garde à vue chez les gendarmes. L'élu, qui a récemment souffert de problèmes de santé, doit reprendre ses activités publiques mercredi avec la présentation de ses vœux à la presse.

Jean-Noël Guérini a déjà été mis en examen en septembre 2011 dans un autre volet de l'affaire qui porte son nom, son frère l'ayant été en novembre 2010. Patrick Boudemaghe est le seul, jusqu'à présent, à être mis en examen dans les deux dossiers.

Mairie de Paris : Borloo décline l'offre - Libération

Jean-Louis Borloo ne sera vraisemblablement pas candidat à la mairie de Paris. Invité lundi soir à la cérémonie des vœux de la fédération parisienne de l'Union des démocrates et indépendants (UDI) dans les salons de l'hôtel de Ville, le patron de la nouvelle formation de centre droit s'est retranché derrière un emploi du temps chargé pour décliner les avances des responsables parisiens de son parti et de ceux de l'UMP.

«Alors évidemment, moi je dois défendre l'ensemble des candidatures, à Strasbourg, Lille, Angoulême, Lyon, Caen... et je dois préparer les européennes», a déclaré l'ancien ministre de l'Ecologie de Nicolas Sarkozy. «Disons qu'il s'agit d'une décélération», tempèrent ses collaborateurs, histoire de ménager une porte de sortie à leur patron, s'il venait à changer d'avis. Depuis le lancement de l'UDI, Jean-Louis Borloo a toujours affirmé vouloir se consacrer pleinement à la mise sur orbitre de son parti. «Je suis incapable de faire deux choses à la fois», se plaît à répéter le président de l'UDI.

«Il faut tirer les leçons du passé»

A l'occasion de ces vœux, les responsables parisiens de l'UDI, le sénateur Yves Pozzo di Borgo, chef de file du groupe UDI au conseil de Paris, Patrick Gassenbach, le patron de la fédération parisienne et Laurent Lafon, le maire de Vincennes et président du groupe UDI à la région, espéraient un peu forcer la main de Borloo. Le président de l'UDI a choisi de remettre d'emblée les pendules à l'heure. «Pour changer les choses, il faut tirer les leçons du passé. S'il n'y a pas un changement de méthode, la reconquête sera difficile. La désignation par sondages interposés, c'est la garantie de l'échec», a prévenu le leader centriste, en présence de l'ancienne ministre sarkozyste Chantal Jouanno, une des possibles têtes d'affiche sur Paris avec Rama Yade.

Jean-Louis Borloo ne veut pas «d'un casting avec telle ou telle personne qui embarquerait les uns et les autres à sa suite. Cette méthode, nous l'avons essayée deux fois et nous avons essuyé deux défaites». Il propose donc à l'UMP une nouvelle méthode de travail pour mettre sur pied la meilleure équipe possible en vue de ce scrutin. «Ou bien les valeurs centristes que nous représentons sont indipensables à Paris, ou bien nous sommes un simple condiment local. Et si nos partenaires pensent qu'ils peuvent faire sans nous, cela n'a aucun sens», a poursuivi le député de Valenciennes. Jean-Louis Borloo réclame des «états-généraux de la reconquête» menés avec l'UMP. «Aujourd'hui, je tends la main à l'UMP pour qu'il y ait une véritable concertation, loyale, publique, transparente et réelle, qu'on bâtisse ensemble l'équipe», a-t-il ajouté en se disant prêt à s'impliquer personnellement dans cette négociation.

Jean-Louis Borloo sait qu'il faudra, à un moment, désigner un chef de file. Il souhaite que cela se fasse en concertation avec l'UMP «sans chausse-trapes». Mais sans attendre que l'UMP désigne le sien, l'UDI devrait désigner son champion début mars. Et à moins d'un ultime revirement, Jean-Louis Borloo ne devrait pas venir s'installer sur les bords de Seine.

Toulouse planche sur un aérotram - Le Point

Alors que les travaux de la nouvelle ligne de tramway baptisée le tram Garonne sont en cours - l'achèvement est prévu fin 2013 -, Toulouse planche sur un nouveau type de transports en commun : un "aérotram". Le maire de la Ville rose est en train de concrétiser une vieille idée de téléphérique lancée par Philippe Douste-Blazy lorsqu'il était au Capitole. Mais cette fois le projet passe à la phase finale... Le socialiste Pierre Cohen y songe depuis longtemps. En 2009, comme Le Point le révélait, le Grand Toulouse avait même consulté le leader du secteur, Pomagalski, sur un tel téléphérique urbain que la société avait déjà installé à Medellín, Rio et Taïwan.

On parlait à l'époque de "métro-câble". Aujourd'hui, le vocable employé, plus futuriste, est celui d'"aérotram". Quatre équipes d'architectes planchent sur le sujet, et le concept devrait être choisi avant l'été. L'investissement prévu est de 40 millions d'euros - dont 15 millions d'euros pris en charge par l'État. "C'est un bon rapport qualité-prix", souligne l'édile de Toulouse. Qui bannit l'image du téléphérique : "Les rames seront très design et ressembleront plus à celles d'un tramway ou même à un avion."

Il ne s'agit pas d'une fantaisie urbanistique. L'objectif poursuivi est très précis : relier l'université Paul Sabatier, le CHU et l'oncopole, en cours de construction sur l'ancien site AZF. Ce qui permettra donc à des étudiants, des médecins et des chercheurs de se rencontrer. On est là au coeur de la philosophie de cet oncopole, qui vise à "créer une synergie médicale, scientifique et économique" pour la lutte contre le cancer, comme le rappelait Pierre Cohen en présentent à la presse, le 29 janvier, ce pôle d'excellence.

Projet emblématique

Un chantier unique en France, qui est en train de prendre place sur 220 hectares dans l'agglomération toulousaine. Lancé en 2004 - à l'initiative de Philippe Douste-Blazy, maire de Toulouse à l'époque, dans le cadre du plan cancer sous la présidence Chirac -, ce projet novateur mobilise près d'un milliard d'euros d'investissements - 481 millions financés par le privé, et 415 millions d'euros par le public (dont 19 millions d'euros de la part de Toulouse Métropole).

Les laboratoires Pierre Fabre ont déjà installé 600 cliniciens, pharmaciens et chercheurs depuis 2010 sur le site dans des bâtiments très futuristes - 100 millions d'euros d'investissements. Sanofi a investi 30 millions d'euros pour des bâtiments de recherche-développement sortis de terre en 2010 aussi - même si la firme s'est retirée du projet depuis. Le premier bâtiment public, l'Itav (Institut des technologies avancées en sciences du vivant), un hôtel à projets de 5 000 mètres carrés placé sous l'égide du CNRS, de l'université et de l'Insa, a déjà aussi vu le jour. Mais c'est cette année que l'oncopole va vraiment prendre corps, avec l'inauguration cet été de l'Institut universitaire du cancer, qui à lui seul requiert 360 millions d'euros d'investissements, en assemblant une partie hospitalière et - originalité - un centre de recherche fondamentale coiffé par l'Inserm Paul Sabatier (Institut national de la santé et de la recherche médicale et l'université).

S'il fera sans doute jaser, "l'aérotram" ne sera qu'une infrastructure presque anecdotique sur ce chantier pharaonique. Mais il deviendra à coup sûr la signature emblématique d'un projet qui inscrira durablement la capitale de l'aéronautique comme pôle médical et scientifique du futur.

Municipales à Paris : Hidalgo accuse la droite de ne pas avoir de ... - Le Monde

Selon Anne Hidalgo, les membres de l'UMP n'ont pas de projet pour Paris : "Ils cherchent des personnalits."

La candidate socialiste la mairie de Paris, Anne Hidalgo, a accus ses adversaires de l'UMP de ne pas avoir de "projet pour Paris" et d'tre "dans l'ide du casting". "Ils n'ont pas de projet pour Paris. Ils cherchent des personnalits", a affirm la premire adjointe de Bertrand Delano sur TV5 Monde, mardi 29 janvier.

Ces personnalits "prsentent d'ailleurs les mmes caractristiques", a remarqu Mme Hidalgo. "Franois Fillon, Nathalie Kosciusko-Morizet, l'un comme l'autre, sont ou ont t en difficult dans leur fief d'origine. C'tait vrai pour Franois Fillon qui allait perdre sa lgislative dans la Sarthe. Je crois que Nathalie Kosciusko-Morizet a aussi quelques soucis Longjumeau", a-t-elle soulign. Franois Fillon a t "parachut" Paris en 2012, tandis que NKM a t rlue de peu dans l'Essonne.

"ILS VISENT L'LYSE 2017"

"Ensuite ce sont deux candidats qui ne viennent pas pour Paris, ils viennent pour des ambitions personnelles, qui visent l'lyse 2017. Nathalie Kosciusko-Morizet a un mouvement qui n'a rien voir avec Paris, a s'appelle la France forte", a relev l'lue socialiste.

Mme Hidalgo a mis en exergue, au contraire, sa "passion authentique et sincre" pour Paris. "On m'a propos un certain nombre de responsabilits, dont [une entre au gouvernement], le prsident de la Rpublique lui-mme l'a dit [en remettant Anne Hidalgo l'insigne de chevalier de la Lgion d'honneur], et j'ai toujours fait le choix de Paris", a fait valoir la candidate.

Lundi, le prsident de l'UDI, Jean-Louis Borloo, a appel des "tats gnraux de la reconqute [...] dans chaque arrondissement" de Paris. "L'ide d'un casting avec tel ou tel individu, nous l'avons essaye et nous avons essuy deux dfaites", a-t-il affirm.

Lire en dition abonns : L'hypothse "NKM" Paris prend de la consistance

Lire aussi : Municipales Paris : Anne Hidalgo arriverait en tte

mardi 29 janvier 2013

Tennis - WTA - Paris : Le programme de mardi - L'Equipe.fr

Court central, à partir de 11 heures
Monica Niculescu (ROU/Q) - Carla Suarez Navarro (ESP)
Sofia Arvidsson (SUE) - Alizé Cornet (FRA)
Julia Goerges (ALL/n°7) - Kristina Mladenovic (FRA/WC)
Roberta Vinci (ITA/n°5) - Simona Halep (ROU)

Court 1, à partir de 11 heures
Tsvetana Pironkova (BUL) - Stefanie Voegele (SUI/Q)
4 doubles

Karabatic à nouveau entendu dans l'affaire des paris - BFMTV.COM

La presse a ainsi révélé la semaine passée que, selon des expertises informatiques versées au dossier, une application de la Française des jeux avait été téléchargée la veille du fameux match entre Montpellier et Cesson, en mai dernier, sur le téléphone portable de Nikola Karabatic. La même application a ensuite été effacée en septembre au moment où le scandale éclatait.

Des captures d'écran, avec la cote de la FDJ du score à la mi-temps (2,9), auraient aussi été trouvées sur son ordinateur portable.

"Qui veut la peau de Nikola, qui subit en outre un contrôle fiscal, et pourquoi ?", a demandé maître Phung jeudi, avant de s'en prendre à Patrice Canayer, l'entraîneur de Montpellier, dont "on ne sait plus s'il est pour le club ou contre le club, pour ses joueurs ou contre ses joueurs".

A l'origine de ses reproches, des propos de Canayer lors de sa convocation dans les bureaux de la police judiciaire à Nanterre avant les fêtes.

Municipales à Paris: Borloo propose à Copé de travailler ensemble - L'Express

La pr-bataille pour la mairie de Paris est lance. Le prsident de l'UDI Jean-Louis Borloo a propos lundi soir son homologue de l'UMP, Jean-Franois Cop de travailler ensemble une stratgie commune pour reconqurir la ville de Paris aux prochaines municipales de 2014.

>>Voir aussi:Municipales 2014, qui sont les candidats dclars ou probables Paris?

"Je propose que nous rentrions dans un dbat clair avec des tats gnraux de la reconqute, transparent, ouvert, avec nos partenaires de l'UMP, dans chaque arrondissement", a expliqu le patron de l'UDI devant une salle comble.

Jean-Louis Borloo s'est exprim lors des voeux de l'UDI Paris dans les salons de l'htel de ville en prsence des principales personnalits locales du parti dont l'ex-ministre Chantal Jouanno, Yves Pozzo di Borgo, snateur et prsident du groupe UDI au Conseil de Paris et Laurent Lafon, prsident du groupe UDI de la rgion Ile-de-France.

"Il faut que ces tats gnraux se mettent en place car il n'y a aucune autre solution. L'ide d'un casting avec tel ou tel individu, nous l'avons essaye et nous avons essuy deux dfaites", a-t-il rappel en appelant " tirer les leons du pass".

"Alors, bien sr qu'entre les quipes de l'UDI et celles de l'UMP il faudra un moment qu'il y ait un chef de file pour la mairie de Paris mais cela se discute sans chausse-trapes", a-t-il expliqu en prcisant que le chef de file UDI pour Paris sera dsign dans quatre semaines en concertation entre le bureau national et la fdration de Paris.

Avec

encore un chien électrocuté en pleine rue - Le Parisien

Foudroyé par la décharge d'une boîte d'alimentation ERDF. Un chien a péri dimanche soir, électrocuté en pleine rue par une décharge de 230 V alors qu'il gambadait rue des Pyrénées (XXe). Une femme âgée, qui a tenté de le secourir, a elle aussi reçu une décharge électrique, mais elle a pu sortir indemne de l'hôpital où elle avait été placée en observation.

Après la d'un doberman, en 2010, dans des conditions similaires rue Rébeval (XIXe), et l'explosion de deux boîtiers du même type l'année précédente, rue des Pyrénées, déjà, et rue Binet (XVIIIe), le du groupe au Conseil de Paris, Ian Brossat, tire à nouveau la sonnette d'alarme : « A plusieurs reprises, j'ai alerté sur le manque d'entretien manifeste de ces boîtes de réseau, s'alarme-t-il. Paris en compte 4800 et 700 d'entre elles au moins semblent présenter un grave danger pour les habitants et les salariés, maintes fois dénoncé par la CGT d'ERDF. Moi-même, précise-t-il, en 2009 et 2010, j'ai fait voter des vœux, en Conseil de Paris, exigeant que la société mette en œuvre tous les moyens permettant de sécuriser le matériel afin d'éviter qu'un tel accident se reproduise. Je présenterai d'ailleurs un nouveau texte lors de la prochaine séance… »

Un accident rarissime selon la société d'électricité

Alors que la CGT, notamment, reproche depuis plusieurs années à ERDF un manque criant d'investissements pour renouveler des installations jugées vieillissantes et dangereuses, la société plaide, de son côté, le plus grand sérieux dans le contrôle et la maintenance de ses boîtiers : « Les coffrets de maintenance sont entretenus et l'accident survenu dimanche reste tout à fait rarissime. Quant à l'électrocution du doberman, elle n'est pas survenue sur un ouvrage que nous exploitons, soutient-on chez ERDF. Concernant le dernier incident, la préfecture de police et la Ville, qui est notre concédant, mènent toutes les analyses nécessaires pour identifier le problème. Les résultats attendus prochainement nous permettront de déterminer les actions à mener… »


Paris cherche les bons arguments pour repousser son objectif de 3 ... - Le Figaro

Plus les semaines dfilent, plus le scnario d'une croissance 0,8% cette anne, comme l'espre le gouvernement, se complique. Cela hypothque, de fait, les espoirs de ramener le dficit public 3% cette anne - comme la France s'y est engage auprs de ses partenaires europens. Car, moins de croissance que prvu, c'est moins de recettes fiscales pour les caisses de l'tat… Pour autant, le gouvernement n'entend pas tirer davantage sur la corde de l'austrit. Si la croissance devait tomber au-dessous de 0,5% en 2013, nous ne ferions pas de nouvel ajustement budgtaire; on ne peut pas demander plus aux Franais cette anne, confiait-on rcemment l'lyse.

Pas question pour autant de passer pour le mauvais lve de la classe europenne. Dans la perspective de la discussion sur les finances publiques que les capitales doivent avoir au printemps avec la Commission europenne, Paris est en train d'affter ses arguments. Tout en continuant d'affirmer officiellement la ncessit de poursuivre les efforts, le gouvernement espre d'abord que plusieurs pays demanderont officiellement que soient reports les objectifs du pacte de stabilit.

Prendre un peu plus de temps

Il a trouv ce week-end en la personne de Christine Lagarde un prcieux soutien: la directrice gnrale du FMI, s'exprimant Davos, a non seulement estim l'objectif franais de ramener le dficit public 3% extraordinairement ambitieux, mais a aussi appel les Europens dcider collectivement de prendre un peu plus de temps plutt que d'avancer marche force pour rtablir les finances publiques. L'effet des plans d'austrit sur la croissance est plus fort que ce que nous avions anticip il y a trois ou quatre ans, a-t-elle concd, en rappelant que l'Espagne avait pti d'tre alle trop vite dans la rigueur l'anne dernire.

Bruxelles, le gouvernement compte ensuite insister sur les efforts mens pour amliorer le dficit structurel - celui qui ne tient pas compte des effets de la crise et des vnements ponctuels. Selon les chiffres fournis par Bercy, il s'est dtrior de 1,8point de PIB sur la priode 2007-2011 (cette dernire anne marquant nanmoins un inversement de tendance), alors qu'il devrait s'amliorer de 1,2 point en 2012 et de 2points de PIB en 2013. En d'autres termes, nos fondations se dgradaient, nous les reconsolidons nettement, explique l'entourage du ministre du Budget, Jrme Cahuzac.

Ainsi, mme s'il devait ne pas atteindre nominalement un dficit de 3% cette anne, le gouvernement pourrait montrer que, dans une priode sans croissance, il est loin d'avoir relch ses efforts…

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La 4G se rapproche de Paris - France Info

La 4G se rapproche de Paris. Orange et SFR ouvrent des émetteurs en région parisienne mais la Capitale est encore loin d'être couverte.

La 4G arrive en France... par la petite porte © Reuters - Arnd Wiegmann

Malgré sa position symbolique, Paris n'est pas la ville de France la mieux partie dans la course à la 4G. Il semble plus facile, soit dit sans ironie, de fermer les voies sur berges que d'ouvrir la voie des communications mobiles de nouvelle génération dans la Capitale... Malgré tout, ça se rapproche.

SFR à La Défense et Orange... à l'Opéra

SFR lance aujourd'hui la 4G à La Défense, près de Paris. Logique, c'est le quartier des affaires. C'est aussi le quartier du siège de l'opérateur au carré rouge qui propose déjà la 4G au grand public à Lyon et à Montpellier. La Défense ce n'est donc pas Paris mais on s'en rapproche.

Orange, de son côté, n'est pas en reste. L'opérateur a fait en sorte de griller la politesse à son concurrent en sortant à la dernière minute de son chapeau, c'est-à-dire hier, l'ouverture d'émetteurs 4G au cœur de la Capitale mais uniquement dans un seul quartier de la Capitale, celui de l'Opéra. C'est la première fois que l'on annonce le lancement d'un réseau non pas dans une ville mais juste dans quelques rues. Il est vrai que cette course à la technologie est aussi une course à l'image de marque et une guerre de communiqués...

Quant à Bouygues ? On en parlait la semaine dernière, il attend le feu vert de l'ARCEP pour déployer la 4G sur la bande de fréquences des 1800 Mhz ce qui lui permettrait de s'étendre très vite alors que Free demeure encore secret sur ses intentions.

La question du prix

Deux approches commerciales différentes pour ces deux opérateurs. Tandis que SFR intègre la 4G dans ses forfaits haut débit mobile après même une baisse de prix annoncée la semaine dernière ; Orange, plus à l'aise économiquement, maintient son positionnement haut de gamme et prévoit de facturer ce nouveau service 5 ou 10 Euros à partir d'avril pour les particuliers.

Bref, Paris n'est pas encore une ville 4G, loin de là, mais ça avance. Ce qui bloque, officiellement, c'est la saturation des antennes et, officieusement, la pression d'associations soutenues par la municipalité. Un accord signé en octobre aurait permis de débloquer la situation, nous dit-on, mais la bataille de Paris ne semble pas pour autant gagnée. Du retard a été pris.

SFR et Orange promettent que l'on pourra se connecter en très haut débit mobile partout dans la Capitale fin 2013.

Pourquoi Paris-Levallois coince - Le Parisien

Jamais il n'avait connu une telle série cette saison. Battu (88-73) à Strasbourg (coleader de ), le samedi 19 janvier, puis à Gravelines (82-77) en Eurochallenge, mardi dernier, et enfin sur son parquet par Roanne (71-87), vendredi en , -Levallois vient d'enchaîner trois revers en sept jours. Vexé par certaines attitudes lors de la dernière défaite, Christophe Denis a imposé à son groupe (relégué de la 1re à la 5e place de Pro A durant cette période) un entraînement samedi dernier et attend une réaction ce soir à l'occasion de la réception des Hongrois de Szolnok en Coupe d'Europe. Pourquoi connaissent-ils une baisse de régime? Tentative d'explications.

May rayonne moins
Artisan de la réussite parisienne, le carré d'as composé du meneur Albicy, de l'arrière Diot et des intérieurs Williams et May apparaît moins tranchant et dominant. Contre Roanne, May a d'ailleurs été cadenassé par son vis-à-vis, rendant sa pire copie depuis ses débuts au PL (11 pts; 4/10 aux tirs). L'Américain est aujourd'hui talonné par le Gravelinois Buycks (19,5 points de moyenne contre 18,9) en tête du classement des marqueurs. « On est désormais plus attendus, explique le président Francis Flamme. Ils connaissent nos points faibles et ciblent nos points forts. »

La défense en question
Quatorzième (sur 16) dans ce domaine avec 79,3 points encaissés de moyenne, le PL avait jusqu'à présent toujours compensé ses lacunes défensives par un secteur offensif de feu (82,9 pts, 1er attaque).

Une artillerie grippée contre Roanne. « On a une telle force offensive avec Sean et Jawad (4e marqueur avec 16,9 pts de moyenne) qu'on a cru qu'on pouvait se relâcher en défense, c'est une erreur d'appréciation », alerte Flamme. « On n'a pas défendu et quand on ne défend pas, on n'arrive pas à trouver le rythme en attaque, regrettait d'ailleurs Antoine Diot, vendredi. C'est la rampe de lancement de notre jeu. » « On s'est trop vite reposés sur nos victoires en décembre et début janvier, pense, lui, Christophe Denis. Il faut un changement dans l'approche mentale. »

Une rotation limitée
Sur tous les fronts (Championnat, Coupes de France et d'Europe), le PL enchaîne deux matchs par semaine depuis le mois de novembre. Une cadence infernale qui commence à peser physiquement et mentalement. Surtout du côté des quatre joueurs majeurs (29 minutes sur 40 au minimum par match), qui inscrivent en moyenne trois quarts des points. Le choix de ne pas conserver Julius Hogde (pigiste médical d'Aka jusqu'en décembre) ne devrait pas inverser la tendance. « On n'a pas la latitude pour changer des joueurs (1,4 M€ de masse salariale, la 9e de Pro A), il faut donc tirer le meilleur de ceux qui sont là, juge Flamme. Les jeunes doivent aussi montrer qu'ils méritent de jouer. » Un renfort pourrait cependant arriver d'ici à fin février si le PL est encore en course pour une place dans le top4. « Notre objectif, rappelle Flamme. Même si on a pris une bonne trempe contre Roanne, il n'y a ni crise ni de raisons d'être inquiet. »

LA 3e JOURNÉE (Groupe J). Ce soir, 19h30 : PARIS-LEV. - Szolnok Olaj (Hongrie) (palais des sports Cerdan à Levallois); 20 heures : Gravelines - Hapoël Holon (Israël).

LE CLASSEMENT. 1. Szolnok Olaj, 4 points; 2. PARIS-LEV., Gravelines, 3; 4. Holon, 2.

NKM prépare son arrivée à Paris - Le Figaro

Nathalie Kosciusko-Morizet prpare sa candidature Paris pour les municipales de 2014. L'ex-ministre dpute maire de Longjumeau (Essonne) rencontre les uns aprs les autres les lus de droite de la capitale pour ngocier son implantation dans les meilleures conditions. Avec deux pralables: elle ne viendra que si Franois Fillon, dput des Ve, VIe et VIIe arrondissements, dcide de ne pas tre candidat. Elle devrait le vrifier cette semaine l'occasion d'une rencontre organise avec l'ex-premier ministre.

Mais NKM ne viendra encore qu'avec l'assurance d'une primaire ouverte. Pour ne pas tre porte par un seul clan, indique son entourage. L'urgence, c'est de mettre en place des primaires ouvertes, a martel la dpute, dimanche sur France3.

Cette fille a la passion de Paris! Elle a beaucoup d'ides sur son rayonnement, assure le dput maire du XVe et prsident UMP de la fdration de Paris, le filloniste Philippe Goujon, avec qui NKM a djeun vendredi. Il assure que les chances de rcuprer Paris sont grandes. Dj, en 2014, les socialistes seront moins flambards. Ensuite, les Parisiens sont mcontents du bilan de Bertrand Delano, mais la personnalit du maire PS sortant leur plat. Ce qui n'est pas le cas, croit savoir Philippe Goujon, pour la candidate socialiste prsume, Anne Hidalgo, hritire dsigne, excutante laborieuse des dcisions du maire.

Goujon ironise sur la premire adjointe qui dnonce la candidature de NKM, au motif que celle-ci se servirait de Paris comme d'un marchepied national. Si Delano avait gagn le congrs de Reims, comme premier secrtaire du PS, il se serait bien entendu prsent aux primaires en 2012… Et Martine Aubry, comme maire de Lille, n'a-t-elle pas associ ambition nationale et engagement local? Pour Goujon, l'argument ne tient donc pas. Ce n'est pas parce que Hidalgo n'a pas les moyens d'accder des fonctions nationales qu'elle doit en tirer des conclusions pour les autres, assne-t-il.

Paris n'est pas une terre de refuge, l'espace politique est complet

Goujon juge par ailleurs que des primaires ouvertes sont ncessaires une bonne dynamique de la droite. Il accueille donc favorablement les candidatures du prsident du groupe UMP au conseil de Paris Jean-Franois Legaret et du trs dtermin conseiller du XVIIIe, Pierre-Yves Bournazel. Celle aussi de l'eurodpute et maire du VIIe, Rachida Dati, mme s'il craint un duel entre les deux femmes. Afin d'viter toute redite de la campagne interne, sanguinaire, l'UMP cet automne, une tentative de mdiation -via l'entourage de Jean-Franois Cop- aurait t organise entre les deux anciennes ministres. Aucune candidature dissidente ne sera lance la mairie du VIIe si l'ex-garde des Sceaux renonce la primaire. Rachida Dati sait que Christian LeRoux -qui fut premier adjoint de l'ex-dpute maire UMP du VIIe Martine Aurillac- se prpare lancer sa campagne. Il tractait d'ailleurs samedi matin rue Cler. Elle sait aussi que la conseillre rgionale UMP Marie-Claire Daveu, ex-directrice de cabinet de NKM, a rejoint l'quipe de Christian LeRoux. Pression organise? Pour l'instant, Dati prvoit encore de lancer sa campagne dbut fvrier. Elle s'interroge srieusement sur la valeur des garanties promises…

Du ct de NKM, on nie tout type d'arrangement et toute rflexion, trs prmature sur le terrain d'atterrissage de la dpute de l'Essonne. Sur ce point, la situation est complexe, voire explosive. Le snateur UMP de Paris Pierre Charon, hostile sa venue, comme l'autre snateur UMP de la capitale, Philippe Dominati, ne se cache pas pour dire que Paris n'est pas une terre de refuge et que l'espace politique est complet. Fermez le ban. Pierre Charon milite paradoxalement pour le parachutage du patron de l'UDI, Jean-Louis Borloo, le meilleur pour Paris. Lundi soir, il devait s'installer au premier rang l'Htel de Ville lors des vœux du dput du Nord aux militants UDI.

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SYRIE. "De l'argent et des armes !" Mot d'ordre de l'opposition - Le Nouvel Observateur

La Coalition nationale syrienne, épaulée par le ministre des Affaires étrangères français, Laurent Fabius, a souhaité que la réunion d'une cinquantaine d'acteurs internationaux à Paris, au chevet de la révolte en Syrie, qui s'est ouverte ce lundi 28 janvier, donne "enfin" un tour concret aux promesses faites lors des précédents rendez-vous. Une volonté a priori partiellement mise en acte.

"Le peuple syrien livre actuellement une bataille sans merci. Le temps n'est pas de notre côté et la poursuite de ce conflit ne peut qu'entraîner une catastrophe pour la région et pour le monde", a déclaré Riad Seif, vice-président de la Coalition, à l'ouverture de la réunion. "Nous devons travailler ensemble", a-t-il souhaité, soulignant que "le peuple syrien est en colère. Nous ne pourrons changer ses convictions que si nous accélérons la fourniture de l'aide afin de nous débarrasser du président criminel". "J'espère que notre réunion sera différente des réunions qui ont précédé", a-t-il affirmé. "J'espère que le peuple syrien pourra en constater les résultats tangibles sur le terrain parce qu'il n'accepte plus de ses représentants qu'ils reviennent les mains vides, avec seulement des promesses qui ne sont jamais tenues".

Car l'inquiétude de la Coalition syrienne est de voir les militants pacifistes et les hommes de l'Armée libre syrienne rejoindre les rangs des djihadistes sur place. "Evidemment", souligne un diplomate en marge de la réunion, "si nous n'apportons pas une réponse aux gens qui voient leur mère sortir de nuit acheter du pain pour éviter les bombardements, nous savons vers qui ils vont se tourner…" 

"Des promesses pas toutes honorées …"

Renforcer la Coalition nationale syrienne, une position partagée par le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius : "La communauté internationale doit donner les moyens à la Coalition nationale syrienne d'agir pour le soutien au peuple syrien. Cela passe par des fonds et des aides de toutes sortes. Des promesses ont été faites, certaines ont été honorées, pas toutes, loin de là…", a appuyé le ministre. "Les moyens doivent être donnés à la Coalition nationale syrienne pour exercer sa mission d'aider le peuple syrien, préparer l'alternance, travailler pour une Syrie démocratique libre".

Mais en milieu de journée, la question des versements de fonds n'étaient pas le premier mot d'ordre de la réunion selon ce même diplomate. "Nous ne voulons pas faire de cette réunion, comme ça a été le cas d'autres précédemment, l'occasion d'aligner des chiffres et de faire des additions. Nous voulons aider concrètement la Coalition nationale syrienne et ça a l'air bien parti", s'est-il fait rassurant. "D'ores et déjà, je peux vous dire que la Coalition est assurée de pouvoir fonctionner plusieurs mois, tant grâce à l'argent qu'elle va recevoir, que par les moyens techniques qui vont lui être octroyé ou encore par l'expertise que de nombreux pays s'engagent à lui fournir", a-t-il confirmé sans s'étendre sur les détails. 

La question des armes

"La Syrie a besoin de milliards de dollars, a déclaré lors d'une interruption de séance George Sabra, dirigeant du Conseil national syrien, principale composante de la coalition. Mais les besoins de la Coalition ne sont pas que financiers. "Nous avons besoin d'armes, d'armes et d'armes", a-t-il également martelé, alors que les Occidentaux se refusent à livrer des armes par peur qu'elles ne tombent entre les mains de groupes djihadistes en Syrie. Un embargo européen sur les armes vers la Syrie a été prolongé fin décembre pour trois mois et doit être réexaminé fin février à Bruxelles. Mais la levée partielle ou totale de cet embargo doit être votée à l'unanimité des 27, a rappelé un diplomate en marge de la conférence.

En attendant, Riad Seif a une nouvelle fois fixé comme objectif pour la Coalition la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne pour la Syrie libérée des forces du régime. Une mesure qui nécessite des moyens militaires non négligeables… et que le diplomate occidental refuse de commenter.

Fermeture des voies sur berge à Paris : colère et recours - TF1

Pour ceux qui ne le savent pas encore, la voie express rive gauche est désormais interdite aux automobilistes parisiens entre le Musée d'Orsay et le Quai Branly, pour permettre l'aménagement en bord de Seine d'un espace dédié aux loisirs de 4,5 hectares (Lire : Paris : les voitures interdites de voie express rive gauche). Cette fermeture définitive aux automobilistes a été accueillie lundi par un concert de protestations, même si la préfecture de police ne notait "aucun gros bouchon". "Ça se passe bien, il n'y a pas de gros bouchons. Mais le lundi n'est pas un jour où cela circule beaucoup", notait sur place un fonctionnaire de la préfecture (lire notre article >Paris : "pas de gros bouchons" au 1er jour de fermeture des voies sur berge).

Constat partagé le soir par l'adjoint du maire de Paris en charge des transports Julien Bargeton: "Nous n'avons pas constaté de difficultés particulières en lien avec les travaux", a dit l'élu, en accueillant la presse au PC Lutèce d'où est surveillé et régulé le trafic parisien. Une batterie de capteurs permettant de mesurer la circulation, la pollution et le bruit permettront d'évaluer au fur et à mesure la situation, a-t-il souligné. "Nous sommes attentifs et vigilants, il y a toujours un temps d'adaptation", a-t-il relevé. Selon M. Bargeton, la création d'une troisième voie quai Anatole France, le report des automobilistes sur d'autres voies, et la baisse progressive de la circulation, devraient permettre à terme d'éviter l'"embolie" redoutée par beaucoup.

Bertrand Delanoë "n'est pas David Copperfield !"

L'UMP, le Medef et les associations de défense des automobilistes ont vivement dénoncé ce projet, qui créera selon eux des embouteillages et nuira à l'activité économique. "Le lundi est le jour où il y a le moins de voitures, mais on voit déjà des effets sur les axes parallèles. Bertrand Delanoë va s'apercevoir qu'il n'est pas David Copperfield (le célèbre prestidigitateur, ndlr) et qu'on ne peut pas faire disparaître les voitures", a ironisé le délégué général de l'association "40 millions d'automobilistes" Pierre Chasseray, venu sur place s'adresser à la presse. "Il aurait peut-être fallu aménager les quais de l'autre côté, qui sont déjà piétons", a-t-il fait observer. L'association qui revendique 320.000 adhérents a lancé une pétition contre le projet qui a selon elle recueilli 32.000 signatures.
 
Le Medef Ile-de-France a averti que ce réaménagement "risquait d'entraîner des millions d'heures de travail perdues pour les entreprises et leurs salariés". Il a annoncé avoir déposé avec d'autres fédérations patronales un recours devant le tribunal administratif pour obtenir l'invalidation du projet. La première audience est prévue le 7 février. "Embouteillages dantesques, bruit et pollution auront tôt fait de gâcher le plaisir de quelques promeneurs et de nuire un peu plus à l'attractivité de la capitale", avait dénoncé vendredi dans un communiqué le groupe UMP au Conseil de Paris. Lundi, le député-maire UMP du XVe arrondissement Philippe Goujon et le député UMP de Paris François Lamour ont écrit au maire de Paris pour lui demander l'installation de capteurs mesurant le nombre de véhicules, le taux de pollution et le bruit sur les "axes critiques" de l'arrondissement, où pourraient se reporter une partie des véhicules chassés de la voie express.
 
Dati vent debout
 
Rachida Dati, concernée au premier chef en tant que maire du VIIe, a demandé dans un communiqué lundi "qu'un bilan soit présenté" pour "évaluer en toute impartialité l'utilité de ce projet controversé et rejeté par 78 % des personnes ayant pris part à l'enquête publique". Le sénateur Roger Karoutchi a dénoncé le "comportement hégémonique" de Paris et une politique visant à "bunkériser" la capitale "sans la moindre discussion ou négociation avec les collectivités voisines". Le conseiller de Paris Pierre-Yves Bournazel, candidat à la primaire que doit organiser l'UMP en amont des municipales de 2014, a estimé nécessaire de "replacer l'aménagement des quais de Seine au coeur d'une stratégie régionale d'amélioration des transports et de développement économique", sans pour autant remettre en cause le principe du projet.
 
Le Front national a dénoncé une "folie" et estimé que les sommes dépensées pour l'aménagement des berges --35 millions d'euros-- auraient été "mieux affectées aux transports en commun parisiens". Le conseiller MoDem de Paris Jean-François Martins a salué une décision "historique" car "la ville fait le choix de la modernité et de l'écologie"

lundi 28 janvier 2013

Foot - Ligue 1 - PSG : T. Motta forfait à Toulouse - L'Equipe.fr

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Paris SG-Lille - Sport 24

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